À la (re)découverte des animés japonais

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L'un des défauts qu'on reproche souvent à Gundam SEED, comme à d'autres Gundam, c'est de se contenter de dire « la guerre c'est mal ! », à ça j'ai deux contre-arguments, d'abord sans vouloir jouer le pacifiste à deux balles je préfère que le message de fond soit la guerre c'est mal plutôt que le contraire, l'apologie de la violence sans chercher à la justifier ou à la moraliser c'est franchement pas mieux que de la critiquer même si c'est de façon maladroite mais ensuite et surtout si cette critique est bien amorcée, bien mise en scène et laisse à réfléchir, je ne vois pas en quoi ça peut constituer un défaut, raison pour laquelle je trouve que Gundam SEED relève du chef d’œuvre qui a un message intelligent à faire passer de façon pertinente.

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Là si on veut être réducteur le message de Destiny c'est « la paix c'est bien, mais la liberté aussi ! » Je ne vais pas commenter plus que ça ce reproche qu'on peut faire à cet animé, je me répéterais par rapport à ma dernière annotation. Destiny est différent, voir opposé, dans ses nouveaux personnages à son prédécesseur et pourtant cumulent quasiment les mêmes forces et les mêmes faiblesses selon le spectateur aussi bien dans la forme que dans le fond. Comme j'ai adoré le premier j'ai également adoré Destiny malgré quelques personnages que j'aimais beaucoup qui là m'ont moins plus (notamment Cagalli).

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Mobile Suit Gundam 00 est le premier Gundam que j'ai vu, à la fois épique, émouvant, intéressant, bien réalisé et vraisemblable : il répond à absolument tout ce que je pouvais attendre d'un animé, en terme de réalisation, de thématique, d'OST, d'émotions... absolument tout et si la perfection devait exister, en ce qui me concerne il l'incarnerait, pour la première saison tout du moins car la seconde fut très décevante, à savoir la même chose que la première en (beaucoup) plus pauvre et beaucoup moins bien foutu, quel dommage !

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Unicorn a les qualités qu’on est en droit d’attendre d’un Gundam moderne, les thématiques sont intelligentes, l’OST sait se faire épique, pas mal de personnages sont assez charismatiques et l’action est très réussie par contre je trouve le scénario en dents de scie, parfois excellent comme à Torrington et parfois très confus dans un univers pas très bien introduit pour qui n’a pas vu certaines séries Gundam, et il y a peut-être aussi une overdose de bons sentiments à la fin mais ça reste sympa à regarder.

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Très bien réalisé, relativement bien écrit et très fidèle à la saga, le cahier des charges du bon Gundam semble être rempli rien qu'avec ça mais il y a quand même des ombres au tableau, notamment un côté action grand spectacle qui ne laisse que peu de place aux dialogues, un parti pris qui m'a empêché de développer une vrai empathie pour les personnages et des musiques que j'ai trouvé à la fois nulles et hors-sujet pour la plupart, mais là encore c'est un parti pris et certains auront sans doute l'avis opposé.

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Un thriller avec son atmosphère et ses rebondissements dans un univers futuriste foutrement bien rendue prétexte à des questions aussi intelligentes que variées où une IA dirige la société en privant les Hommes de libertés mais en leur apportant confort et sécurité, si ce thème à lui seul est intéressant et très bien exploité cela se fait en abordant d'autres thèmes tout aussi intéressants comme les conditions de travail, la discrimination, les réseaux sociaux, le mariage, les valeurs conservatrices, le progrès scientifique, la justice... Un animé des plus intelligents auquel il ne manque quasiment rien en dehors du chara-design de ses persos très moyen en comparaison de cet univers cyberpunk sublime.

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Moins profond, sentant un peu trop le réchauffé et deux fois plus court, cette seconde saison souffre de la comparaison avec la première sans aucun doute, l'empêchant d'être apprécié comme il le faudrait peut-être, ça reste un thriller haletant, la preuve en est j'ai regardé la saison d'une traite, soit près de 4 heures, l'univers et les questions abordées me plaisent toujours autant mais ce sentiment de déjà vu mêlé à du en moins bien font baisser la note de deux points par rapport à l’œuvre originale, j'espérais mieux même si ça reste de bonne qualité.

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Des personnages super charismatiques, une mise en scène toujours au top pour des scènes d'action offrant un rythme soutenu qui ne laisse jamais place à l'ennui bien longtemps même si on n'y croit pas une seconde on s'y fait, un humour certain et osé qui même lorsqu'il frise le ridicule sait faire sourire 9 fois sur 10, beaucoup de références qui manquent parfois de subtilité mais qui font quand même plaisir, une musique de fin d'épisode pour les deux premières saisons qui marque et un scénario plus intelligent et mature qu'il n'y paraît au premier abord avec comme thème principal l'opposition entre le cynisme et l'idéalisme à la conclusion sombre mais à l'image du reste du scénario. J'ai le même avis sur les trois saisons de Black Lagoon (celle-ci + The Second Barrage + Roberta's Blood Trail).

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Même si au début j'ai cru avoir en face un patriotisme japonais à deux balles en guise de scénario, même s'il se perd par moment dans du blabla qui ennuie, même si certains épisodes orientés humour dénotent avec le reste, Code Geass a pour lui un univers travaillé et complexe dans lequel évolue un scénario très intéressant, aux multiples évolutions et grilles de lecture, mené par un héros aussi charismatique que ses motivations énigmatiques, tout ça avec de belles images et de bonnes musiques.

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Si je fais abstraction de son début un peu laborieux, nécessaire au parti pris de base du récit, ainsi que d’une partie de son esthétisme avec lequel j’ai du mal par moment, Puella est un récit émouvant, mature, intelligent et complexe profitant d’une réalisation de haute volée et d’une très belle OST. Ne vous fiez pas aux apparences et regardez cet animé, et si vous l’avez apprécié n’oubliez pas le troisième film qui reprend là où l’histoire de l’animé s’arrête, alors que les deux premiers films reprennent fidèlement l’histoire de l’animé pour l’essentiel.

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Entre ces décors si somptueux, cette musique à chaque début d'épisode (Kage no Denshouka), cette ambiance folklorique... Shinsekai Yori a de quoi séduire en dépit de la confusion dans laquelle nous laisse le scénario, aussi perdu que ces apprentis sorciers plongés dans un univers dépaysant entouré de mystères on finira par comprendre le message de ce scénario intelligent aux travers des yeux d'une fille aussi envieuse qu’apeurée d'apprendre la vérité, vérité qui donne tout son sens à cet animé qui mêle esthétisme, intrigue et intelligence avec brio malgré quelques longueurs compensées par une multitude de cliffhangers.

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C’est vraiment dommage qu’il y ait ces quelques manques vers la fin où l’animé ne prend plus le temps de tout adapter étant donné que quand il le fait, il le fait très bien et très respectueusement tout en s’accordant quelques libertés passagères souvent pertinentes, dans le fonds comme dans la forme. Autrement, cet animé est une excellente adaptation d’un manga non pas moins excellent qui reste l’œuvre à voir absolument mais qui peut profiter des ajouts de cette version animée sans regrets.

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En dépit d’un début un peu laborieux pour pas grand chose et d’une animation qui n’a rien de grandiose techniquement, l’autre monde est parvenu à m’émouvoir fortement et a me véhiculé son message pacifiste efficacement. La maturité du récit qui ne prendra pas de gant la plupart du temps, les personnages attachants et détestables en contraste, la musique amplifiant la portée mélancolique des passages les plus forts... m’ont beaucoup fait apprécié de ce petit animé de 5 heures que je vous recommande d’autant plus que vous pouvez le trouver intégralement et légalement en bonne qualité avec les doublages de votre choix.

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Bien que comptant des personnages en dents de scie, un message assez classique et un rythme un peu laborieux Shingeki no Kyojin fut pour moi un régal à regarder grâce à ses affrontements dynamiques très bien animés et ses moments forts parfaitement mis en scène soutenus par une OST très épique, je vous le recommande si vous comprenez que c'est d'abord pour l'action et la mise en scène l'appuyant, pour le scénario en l'état il est encore trop peu développé et réussi, si par la suite ça se corrige il pourrait devenir un coup de cœur, là je le considère comme une excellente série d'action.

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D’abord une adaptation aux allures de version longue avec des variations au service d’une intrigue plus complexe, plus cohérente et plus mature que l’intrigue originale, puis une nouvelle œuvre originale trouvant le compromis entre les bases d’un univers déjà établi et les idées propres à cette version : Fullmetal Alchemist est une adaptation audacieuse, intelligente et mature d’un manga qui a toute ma sympathie, si cet animé avait en plus une réalisation plus époustouflante il pourrait parfaitement s’inscrire parmi mes animés préférés.

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Des nanas nues et du sang, au début on pourrait croire que cet animé ne compte que sur cela pour séduire, ce qui aurait été peu intéressant mais c'est une erreur, si toute cette violence peut rebuter certains elle n'est pas gratuite, elle sert à amorcer la thématique de la discrimination en nous posant l'héroïne comme la victime et la coupable à la fois, une réussite avec ses pointes d'humours, sa violence brutale et ses pics d'émotions qui n'a pour point faible que son grand méchant pas charismatique pour un sous bien que fort heureusement en retrait.

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Another mise tout son intérêt sur son ambiance et son suspense, il faut le savoir et ne pas s'attendre à autre chose. On aime ou on aime pas, moi j'ai adhéré et j'ai eu du mal à décrocher, l'histoire est conçue de telle façon à nous laisser deviner ce que nous ne comprenons pas pour ensuite nous révéler des faits faisant évoluer notre point de vue en permanence avec un bon lot de cliffhangers aboutissant à un twist pas mal du tout et l'animé étant court l'ennui ne prend pas place à un seul moment, à moins d'être allergique à l'ambiance angoissante dans un animé je vous le conseille.

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Si Suisen no Gargantia ne parvient pas à mêler les immenses qualités des meilleures œuvres de ses créateurs collaborant pour la première fois, il parvient malgré quelques maladresses en première partie et une animation seulement passable à faire vivre une histoire d’une grande intelligence avec ses fulgurances notables tout en profitant d’une ambiance efficace dans des registres chaleureux comme anxiogènes. Peut-être pas la grande claque que l’on pouvait attendre mais un bon petit animé à qui il ne manque pas tant que ça pour jouer dans la cour des grands.

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La plupart du temps divertissant avec des personnages charismatiques dans des situations amusantes Cowboy Bebop prend parfois la peine de prétendre à plus avec de la tension, de l'émotion, un ton sérieux mais ce n'est le temps que d'un ou deux épisodes noyés dans un tout qui fait passer de bons moments mais trop peu de ce que je qualifierais de grands moments. J'ai bien aimé l'animé, son esthétisme, ses musiques, son humour, ses persos mais le parti pris d'autant d'épisodes amusants mais dispensables à la trame principale m'a empêché de l'adorer tellement cette trame a un potentiel que je trouve quelques peu sous-exploité, j'en ressors à la fois pleinement diverti mais un peu sur ma faim.

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Imaginer The Thing pouvant parler, en plusieurs exemplaires dont un devant coexister avec un être humain, c'est un peu le synopsis de cet animé dont la première partie est absolument génial avec du suspense, des personnages attachants et complexes, un rythme très soutenu, de superbes musiques... malheureusement la seconde partie délaisse un peu l'ambiance au profit d'une action de plus en plus décomplexée et les mystères autour du scénario se dévoilent pour finalement me paraître assez classiques, voir clichés et pas très intéressants avec des enjeux que je trouvais moins prenants, mais le concept de base est vraiment bon entre un parasite et un humain qui tout deux évoluent selon l'autre.

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Une intrigue lente et confuse entre surnaturel, double personnalité, rêves, amnésies... plus d'une fois j'ai vérifié que j'avais pas sauté un épisode sans faire exprès parce que c'est vraiment pas simple à suivre mais Ergo Proxy c'est aussi une ambiance travaillée dans un univers qu'on finit par apprécier bien qu'on ne le comprenne pas et deux personnages à la fois charismatiques et originaux. Mention spéciale au générique d'intro.

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Des vampires prennent petit à petit le contrôle d'un village en y exterminant ou en y transformant la population, à part une réflexion éventuelle sur la mort et l'instinct de survie l'intérêt n'est pas dans le fond mais la forme avec de superbes musiques, une réalisation et un esthétisme soignés (en dehors de quelques coiffures parfaitement ridicules) et une ambiance assez forte qui se dégage de l'animé pour donner envie d'y rester, assez plaisant à regarder, rien d'incontournable non plus.

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Les scènes d'action manquent de crédibilité et c'est parfois même un peu ridicule mais il y a de très belles images, de très belles musiques et une ambiance qui m'a rappelé le jeu vidéo Parasite Eve donc sans trouver ça génial ni avoir envie de le recommander je l'ai regardé sans me forcer donc ça veut dire que je l'ai quand même bien aimé malgré toutes les fois où je me suis dit que c'était pas crédible une seconde.

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La thématique de l'IA et de ses liens avec l'humanité est intéressante, l'humour passe bien, les multiples références et ce qui en est fait font rire, de bons moments et vu le peu de temps que ça prend à regarder (2 heures) ça vaut le coup de lui accorder.

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L'univers est intéressant et le découvrir d'abord aux yeux d'un enfant qui découvre tout pour ensuite les découvrir aux yeux d'une Claymore qui découvre ce qui va au delà de la simple chasse à la malebête permet de rentrer dans l'histoire sans soucis et sans ennui, les personnages sont attachants (sauf Raki qui au bout d'un moment devient plus un boulet), les affrontements ne sont pas trop mal et on a envie de savoir la suite mais il y a trois problèmes : l'OST qui ne soutient jamais assez l'action, la fin que j'ai trouvé trop facile et niais et le fait que l'histoire au final n'est pas fini, loin de là.

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Une bien jolie histoire que ce trentenaire adoptant une jeune fille de 6 ans sur un coup de tête, l’occasion surtout de parler des difficultés à élever un enfant, des émotions que ça véhicule, des sacrifices que ça requiert… mais qu’est-ce qu’il ne se passe rien ! J’exagère un peu en disant ça mais j’avoue que j’ai du mal avec un animé dans lequel il n’y a aucun moment fort particulier, aucun retournement de situation… C’est une succession d’événements de la vie de tous les jours portant une critique de fonds sur un sujet qui ne me parle pas, je n’ai donc pas très accroché mais je reconnais la singularité de sa démarche, ses jolis dessins, son ambiance chaleureuse...

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Au début l'univers paraît assez invraisemblable et on comprend rien à l'histoire, par la suite le changement de ton (morts en pagaille à petite vie tranquille) est un peu étrange mais amusant, puis Mei offre à l'animé les moments que j'ai préféré même si j'aurais aimé que le personnage soit un peu plus humanisé et enfin on comprend les premiers épisodes avec un final largement perfectible, la quête de vengeance de Yumi est loin d'être aussi bonne que celle de Mei, tout a été misé sur ces deux « sœurs » meilleures amies, meilleures ennemies, je pense que l'animé aurait du prendre plus de temps pour développer son univers et les autres personnages, il y avait mieux à faire mais c'est pas non plus mauvais.

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J'ai un avis assez mitigé sur l'ensemble de l'animé, parfois j'ai trouvé le scénario intéressant, intelligent et captivant et d'autre fois mal narrée, confus et trop lent, parfois j'ai ri de situations amusantes d'autre fois je trouvais qu'elle dénotait complètement avec le ton sérieux et sombre que venait de dégager la série, parfois j'ai été surpris de l'intelligence de la thématique d'autre fois je trouvais que ça se lançait maladroitement dans de la philo à deux balles, parfois j'avais de l’empathie pour un personnage et d'autre fois je le considérais comme une tête à claques... Ce qui est sûr c'est que je ne l'ai pas aimé autant que la plupart même si j'ai bien aimé certains passages.

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C'est très joli, l'OST est superbe, il y a de bonnes scènes d'action mais les personnages manquent de charisme à mon goût exceptés Saber et Kiritsugu (et encore, pas toujours) et pour moi Fate Zéro ça aura surtout été beaucoup de blabla qui m'a ennuyé parce que je ne m'attachais pas du tout aux personnages et que le scénario n'arrivait pas à m'intéresser, une très belle coquille mais que j'ai trouvé (quasi) vide, il est possible que je sois passé à côté de la profondeur du scénario, trop bête pour que je comprenne et que ce sera pas votre cas mais moi, à de rares moments près j'ai pas aimé l'histoire, dommage parce qu'encore une fois entre ce qu'on voit et ce qu'on entend l'animé a des atouts à faire valoir.

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J'ai regardé les trois premiers épisodes. J'ai pas accroché.