Chefs d'oeuvre - Corée du sud

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Thriller psychologique, '2 Sœurs' est le chef d’œuvre injustement méconnu de Kim Jee-Woon.

L'écriture d'une rare intelligence gagne en intensité, malgré un démarrage timide.

Ne lisez aucune critique afin de ne pas vous faire spoiler.

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Plus grand succès au box office mondial pour un film sud-coréen, The Host est avant tout un film de monstre écrit et réalisé par un auteur : Boong Joon-ho.

Une référence pour entrer dans le cinéma sud-coréen, mêlant histoire de famille, cynisme, et émotion. Trois thèmes récurrents du cinéma coréen.

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Film intimiste et pesant, qui évoque l'amour sans conditions d'une mère pour son fils.

Le film le plus personnel de Bong Joon-Ho.

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Film policier qui alterne les genres et les registres avec brio. Petite pépite savoureuse passée inaperçue en occident.

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Thriller social dont on pourrait croire la recette exclusive aux auteurs européens, 'Sea Fog' étonne de par son regard, et ses fortes influences culturelles.

Une fenêtre sur le monde.

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Un film de vengeance classieux, racé, direct droit dans la mâchoire.

Les thématiques ne sont pas nouvelles et ne chamboulent pas les codes inhérents au genre, mais assurent un divertissement tiré à quatre épingles.

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Old Boy, what else ?

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Park Chan-Wook traverse l'Atlantique pour son 1er film américain. Bénéficiant d'une mauvaise presse, le film est perçu comme l'égarement du talent de PCW au service des studios US.

Au-delà de toute considération polémique, 'Stoker' est un film coréen avec des acteurs américains à leur meilleur (Nicole Kidman, Matthew Goode, Mia Wasikowska).

Mêlant film d'horreur et romance malsaine, PCW déballe un récit initiatique pesant, d'une rare maîtrise. Ce n'est qu'une question de temps, 'Stoker' sera reconnu à sa juste valeur.

Une maestria digne d'un Hitchcock perverti.

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Comédie macabre accumulant les gags sanglants. Une référence pour les amateurs du gens.

1er film marquant de Kim Jee-Woon (A Bittersweet Life, 2 Soeurs), qui s'est depuis perdu dans une carrière américaine fade.

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Inoubliable thriller gore et haletant, 'The Chaser' laisse K.O. quiconque osera s'y aventurer.

Un univers sans rémission, qui aligne écriture et réalisation implacables. 'The Chaser' met 10 ans dans la vue aux thrillers français et américains.

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L'un des meilleurs films de zombie qui m'ait été récemment donné de voir, qui investit le genre dans un huit-clos mouvant, le train, tout en y injectant la force de la fable sociale.

Là où les européens se vautrent dans le grand spectacle guignolesque, sans âme, Yeon Sang-ho combine à la fois le plaisir du genre, et l'intelligence du message.

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Après un détour peu concluant par les USA, Kim Jee-woon revient en sa patrie pour livrer un film sur les heures sombres de la Corée. Si "The Age of Shadows" éclaire une Histoire qui nous est méconnue, autant est-il aussi un grand récit d'espionnage, enlevé, jamais manichéen.

Bien que le film tarde à s'emballer, les enjeux qui s'accumulent créeront peu à peu des situations de cinéma mémorables (le contre-espionnage dans le train, l'embuscade de la gare), et s'achèveront par un sympathique twist des familles.

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Revoici Park Chan-wook dans la danse (macabre) des chefs d’œuvre du cinéma coréen. Premier volet de son tryptique de la vengeance, Sympathy for Mr. Vengeance est froid, lent, et peu avare en dialogues.

La compassion du titre sera surtout destinée à son réalisateur, hanté par une noirceur sans rémission, qu'il exécute dans une élégante mise en scène. La "sympathy" se mue en "Regards for Mr. Park".