De l'amour, des bits et des pixels

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L'ultime jeu de mon enfance. A l'époque impossible de faire les 120% (cette foutue zone cachée dans les Tours Hantées... J'avais pas Internet pour me guider à ce moment de ma vie...), aujourd'hui je le connais tellement par cœur que c'est devenu l'ultime instant chill que je m'octroi de temps à autres. Du bon plate-former 3d hérité de Mario 64, aux niveaux mignons tout pleins. L'épisode 2 ne retrouvera pas la magie de ce premier opus, la faute à des minis-jeux peu intéressants voir relous (et à des personnages agaçants) tandis que le 3ème abominable opus à une place toute trouvée en enfer. La génération de console suivante verra la saga sombrer dans l'indifférence avant que le récent remaster ne viennent remettre le dragon un temps à la mode

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Soul Silver m'aura fait réaliser que je n'ai plus vraiment la patience pour pleinement m'immerger dans un Pokémon. Pour autant cette version argent restera à jamais dans mon cœur pour le dépaysement absolu qu'il m'avait procurer.

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J'aimais beaucoup les Budokai, mais autant vous dire que quand j'ai vu qu'ils allaient faire un jeu DBZ où tu pouvais te balader un peu comme tu veux sur le terrain j'étais fou. Je choisis ce troisième épisode car c'est celui auquel j'ai le plus jouer et parce que son roaster est totalement dingue. Ce jeu me transforme en gosse de 12 ans.

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J'adore les circuits de ce jeu et comment les voitures se désagrègent (d'ailleurs la maniabilité demande un petit temps d'adaptation pour être en mesure de finir une course sans exploser son bolide). On peut aussi parler du mode derby qui, malheureusement, ne peut pas se jouer à 2 alors que merde, ce serait tellement marrant. Le multijoueur passera donc par cette série de mini-jeux débiles et incroyablement fun consistant à volontairement éjecter le conducteur de son bolide (j'adore ce mot). Quoi de plus amusant après tout que de se servir du corps désarticulé d'un pauvre type comme d'une boule de bowling ou d'un ballon de foot?

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Une leçon de level-design. Le jeu propose deux approches (bourrin et fufu) qui, et c'est là une première, sont bien foutues TOUTE LES DEUX. Un miracle qui tient en deux choses. Premièrement les pouvoirs, que l'on va choisir selon son style et qui peuvent se combiner. Ensuite la construction des niveaux qui permettent 1000 approches possibles et font que, d'un joueur à l'autre, la même situation sera abordée d'une manière totalement différente. Le gameplay sert le level-design qui lui même sert le gameplay. Saluons aussi le travail sur la direction artistique.

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Le jeu a pas mal de problèmes qui, objectivement, font qu'il ne s'agit pas d'un bon jeu. Bon c'est pas non plus mauvais hein, mais pour un rpg ça manque de profondeur. Le seul vrai parti pris c'est la barre de caca de ton digimon qui peut être vite énervante quand aucune toilette n'est à portée (ce qui arrive fréquemment). Si ton digimon est trop crade il se transforme en Numemon ou en Sukamon qui tout deux sont des merdes (genre littéralement hein, genre ils ont l'apparence d'un étron). Sinon y'a aussi ce problème au niveau des musiques qui sont très chouettes mais qui reloop à chaque changement de tableau. Si vous avez vu le JDG sur Faces of Evil vous voyez parfaitement ce dont je parle. Pourquoi j'aime ce jeu du coup? Bah déjà c'est DIGIMON et j'adore DIGIMON. Ensuite parce que le jeu a son ambiance assez cool et reposante. T'as vraiment l'impression de partir à l'aventure et c'est sympa de voir ton village se remplir peu à peu. Puis y'a des zones vraiment chouette comme le niveau des jouets ou le château de Myotismon. Faudrait que je le finisse un jour...

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Deux jeux en un. Soit vous la jouer réglo et vous vous retrouvez devant un jeu d'action-aventure plutôt médiocre. Soit vous sortez les cheats et là on s'amuse. Pourquoi s'emmerder à suivre le scénario (certes intéressant) et des missions nulles (et parfois à peine jouable) quand on peut découvrir les mystères du jeu en écoutant "Free Bird" dans sa voiture qui vole? Puis à l'époque y'avait toutes ces rumeurs qui donnaient du piment (Internet n'était pas encore ce qu'il était) à coup de "y'a le Yétis au Mont Chiliad" ou encore "non mais je te jure y'a un tueur dans la cabane là si t'y vas la nuit". Ça a contribué au mythe du jeu

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Beaucoup le considère comme le meilleur de la série grâce à la variété du gameplay. Raison pour laquelle je l'aime moins que le 2. C'est vraiment une fausse bonne idée dans la mesure où, en terme de plate-forme, Crash Bandicoot est une quintessence. Pourquoi donc rajouter des courses de moto où ces niveaux d'avion que je déteste? Si je veux jouer à un jeu de course j'achète Mario Kart ou Crash Team Racing (qui à l'époque n'existait pas mais bon)... On pourrait penser que c'est des niveaux en plus mais quand tu veux faire le 100% ça peut être gonflant de devoir assurer dans un truc qui t'emmerde. Et puis ils auraient pu mettre plus de plate-forme à la place... Ou faire comme avec les niveaux sur la Grande Muraille avec une variation sur le thème de la plate-forme. Pour en revenir au 100% il est totalement niqué par les niveaux en véhicules (cette maudite dernière caisse que j'ai cherché 30 minutes dans le dernier stage en jet-ski) et son time trial (je HAIS le time trial). Euh du coup pourquoi ce jeu est ici? Bah les niveaux de plate-forme pur sont juste géniaux et la prise en main un véritable délice. Puis c'est beau quoi et j'ai fait ce jeu des centaines de fois étant gosse

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Le jeu a beau avoir 25 ans, aucun FPS n'est parvenus à atteindre cette intensité. T'as ton flingue et tu défonce des hordes de démons (avant de te faire chier pendant 1h dans des couloirs vides parce que trouves pas la clé jaune)

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En vrai j'ai pas fait ce jeu depuis le collège. Mais j'en garde des souvenirs vraiment très heureux (le multi en amis, le niveau de Metropolis). J'ai même pas envie de le refaire aujourd'hui tellement tout ceci est idéalisé dans ma mémoire et en font un précieux îlot de mon enfance toute aussi précieuse

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Mon premier jeu de baston et donc tout un tas de souvenir qui me sont chère. Et puis la série était pas encore tombé dans sa tendance à mettre un dernier combat impossible dans le mode arcade

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Le mode chronique de l'épée et l'ambiance générale du soft en font l'une de mes expérience les plus marquante, si ce n'est la plus marquante, en terme de versus fighting.

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Pas le jeu le plus dingue de cette liste, mais c'était la première fois que je jouais à un truc aussi sombre et déprimant à l'époque. Du coup je me souviens encore très bien de l'ambiance du jeu aujourd'hui quand bien même je n'y ai plus touché en 10 ans, je savais même pas que c'était possible à l'époque de raconter des trucs pareils dans un jv