Bendis, je t'aime.

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Bendis a écrit Alias, véritable bijou de comics, que j'ai adoré. En tout cas, j'ai eu vraiment envie de découvrir ce qui semble être son chef d'oeuvre. Pour moi, il a toujours fait des chef d'oeuvres de toute façon. Récompensé par un Eisner Award du meilleur scénariste en 2002.

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La suite du premier tome d'Alias. Toujours aussi accueilli par la critique, Bendis a commencé à vraiment se forger une place dans l'écurie Marvel, grâce au "Fuck" et à son brillant personnage qu'il a totalement créé, Jessica Jones.

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Encore un comic que je n'ai pas lu, qui prend directement suite à Alias, même si la série n'a été écrite qu'en 2014. Gaydos revient pour dessiner quelques planches.

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Son passage sur la série Daredevil lui a permis de se faire encore plus connaître. Le Daredevil de Bendis est aussi connu que celui de Miller, c'est peu dire ! Deuxième série où il est encensé par la critique, récompensé par deux Eisner Awards du meilleur scénariste, en 2002 et 2003 et un Eisner Award de la meilleure série. Début de la longue association entre lui et Alex Maleev.

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Suite du chef d'oeuvre du maestro.

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Suite du chef d'oeuvre du maestro.

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Suite et fin du long run de Bendis sur Daredevil qui a marqué les esprits.

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Bendis revient sur Daredevil pour raconter une histoire racontant la mort de Daredevil. Moins bonne que les autres, ou est-ce seulement que l'on n'appréciait déjà plus son travail ? En tout cas, j'ai hâte de le lire en février !

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Deuxième association entre lui et Maleev. Une histoire que je vais dévorer dans quelques jours, où il raconte les péripéties de Moon Knight, héros dérangé aux multiples personnalités, qui ne cherche qu'à rendre la justice en tuant.

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Suite et fin du court run sur Moon Knight. Les lecteurs US n'avaient pas aimé le run, ce qui a conduit Bendis à lâcher le titre pour être remplacé plus tard par Ellis.

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Début de son périple sur la meilleure série Marvel, New Avengers. En 3 numéros et un Finale, accompagné du sombre et violent dessinateur David Finch, il instaure une sensation de comics encore jamais vu chez les Avengers et en tue et les sépare. Totalement époustouflant.

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Grâce à Bendis, New Avengers s'impose sur le marché du comics et les Avengers deviennent alors le comic book le plus rentable. Il reconstruit les Avengers en 6 épisodes en rassemblant les meilleures héros de la Terre.

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Il pioche dans l'encyclopédie Marvel pour faire revenir des héros totalement oubliables en les rendant incontournables tout en imaginant des dizaines de trames à la fois avec de l'action à en mourir de plaisir. Surtout quand c'est dessiné par McNiven et Finch.

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Accompagné par 5 artistes différents, les 5 épisodes se concentrent sur un protagoniste durant Civil War. Totalement oubliable, les tie-ins sont dispensables. Dommage.

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Dans cette mini-série de 6 numéros, Bendis créé les Illuminatis qui seront par la suite capital dans l'univers Marvel et dans la série New Avengers d'Hickman. Des comploteurs aux pouvoirs illimités, se réunissant dans le secret... Sublime. Il réinvente l'histoire Marvel.

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Ici accompagné de son favori Maleev, McNiven et Yu, il fait revenir des héros qu'il avait jadis tourmenté et recompose l'équipe, cette fois-ci avec tous les héros urbains. Une belle preuve que ces derniers ne sont pas des héros de seconde zone.

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Accompagné des meilleures artistes Marvel de l'année, il instaure son prochain event, Secret Invasion. Un des arcs des plus soigneux et beaux.

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Prologues, tie-ins et épilogues à Secret Invasion sont au rendez-vous. Billy Tan signe ici son début de collaboration avec Bendis, et on ne se plaint pas. Son style rappelle David Finch, qui hélas n'avait pas dépassé les 12 épisodes...

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Les deux dessinateurs que je préfère sur mes deux arcs préférés : "Power" et "Panne Sèche". Ici Bendis fait affronter les New Avengers urbains aux vilains urbains et ça déchire. Une des preuves que Bendis était LA personne à qui il fallait confier New Avengers.

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Dans Siège, qui sert de tie-in à son event de même nom, il prend part à une très belle histoire. Le volume 1 s'achève, après 65 numéros et un Finale grandiose qui rend hommage aux nombreux dessinateurs et arcs qu'a eu la série.

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Dans le volume 2, Bendis revient à la charge dans deux arcs complets et intéressants. De nouveaux héros au programme et de nouvelles menaces. Début du mécontentement des fans et de la longue collaboration avec Deadota Jr, star montante de Marvel.

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Tie-in à Fear Itself. Sans intérêt pour toujours bien écrit. Daredevil, dernier héros urbain à ne pas être dans l'équipe, entre dans les New Avengers.

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Bendis fait revenir ses Dark Avengers, mais les lecteurs en ont marre. Bendis n'arrive plus à écrire des histoires différentes et tout se répète. Pour ma part, c'est excellent.

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Tie-in à son event Avengers vs X-Men. 7 épisodes pour pas grand chose au final.

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Bendis signe la fin de sa longue prestation (8 années) sur New Avengers dans un finale qui mange cruellement de bons dessinateurs... Très dommage de finir comme cela, alors que c'est beau et touchant.

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Premier event qu'il raconte. Première déception des lecteurs.

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Deuxième event pour une histoire que tout le monde adore. Le comics devient culte et introuvable.

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Troisième event où il met en place tous les pions de ses séries. C'est grandiose.

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Siege marque la fin d'une époque. Pourtant, l'event ne dure que 4 numéros et Coipel n'est pas en forme.

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Collaboration avec tous les autres scénaristes talentueux de Marvel pour un event massif déguisé en Civil War.