Cover Ces femmes qui ont fait rêver

Ces femmes qui ont fait rêver

Ce Top rassemble des actrices de légende pour la plupart qui ont pour principal atout leur plastique, en plus de leur don de comédienne, c'est ce qui a envoûté les esprits masculins de la grande époque à Hollywood, le côté glamour. Le classement chronologique m'a paru le mieux adapté.

Liste de

30 personnalités

créee il y a plus de 7 ans · modifiée il y a environ 4 ans

Greta Garbo

Greta Garbo

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femme énigmatique, déesse inaccessible, dotée d'un pouvoir magnétique, elle a incarné la femme fatale à laquelle il est difficile de résister. Surnommée "la Divine", c'est la première vraie grande star à Hollywood. Ses rôles de séductrices, sa beauté froide aujourd'hui un peu démodée mais indéfinissable, sa dure féminité l'ont rendue célèbre. Elle n'a tourné que 27 films, mais s'est retirée des studios en pleine gloire en 1941, refusant toutes les propositions.

Fay Wray

Fay Wray

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pour tous les cinéphiles, elle reste Anne Darrow, l'héroïne de King Kong ; des 70 films qu'elle tourna, c'est le seul qui lui valut une auréole d'immortalité. Beauté typique des années 30, elle tourna dans beaucoup de films d'épouvante où elle excellait car on lisait la peur dans ses yeux et sur son visage.

Jean Harlow

Jean Harlow

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"la Blonde platine" comme on la surnommait, au charme coquin, elle représente un prototype de femme des années 30. Dans ses films, elle affiche sa sexualité sans hypocrisie en créant un type de femme fatale blonde, alors qu'au temps du muet, la femme fatale était brune.

Marlene Dietrich

Marlene Dietrich

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elle reste l'un des plus grands mythes du 7ème Art comme Garbo, mais aussi du 20ème siècle. Immortalisée d'abord en Allemagne avec L'Ange bleu, sa carrière hollywoodienne va connaitre un essor considérable avec de très grands films baroques qui serviront son mythe. Marlène, c'est l'incarnation d'une sensualité perverse mais aussi d'une très grande classe, tout en jouant de sa beauté fatale avec ses jambes et le pouvoir de sa voix.

Katharine Hepburn

Katharine Hepburn

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en dépit de sa réussite, elle n'est pas devenue un mythe comme Garbo ou Monroe, elle n'était pas non plus d'une beauté sensationnelle, mais elle reste avant tout une formidable comédienne qui a excellé surtout dans la grande comédie où elle incarnait des pestes ou des rôles de femmes libérées. En prenant de l'âge, elle a pu aborder un registre beaucoup plus dramatique et poignant.

Olivia de Havilland

Olivia de Havilland

Actrice

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égérie de la grande époque hollywoodienne de l'âge d'or, on la retrouve dans de très grands classiques comme Autant en emporte le vent ou les Aventures de Robin des Bois. D'ailleurs, elle fut 8 fois la partenaire d' Errol Flynn de qui elle subissait les farces de mauvais goût. C'est l'ingénue type, à la douce féminité, qui change de registre en vieillissant.

Judy Garland

Judy Garland

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à 17 ans, elle est la vedette du Magicien d'Oz, féerie musicale de 1939, où elle susurre "Over the rainbow". Ses atouts : sa vitalité, son visage d'ange, sa justesse de ton, et surtout sa voix merveilleuse qu'elle saura mettre en valeur dans de nombreux "musicals", côtoyant tour à tour Fred Astaire ou Gene Kelly. Elle est la mère de Liza Minnelli.

Rita Hayworth

Rita Hayworth

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idole de l'Amérique masculine des années 40 puis un peu 50, elle reste comme le symbole de la pin-up, et avait les atouts qui faisaient rêver les hommes : corps splendide, opulente chevelure rousse, sensualité évidente, bref un monstre de luxure qui dans le cinéma d'après-guerre, reste le symbole irritant de la femme factice qui agit mécaniquement, sans sincérité. Aussi, en 1948 quand son mari Orson Welles brise l'image stéréotypée qu'elle représente aux yeux des hommes en coupant ses longs cheveux, le patron de la Columbia frôle la crise cardiaque. Sa fin de carrière sera hélas douloureuse et pathétique.

Gene Tierney

Gene Tierney

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elle se confond dans le souvenir des cinéphiles avec le souvenir de Laura, film mythique qui immortalisa son personnage de femme triste et meurtrie, éprouvée par la vie et souvent touchante, même si on l'employait aussi pour jouer les femmes objets et les faire-valoir. D'une admirable photogénie avec ses fameuses pommettes, ses magnifiques yeux bleus en amande et son sourire retenu, elle fut mon premier fantasme d'ado. Elle reste inoubliable aussi dans L' Aventure de madame Muir, Péché mortel, et les Forbans de la nuit...

Maureen O'Hara

Maureen O'Hara

Actrice

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actrice fétiche de John Ford, le technicolor mit en valeur sa splendide chevelure rousse et ses yeux verts. Son registre étant très varié, elle put aborder autant la comédie, le drame, le film d'aventure exotique ou le western...

Veronica Lake

Veronica Lake

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Veronica Lake était une de ces femmes qui étaient l'image parfaite de la femme américaine idéale pour peupler les rêves des GI's loin de chez eux pendant la guerre. Son grand atout fut sa longue chevelure dont une lourde mèche blonde retombait sur l'oeil. Séduisante et malicieuse, elle fut une figure captivante du vieil Hollywood, une reine du glamour, formant avec l'archangélique Alan Ladd un couple idéal de l'écran dans 3 classiques du film noir : Tueur à gages, la Clé de verre, et le Dahlia bleu. Sa déchéance fut hélas brutale : délaissée par Hollywood, elle sombra dans l'alcool et mourut en 1973 dans l'oubli le plus total.

Lana Turner

Lana Turner

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reine des vamps et des femmes fatales ensorcelantes, dont le plus bel exemple est celui de Cora dans le Facteur sonne toujours 2 fois, en poussant l'audace d'être toute de blanc vêtue (alors symbole de pureté). Sa vie privée orageuse peuplée de scandales fracassants n'a pas entravé sa carrière, elle a trouvé de bons rôles et a travaillé avec de grands réalisateurs.

Jane Russell

Jane Russell

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celle que l'on surnomma "le Buste" fut l'un des plus célèbres produits érotiques d'Hollywood, découvert par le milliardaire excentrique Howard Hughes qui en fit sa protégée et qui fit tout pour mettre ses charmes en valeur, notamment son opulente poitrine. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, elle fut aussi une bonne comédienne, en dépit d'une beauté vulgaire et agressive ; elle fut la digne partenaire de Marilyn Monroe dans Les Hommes préfèrent les blondes.

Ava Gardner

Ava Gardner

Actrice

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sa plastique superbe, sa beauté impériale, son regard envoûtant, sa présence d'exception en font l'une des plus belles actrices de tous les temps. Elle atteint son apogée dans les années 50 avec des rôles fiévreux, vénéneux, en jouant ouvertement à la femme fatale. C'est avec la Comtesse aux pieds nus qu'elle atteint son plus haut degré de mythe.

Lauren Bacall

Lauren Bacall

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Lauren Bacall est l'exemple le plus parfait de la femme de polars par son charme ambigu, son charisme et sa très grande classe. Quand elle apparait à 19 ans dans le Port de l'angoisse, face au monstre sacré qu'est Bogart, elle lance des répliques effrontées ainsi que son fameux regard par en-dessous qui allait lui valoir le surnom de "The Look". Ces grands yeux félins qui scrutent le partenaire, et sa personnalité de femme d'aplomb qui répond avec l'insolence d'un homme, aidée par sa voix rauque qui lui permet des intonations troublantes, seront sa marque de fabrique. Marié en 1945, le couple Bogart-Bacall (qui tournera 4 films ensemble) impose une image de couple uni dans Hollywood la scandaleuse, malgré la différence d'âge, et ce jusqu'en 1957 à la mort de Bogart.

Gloria Grahame

Gloria Grahame

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sa troublante sensualité illumina quantité de films noirs, dont le plus célèbre reste Règlement de comptes où elle est défigurée par cette brute de Lee Marvin. Blonde un peu sophistiquée à la voix chaude et provocante, elle incarnera souvent la poule entretenue par un gangster, mais capable d'élans du coeur. Elle sera aussi brillante dans quelques drames poignants.

Bette Davis

Bette Davis

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contrairement à ses consoeurs, Bette Davis fut la seule actrice qui accéda au firmament en jouant les filles laides, les harpies collet-monté, les vieilles filles acariâtres, les épouses cupides, les victimes pleurnichardes ou les pimbêches victoriennes. Elle reste donc, en dépit d'une beauté relative, une très grande actrice de caractère qui a joué dans beaucoup de mélos larmoyants aujourd'hui un peu pénibles à supporter, où sa grâce sophistiquée faisait merveille. En vieillissant, elle trouvera des rôles intéressants de vieilles femmes hargneuses et aigries. Elle n'a cessé de vouloir être reconnue comme une actrice et non comme une star.

Rhonda Fleming

Rhonda Fleming

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Rhonda Fleming a été la rouquine la plus incendiaire d' Hollywood dans les années 50. Pourvue également d'une ravageuse sensualité, elle s'est spécialisée dans les rôles d'aventurière et fut remarquable dans plusieurs westerns.

Cyd Charisse

Cyd Charisse

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c'est la plus extraordinaire danseuse qu' Hollywood ait connue. Digne partenaire de Gene Kelly ou Fred Astaire dans de nombreux "musicals", elle s'exprimait avec tout l'éclat de son corps dans des numéros chorégraphiés pleins de grâce où elle mettait en valeur ses jambes magnifiques et son regard félin. Elle s'est aussi essayé au drame avec succès.

Elizabeth Taylor

Elizabeth Taylor

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après la mort de Marilyn Monroe en 1962, elle fut la dernière grande star de l'époque du star-system. Sa carrière s'étendant sur 4 décennies reste exemplaire à plus d'un titre, sa figure iconique liée à ses films alternant les grosses productions soignées et les drames efficaces, en mettant en valeur ses yeux violets et ses dons d'actrice, reste attachée à ses frasques légendaires, ses nombreux mariages et ses régimes alimentaires que la MGM lui imposait. Sa vie reste marquée par Richard Burton qu'elle épousa 3 fois, avec qui elle tourna 9 films, et qui formeront l'un des couples les plus mythiques.

Marilyn Monroe

Marilyn Monroe

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c'est le mythe à l'état pur, la star des stars. Elle reste le sex symbol par excellence, image qu'elle refusait pourtant farouchement, mise en place par la machine hollywoodienne qui l'a exploitée à outrance et qui finalement l'a broyée. Elle avait pourtant un immense talent, a imposé sa griffe grâce aussi à un humour piquant qui lui a permis d'être autre chose qu'un simple appât érotique. Son dernier film lui permit de révéler un personnage de femme sensuelle bouleversante, mais Hollywood n'a épargné ni sa personnalité, ni sa vie privée, d'ailleurs avec sa mort en 1962, c'est une partie d' Hollywood qui disparait avec elle. On a essayé de l'imiter sans jamais y parvenir, et il est triste que personne n'ait su rendre heureuse cette femme exquise.

Jayne Mansfield

Jayne Mansfield

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blonde pulpeuse qui réinventa l'érotisme grâce à son périmètre mammaire qui a nourri les fantasmes de millions d'Américains et même d'Européens. Sa popularité, son succès à Hollywood qui s'étalent sur une petite période, reposent presque entièrement sur son physique, mais quelques exceptions permettent d'apprécier un certain talent dans la comédie, où elle se moque de son image en parodiant Marilyn. Sa chute fut tragique, elle tomba entre les mains de charlatans, sacrifia sa fortune dans un luxe criard et tapageur, participa à des galas miteux de strip-tease pour payer ses dettes, et connut une mort horrible à 34 ans dans un accident.

Grace Kelly

Grace Kelly

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à l'opposée des bombes sexuelles dont chaque attitude devait suggérer le désir et la provocation, Grace Kelly incarnait la retenue, la distinction et la pudeur héritées de sa bonne éducation bourgeoise. D'une beauté glaciale, parée d'une élégance de mannequin, elle a tourné 11 films en 5 ans, mais ça suffit à imposer l'image d'une star à l'éclatante beauté blonde comme les aimait Hitchcock qui en fit son actrice fétiche, en mettant en avant sa photogénie rayonnante et son ambiguïté érotique autant que le permettait la censure de l'époque. Lorsqu'elle quitte l'écran en 1957 pour devenir princesse de Monaco, Hitchcock ne put jamais la remplacer, et des millions de cinéphiles ont pleuré en 1982 lorsque sa vie de conte de fée fut brisée brutalement sur une route de Côte d'Azur.

Audrey Hepburn

Audrey Hepburn

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pétillante comme le champagne, Audrey Hepburn a brillé dans la comédie sophistiquée, à l'image de Diamants sur canapé, affichant ainsi son image de gamine espiègle à l'éclatante fraîcheur, au charme acidulé et gracile, et à la charmante frimousse dévorée par de grands yeux de biche. Elle a toujours mis en valeur ce charme juvénile qui reste sa carte de visite.

Claudia Cardinale

Claudia Cardinale

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Italo-française née à Tunis, elle a trouvé quelques rôles intéressants à Hollywood en ayant la chance de ne pas être cantonnée dans la production populaire et en tournant avec de grands réalisateurs italiens comme Visconti qui sublime sa beauté resplendissante dans le Guépard. En 1969, un autre Italien, Sergio Leone lui offre un rôle marquant dans Il était une fois dans l'Ouest ; jamais une femme n'avait eu un rôle si important dans un western, elle y est alors au summum de sa beauté sensuelle dont elle saura jouer habilement. Elle a su garder jusque dans les années 70 son pouvoir de fascination.

Raquel Welch

Raquel Welch

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beauté sulfureuse avec un corps de déesse, elle est mon second grand fantasme de jeunesse dans Un million d'années avant Jésus-Christ, où elle est blonde et arbore un superbe bikini préhistorique en peau de bête qui laisse entrevoir une anatomie des plus généreuse. Mais il ne faut pas réduire Raquel Welch à sa beauté qu'elle saura balader dans des films d'action, même si on doit admettre qu'elle fut une star manufacturée, un symbole sexuel fabriqué de toute pièces comme le fut Bardot en France.

Natalie Wood

Natalie Wood

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rendue célèbre grâce à la Fureur de vivre, auprès de James Dean, elle a maintenu l'image d'une très jolie femme séduisante à la féminité débordante, où le sexe occupait le centre de la plupart de ses films, mais de façon discrète, tout comme son statut de star. Douée pour la comédie, elle a eu la chance de tourner sous la direction de réalisateurs importants et d'aborder des genres assez différents ; mais elle a disparu trop tôt.

Kim Novak

Kim Novak

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blonde sculpturale à la beauté froide mais ravageuse, c'est ce qui plut à Hitchcock qui lui confia un rôle devenu légendaire dans Sueurs froides. C'est l'une des dernières stars fabriquées par les studios, en l'occurrence la Columbia dont le patron, Harry Cohn, était fier de l'avoir lancée. On lui réglait dans les détails maquillage, coiffure, toilettes. Mais Kim valait bien mieux que ça, c'était une très belle femme qui se dissimulait sous ce masque, mais aussi une excellente comédienne qui n'a pas crée un personnage cinématographique original, mais qui a pu se montrer brillante dans la comédie légère et la comédie dramatique.

Angie Dickinson

Angie Dickinson

Annotation :

avec Marlène Dietrich et Cyd Charisse, elle a les plus belles jambes d' Hollywood. Elle est révélée à 28 ans dans Rio Bravo où elle est à l'origine d'un subtil jeu de séduction avec John Wayne. D'une beauté dépourvue d'agressivité, mais sensuelle et très féminine, elle a prouvé son talent d'actrice dans des films qui tournent souvent autour d'un univers masculin. Dommage qu'elle se soit dirigée un peu trop vers la TV ensuite...
je la préfère ainsi :
https://www.westernmovies.fr/image/2015/1522/angiedickinson.jpg

Faye Dunaway

Faye Dunaway

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comme d'autres actrices, Faye Dunaway s'impose d'une façon fracassante dans Bonnie & Clyde en 1967, rôle qui lui est associé à tout jamais dans l'esprit des cinéphiles. Ce rôle la portera vers des personnages fragiles, tourmentés, parfois névrosés, toujours sur la brèche, proche de la félure. Mais elle saura échapper de temps en temps à ce type de rôles excessifs, et sa filmographie compte de grandes réussites où elle impose une image de femme moderne blonde au visage doux, en évitant toujours de tomber dans la caricature ou la vulgarité. Son rôle de séductrice sophistiquée dans L'Affaire Thomas Crown (où elle échange avec Steve McQueen le plus long baiser de cinéma) reste également inoubliable. Elle a su magnifiquement révéler son hypersensibilité tout en libérant une sensualité débordante.
je l'aime dans Thomas Crown :
http://fr.web.img5.acsta.net/medias/nmedia/18/35/45/02/18393359.jpg

Ugly

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