En tant que fan absolu de Dexter, je me suis mis aussi à quelques séries depuis quelque temps

Annotation :

Quoi dire, si ce n'est que "Alice in Borderland" est un must du genre.
16 épisodes dantesques adaptés d'un manga qui nous emmène dans un univers réel (ou irréel ) peu importe, tellement cette série est prenante à tout point de vue.
Encore une fois nous sommes sur une série asiatique, japonaise celle fois ci, qui à le point fort de balayer tous les genres sans que ce soit indigeste ou fouillis.
Au contraire, à travers cette histoire d'homme et de femmes qui se retrouvent dans un méga jeu géant ou le but principal voir final est juste de vivre, nous découvrons tous ce qui fait que notre humanité est à la fois magnifique et détestable.
16 épisodes sans aucune faiblesse, un rythme, du suspense, des rebondissements, une imagination débordante mais qui ne fait jamais défaut dans cette fresque vers ....
La force de "Alice" c'est que en multipliant tous les genres, cette série nous emmène au fur et à mesure là où nous avons peur d'aller.
le dernier épisode, jusqu'à la dernière image est incroyablement fort et douloureux, avec un fin totalement "wouah"
Quoi dire encore, si ce n'est qu'en suivant tout ces héros qui en fait n'en sont pas, on se retrouve un peu tous au fur et à mesure, car le sujet principal finalement du film, c'est tout simplement la psychologie de l'humain.
Que sommes nous prêt à subir ou à faire subir pour vivre ou survivre.
Et au fur et à mesure que les jeux défilent, il suffit juste de sortir du contexte des arènes de ses jeux virtuels, pour nous remémorer un moment, ou une situation, ou le choix pris était surtout un choix par peur, ou par égoïsme.
Besoins vitaux, sens des valeurs, vive pour les autres, sens du sacrifice, oui tout cela c'est bien beau, mais quand ça nous touche personnellement, ont en oublie très vite le sens, sans être mauvais ou pire qu'un autre.
Ce que j'ai adoré dans cette série c'est ce mélange entre la psychologie humaine et le coté décalé de l'univers déshumanisé dans lequel ils vivaient tous.
Oui bien sur parfois ça peut paraitre un peu longuet, avec ce coté gnangnan mais c'est aussi le coté sens de la vie qui ressort avec donc ses bons et mauvais coté.
Alice in borderland c'est tout cela résumé, avec aussi des scènes incroyables de batailles et de tueries en masse (version battle royale)
Et finir avec ses 15 dernières minutes, là je dis juste,
"What a wonderful world"

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The Glory ou une vengeance parfaitement imaginée, tramée, complotée suite à l'enfer vécue par Dong-Eun .
16 épisodes tous plus puissants les uns que les autres, The Glory nous emmène dans l'univers torturé de la délicieuse mais aussi torturée Song Hye-kyo qui tient le rôle principal de cette femme meurtrie et harcelée 18 ans auparavant jusqu'au plus profond de sa chair.
La force principale de "The Glory" est que chaque épisode est plus prenant l'un que l'autre.
Le visage rarement souriant de Dong-Eun est une sorte de cicatrice à vie, pour qu'elle n'oublie jamais, et qu'elle ne recule pas dans sa mission de vengeance.
c'est passionnant jusqu'au dernier épisode, et très souvent poignant au fur et à mesure que l'on comprend et que l'on excuse la décision de Dong-Eun
Le harcelement est un sujet tellement actuel et tellement douloureux, que oui là milles fois oui on veut être le bras armé de cette vengeresse.
De multiples scènes prennent aux tripes, chaque personnage est savamment croqué, avec au fur et à mesure le visage et le vrai visage qui se dessine .
Coups bas, trahison, jalousie, hypocrisie avec un méga H, Méchanceté gratuite, c'est de toute cette soi disant bande que la vengeance se fera.
Comme souvent dans les films ou les séries coréennes le regard et les moments de silences sont d'une rare intensité, The Glory touche en plein dans le mille, et Song Hye-kyo crève littéralement l'écran.
C'est très juste, terriblement cruel, et délicieusement amoral, Mais c'est un bijou en terme de Série.
Une vengeance qui amènera peut être une seconde saison, même si je pense que ce sera difficile d'être aussi juste dans la narration et la scénarisation de cette quête d'une vie.
The Glory démontre pour ma part encore une fois la diversité et la créativité dans des histoires des plus dramatiques.
The Glory ce sont de bonnes et mauvaises rencontres "arrangées ou pas", avec des personnages qui sont comme la plupart des êtres humains ni coupable ni innocent.
La contradiction des sentiments est une des principales forces de la série, car, et c'est bien connu, parfois ouvrir la boite de Pandore est périlleux, mais aussi terriblement salvateur.
C'est tout cela The Glory, avec une réalisation très cinématographique dans le déroulé de l'histoire.
Cicatrices, et regards perdus, The Glory c'est aussi et surtout une actrice dont l'interprétation est à la fois juste, simple, émouvante et diabolique.
Grande série, mais là encore je n'en suis pas vraiment étonné

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The victims' game est une série taiwanaise qui m'a bluffé.
Au départ l'histoire est avant tout une intrigue passionnante autour d'un tueur en série.
Mais la force de "the victims' game", c'est le traitement de l'histoire à travers tous les principaux protagonistes.
Et d'un thriller classique mais palpitant nous dévions vers une histoire ou chaque personnage nous livre à la fois ses mystères, ses secrets, ses souffrances.
Quoi dire si ce n'est que je viens de me prendre une méga claque dans la figure.
Grandiose et douloureux, the victims' game est une merveille du genre.
Et même si ce n'est pas du cinéma coréen, on touche à ce que j'adore dans ce cinéma, la qualité de l'histoire, l'intrigue alambiquée mais crédible, et les regards perdus des personnages (moon lee wouah ! ) car the victims'game est avant tout une formidable et tragique histoire d'hommes et de femmes.
Vu la qualité de la saison 1 hâte de retrouver la saison 2 même si ils ont auront du mal à faire aussi fort.

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Grandiose, barré, démentiel, "Acharnés", Beef en VO est la série déjantée à voir.
Portée par deux acteurs exceptionnels, Steven Yeun et Ali Wong, "Acharnés", démarre sur les chapeaux de roue, avec une scène d'une telle banalité dans notre vie qu'on n'en fait même plus attention,
une querelle entre deux conducteurs, et le doigt (oups)
Et nous voilà partis avec 10 épisodes de 35 minutes a chaque fois dans un furieuse vendetta, qui va prendre des proportions tout simplement démentes.
Quoi dire, si ce n'est que cette série américaine, qui se passe dans la communauté asiatique de Los Angeles est tout simplement géniale, par son idée,
géniale par son rythme et surtout géniale par son duo d'acteurs qui incarnent des anti héros qu'on a envie de baffer, mais et c'est bien là le paradoxe, qu'est ce qu'on les aime.
La morale, s'il y en a vraiment une c'est que tout normaux qu'on est, on peut a n'importe quel moment devenir le pire des pire pour un simple regard, une queue de poisson, ou un coup de klaxon. Danny et Amy pourraient être nous, un mauvais soir une mauvaise journée, et hop tout s'enchaine, et nous entrons dans une sorte de dimension ou chaque geste, ressemble alors aux fameux mouvements des ailes d'un papillon, à savoir que tout aura des conséquences sur tout.
Et vraiment " Acharnés" à cette qualité de rythme, d'enchainement des situations sans trop en faire, on oublie le pathos insupportable qui aurait nuit à l'histoire, et nous sommes dans une sorte de "brut de fonderie" où la sortie de route risque d'être douloureuse et inéluctable.
Cette série est une pépite du genre, avec un humour très noir dans certaines scènes, et
certaines scènes totalement cultes.
La pratique du pistolet par Amy, ne manquant pas de sel :)
Oui "Beef" c'est un vrai coup de maitre. avec encore une fois ce duo au sommet de leur art, au plus haut de leur prestation, Steven Yeun et Ali Wong
A l'arrivée 10 épisodes, pour illustrer de main de maitre, le mal-être des hommes des femmes,
la difficulté de s'affirmer, et que parfois tout les moyens sont bons (mauvais)
Je termine par mon coup de cœur sur la bluffante Ali Wong tout simplement EXTRAordinaire dans son rôle d'Amy.
Un chef d'oeuvre qui nous fait prendre un P.... de pied !

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Juvénile Justice ou comment suivre la vie d'un tribunal qui s'occupe des jeunes délinquants. Cette série coréenne est un pur bijou en la matière. Cette fois ci nous ne sommes pas dans l'extra violence ou dans le thriller pur. Non là, nous suivons à travers la vie d'une juge "qui hait les délinquants mineurs" . 10 épisodes pour une première saison qui touche en plein cœur. Toutes les histoires, les intrigues, les personnages et même les "secrets" des personnages principaux sonnent juste, c'est épuisant émotionnellement parlant, mais le sujet par lui même ne peut que l'être. Tout est réussit, on oublie l'histoire à l'eau de rose, on oublie surtout la petite amourette qu'il y a souvent dans ce genre d'intrigue celle qui est une sorte de deuxième histoire qui souvent n'a que peu d'intérêt.
Non encore une fois, Juvenile Justice est bluffant par le ton humain tellement inhumain, mais juvenile justice c'est aussi et surtout une actrice extraordinaire qui porte son combat au delà même de ses forces. Son nom Kim Hye-soo - cette actrice porte cette série, uniquement par la puissance de sa présence. Un prestation XXL pour une série coréenne encore une fois
qui fait mal là ou on doit avoir mal

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Alors ça y est j'ai vu la fameuse série dont tout le monde parle.
En règle général, j'évite car la plupart du temps je suis déçu.
Mais dans le cas de "Squid Game" il s'agit déjà d'une série coréenne, et ne serais ce que cela ça je ne pouvais que céder à cette merveilleuse tentation.
Je viens donc de regarder les 9 épisodes et Squid Game a été la hauteur de mes grandes attentes.
Une série avec un coté extrêmement violent, un pamphlet des jeux du cirque, version moderne de notre beau monde civilisé.
Et surtout un magnifique florilège d'être tous plus ou moins humain dans le pire du meilleur qui devient malgré tout le pire.
Tous les ingrédients à la sauce coréenne sont réunis dans squid game qui a travers un jeu nous démontre comment chaque être humain redeviendra une véritable bête fauve soi disant pour les autres mais avant tout pour lui.
La parfaite définition étant l'épisode 6 pour moi le must de cette saison 1,
ou toutes les bassesses sont possibles, car il y a l'excuse du fameux règlement. Cet épisode 6 mettant très mal à l'aise car il est une sorte d'hymne à la trahison.
Alors peut importe le flacon, pourvu qu'on est l'ivresse, une ivresse totalement destructrice

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Série suédoise d'un réalisme qui fait froid dans le dos.
Chef d'œuvre avec une actrice Gizem Erdogan dans le rôle de Perlin absolument extraordinaire.
Kalifat est un voyage en enfer dont on ne revient pas.

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Remarquable série avec un suspense au couteau pendant les 7 premiers épisodes. Le dernier étant celui de la vérité, d'ailleurs c'est son intitulé et à l'arrivée c'est presque le moins palpitant de tous.
Mais Clickbait par son approche, son style et son suspense est une série qui ne donne qu'une envie c'est de comprendre qui est qui et pourquoi tout cela.
Une totale réussite avec tout ce qu'il faut de rebondissement mais sans trop en faire.
Adepte des thrillers avec des énigmes à tiroir , clickbait répond totalement à ce plaisir et ne va jamais dans la caricature, non juste ce qu'il faut pour distiller épisode après épisode le mystère autour de Nick.

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Entrevias (un quartier de Madrid) au départ c'est une sorte de tragédie version thriller à travers la relation entre une jeune femme et son grand père. ce que j'ai apprécié dans cette série, ce sont les 3 premiers épisodes, sombres et tendus à souhait, ce que j'ai moins apprécié c'est l'histoire qui s'éternise et qui aurait gagné à avoir facilement deux épisodes en moins. De plus le jeu au fur et à mesure trop caricatural de José Coronado dessert une intrigue qui pourrait être plus prenante. Entrevias reste une très bonne série à l'espagnol, avec une atmosphère réussie, et surtout deux acteurs qui crèvent l'écran. L'excellent Flic Ezéquiel joué par Luis Zahera, et la sublime et fragile Nona Sobo.
8 épisodes c'est je pense deux de trop, mais "Entrevias" est à voir.
Et bien la saison 2 est différente dans le style mais l'intensité dramatique, et la vie de ce quartier pas comme les autres se bonifie avec le temps.
Différente de la première saison, Entrevias saison 2 est différente et c'est aussi une vraie qualité de ne pas être rester dans un scénario différent.
La relation grand père fille, les flics pourris, les gangs sans foi ni loi, mais également, le combat intérieur d'Irène est à la fois passionnant mais également émouvant .
Saison 1 : Moyenne avec des épisodes de grandes factures,
Saison 2 : Tout y est, suspense, rebondissements, émotions, et bonheur vers le malheur.
Et heureusement la distribution reste la même !

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Furtive est une série Sud Africaine de 6 épisodes d'une intensité rare, inspiré d'une série Turque "L'ombre de Fatlma".
Furtive, c'est avant tout une histoire d'une femme simple, invisible comme certains le disent, une femme qui va juste chercher son mari qui a purgé 2 ans de prisons.
El l'histoire commence, le mari n'est pas là et Zenzi décide alors de tout faire pour le trouver.
Unseen démarre alors et de bout en bout nous allons suivre ce parcours non initiatique interprètée par la bluffante Gail Mabalane.
Zenzi va se retrouver seule contre tous et toutes, et va faire le ménage sans balai ni aspirateur.
Série de 6 épisodes, avec une atmosphère prenante, intense et dramatique, Furtive c'est cette femme qui au départ ne désirait que vivre heureuse avec son homme et son fils.
Et puis tout a dérapé, pourquoi, dans quelle circonstance, et comment tout à dérapé.
Cette femme si discrète que l'on ne remarque pas va alors se transformer en sorte de super héroïne, mais sans cape ni super pouvoir.
Juste avec sa volonté de retrouver son homme.
Son parcours va alors se transformer en chemin de vie ou de mort, pour la découverte de la vérité, des vérités qui ont fait de sa vie un enfer.
Plus rien à perdre, plus rien à penser, juste avancer.
Telle pourrait être la devise de Zenzi, à la fois fragile et impitoyable.
Furtive c'est donc tout cela, avec en plus la prestation 5 étoiles de Gail Mabalane

Annotation :

Sambre est une série hors norme, inspiré d'une "terrible" histoire vraie.
L'histoire d'un violeur en série qui a sévit 30 ans.
Sambre est ce qu'on appelle un "true crime", mais avec un coté génialissime dans son traitement et sa réalisation.
6 épisodes et à chaque fois 6 acteurs principaux de cette incroyable et pathétique histoire.
Tout est bien pensé, tout est juste, certaines scènes sont tout simplement tellement inimaginables qu'on peux penser que c'est du fake.
Et non ce monsieur tout monde qui a été au départ magnifiquement imaginé comme un marginal seul et dépourvu de vie social, oui ce monsieur tout le monde était ce qu'on appelle un mec bien.
Il rigolait, plaisantait et venait même au commissariat rigoler de son portrait robot, oui juste incroyable.
30 ans d'enquêtes qui aurait du probablement durer à peine une année si on avait juste pris au sérieux ces femmes "qui ont eu de la chance" comme le disait le gentil policier du départ.
Formidable exercice de style que ces 6 épisodes, il ne faut pas attendre un suspense ou autre car dès le départ on sait qui est le coupable.
Non c'est la manière dont l'enquête a été traitée au départ, et quand enfin les moeurs ont évolués que les choses ont fini par bouger.
Et qui de mieux que le formidable Olivier Gourmet pour jouer le commandant "cold case" qui va ressortir des tiroirs toute l'incompétence de ces hommes et de ces femmes qui ont estimé que finalement c'était un truc parmi tant d'autres.
Grande réussite, 6 épisodes incroyable d'intensité et d'émotion, mais aussi qui mettent en avant la souffrance des victimes qui en plus d'avoir été atteint dans leur propre chair n'osaient pas
de peur de faire honte.
Terrible réquisitoire de ce qu'a été a un moment donné la justice !
6 épisodes pour ouvrir les yeux, 6 épisodes tous plus réussis les uns que les autres.

Annotation :

Série américaine en 10 épisodes adaptée de la série israélienne Kvodo, Your honnor est un bijou de noirceur, un bijou de face à face entre deux hommes.
Même si l'intrigue est passionnante de bout en bout, la force de cette série se tient surtout dans les personnages avec un formidable Bryan Cranston dans le rôle du juge, mais surtout un incroyable et totalement charismatique Michael Stuhlbarg dans le rôle de Jimmy Baxter.
Rien que pour sa prestation il faut regarder Your Honnor

Annotation :

Fameuse série danoise, The Killing est une série réussie en tout point.
Comme souvent la première saison est un pur chef d'œuvre du genre avec un scénario et des personnages au diapason de l'histoire.
Du thriller à la sauce danoise haut de gamme

Annotation :

Mini série danoise qui nous emmène dans la douceur (c'est un euphémisme) de la vie danoise. Seulement là le thème principal c'est les marrons, pas ceux qu'on peut distribuer à coups d'uppercut, non ceux qui tombent des arbres. A travers la poursuite d'un tueur en série surnommé "l'homme aux marrons" nous suivons la quête de Naia et de Hess dans ce mystère qui au fur et à mesure des épisodes nous captivent de plus en plus. Octobre c'est 5 premiers épisodes parfaitement réussis dans l'intensité, dans le suspense, dans l'angoisse et dans les rebondissements. Mais Octobre c'est aussi un épisode final qui me concernant m'a un peu laissé sur ma faim. Cela a manqué de subtilité et n'a pas gardé le jeu du mystère des autres épisodes. Dommage que l'épilogue ne soit pas aussi intense que toute l'histoire, mais Octobre reste une très bonne série, sombre et froide. Et peut importe le mois, elle vaut le coup d'être regardé.

Annotation :

Voilà une mini série très réussie, adaptée d'une œuvre du très prolifique mais pas toujours qualitatif Harlan COBEN. Là pour le coup la série est une belle réussite à tout point de vue. En premier lieu, aucun épisode n'a de faiblesse, de la première minutes à la dernière minute, on reste accroché à l'intrigue. Alors oui, certains rebondissements, sont très rapidement décelables, mais cela n'enlève rien à l'intrigue, aux suspenses, et aux multiples secrets qu'intimidation va bien vouloir nous livrer. Au milieu de tout ce maelstrom de vie, une inconnue, the strange au regard un peu perdu, mais pourquoi est elle là ?
C'est cela et bien d'autres choses qu'au fur et à mesure que se déroule les 8 épisodes d'intimidation nous allons découvrir.
Avec "the strange" Harlan COBEN montre qu'il a encore parfois des idées qui tiennent la route, du début à la fin du chemin.

Annotation :

Mini série de 6 épisodes intrigante et passionnante de bout en bout.
Le dernier épisode se montrant à le fois étonnant et très surprenant.
Une série britannique à voir aussi pour le charme envoutant de son héroïne principale

Annotation :

Et voilà, encore une série inspirée d'Harlen Coben.
Celle ci à les même caractéristiques que tout l'univers de HC , à savoir une histoire qui démarre très rapidement, donc pas de round d'observation.
Puis une intrigue à base de secrets, de mystères, de disparition, et de meurtres.
Safe en série c'est 8 épisodes d'une quarantaine de minutes qui se visualisent avec grand plaisir.
Safe c'est aussi Dexter, en mode médecin qui se retrouve embarqué dans une histoire qui le dépasse.
Comme dans toutes les histoires d'HC, on peut estimer qu'il en fait parfois trop à compliqué et à multiplier les coups de théatre.
Mais il y a rien à dire, ça fonctionne.
Le thème de Safe c'est avant tout l'environnement, les gens autour de nous, les voisins, les amis, la famille, et oui on ne les connait jamais vraiment et parfois mieux vaut ne pas tout savoir.
Safe à la qualité de ses points faibles et inversement, mais la série est palpitante à suivre, pourvu qu'on adhère aux codes du suspense à la mode Harlen Coben.

Annotation :

Série Mexicaine dont la première saison est remarquable et passionnante.
En espérant que la suite sera du même tonneau

Annotation :

Epatante mini série de 6 épisodes suédoises
Ambiance gangsta, cité et startup,
et oui un mélange détonant pour 6 épisodes percutant

Annotation :

Basée sur les mémoires de Colin Sutton, un enquêteur britannique, Manhunt : sur la piste du tueur est une série en 3 épisodes qui nous raconte l’histoire vraie de la traque de Levi Bellfield, un tueur en série ayant sévi en Angleterre entre 2002 et 2004. Série anglaise glaçante par son atmosphère et son héro principal un flic véritable anti héro impeccablement interprété par Martin Clunes, parfait, et si "so british"
Manhunt à une grande qualité c'est qu'en trois épisodes l'affaire est pliée.
Parfois il faut attendre 6 ou 7 épisodes avec beaucoup de remplissage inutile.
Manhunt ne cède pas à cette tentation et les trois épisodes sont tous aussi passionnants les uns que les autres et nous emmène dans le brouillard d'une grande banlieue de Londres, ambiance "jack l'éventreur" .. une réussite

Annotation :

Innocent est une mini série espagnol inspirée d'un roman d'Harlan Coben .
Et comme dans tous les romans de Coben, nous avons nos fausses pistes, notre suspense alambiqué, nos vilains gentils, et nos gentils vilains.
Mais à l'arrivée "Innocent" est une belle réussite, qui se partage en deux principales étapes.
Les 4 premiers épisodes étant pour moi au TOP tant dans le suspense et tant dans la présentation des personnages, et les 4 derniers étant un peu moins prenant, avec des rebondissements qui ne sont pas des plus bluffant.
Il en reste néanmoins une bonne série à voir.

Annotation :

Mini série française inspirée d'un fait divers réel.
Laetitia est une réussite dans le style, et à le mérite de nous relater l'histoire sans pathos exagéré et sans effets de manches dont abusent parfois les séries françaises.

Annotation :

Série policière qui aurait pu être excellente si elle avait duré 3 ou 4 épisodes de moins.
tout était palpitant durant les 9 premiers épisodes, ambiance poisseuse à souhait, flic à la tête de nain de jardin excellentissime :)
bref la recherche de Moise était passionnante, mais franchement, à la fin j'ai un peu perdu le fil à partir de l'épisode 10
Un peu dommage, mais si 13 commandements reste une bonne série

Annotation :

Série suédoise à suspense, qui fonctionne à chaque fois par épisodes de 3
Je trouve que cela ajoute au rythme des intrigues, mais en revanche autant de malheur autour de notre héroïne sur cette île ça finit aussi par lasser un peu .
Se laisse voir

Annotation :

Et voici cette fois ci une série policière en deux saisons de 2X8 épisodes à chaque fois.
Suspense et intrigue plutôt réussies, même si l'atmosphère est moins glauque que les séries british ou nordiques, le silence de l'eau reste captivant du début à la fin.

Annotation :

Série espagnol de 6 épisodes (heureusement)
La petite fille sous la neige nous fait suivre une enquête d'enlèvement d'une petite à travers une journaliste qui va vite pour ma part devenir un personnage ennuyeux de l'histoire.
En effet pourquoi à chaque histoire de ce style, le flic ou la journaliste qui enquête on tous un passé torturé et on vécu des choses atroces avec des flash-backs incessant.
Clairement ça nuit à l'histoire, et pour ma part, ne m'a pas plus passionné que cela
Dommage car les 4 premiers épisodes sont de très bonnes factures avec une vraie intensité, des rebondissements et des fausses pistes.
Alors arrive le cinquième épisode qui nous dévoile une grande partie de l'intrigue, avec des ficelles aussi grosses que les macaronis mangés à midi.
Pourquoi Amaya a été enlevée ?
Quelles sont les motivations du ou des kidnappeurs ?
Pour quoi cette petite fille en particulier ?
Plein de questions plus d'autres qui suscitent un réel intérêt, mais le traitement du cinquième épisode me concernant m'aura refroidit car je l'avoue, ses fameuses ficelles m'ont paru un peu éculées, vois dépassées.
Légèrement dommage, car la série est bien monté, l'intrigue semble solide avec les bonnes pièces du puzzle.
Mais là ou le bas blesse un peu c'est que certaines pièces du puzzle sont très mal ciselées, et après 4 épisodes de très bonnes factures, le soufflé retombe et la dégustation devient trop
simple.
Probablement que pour un gourmand voir un glouton cela suffit mais pour un gourmet c'est bien insuffisant.
Au final 4 épisodes très prenant et deux autres qui se perdent un peu (mais pas sous la neige)

Annotation :

Encore une série suédoise, oui mais aussi Française.
Et sans être mauvaise langue, le fait qu'on est cette mixité rend l'intrigue moins glauque et plus plate.
Même si l'atmosphère et les paysage restent glacials, jour polaire à une vraie qualité son intrigue mais à un vrai défaut son faux rythme.

Annotation :

La disparition est une série espagnole dont l'intrigue commence avec l'enlèvement d'une petite fille. Et là, tout va s'enchainer, comme un peu un effet papillon une action un peu folle va engendrer pas mal de soucis et autres problèmes dans la vie de tous les protagonistes de l'histoire.
Entre un père qui veut coute que coute retrouver sa fille et se fait enfermer dans un endroit où le mot humanité n'a plus de sens. Entre une avocate qui use de tous les subterfuges pour de raisons quelques peu obscures, et je peux continuer comme cela encore très longtemps.
Alors oui c'est parfois captivant, c'est parfois même passionnant, mais les 11 épisodes à un moment donné deviennent un peu trop longs et les grosses ficelles de cette série font qu'elle ne restera pas pour moi dans les annales de la série.
Intéressante à suivre (par moment) mais loin d'être captivante

Annotation :

Sympathique série du style comédie policière.
Clairement on sent que les intrigues seront la plupart du temps secondaires, et que le ciment de cette série repose sur le numéro réjouissant d'Audrey Fleurot, excellente dans son rôle de surdouée du détail et des chiffres, qui plus est parfaite en emmerdeuse auprès de son acolyte joué par Mehdi Nebbou.
Un concept qui restera je pense très sympa pendant une saison,
mais, après on risque vite de tourner en rond.
Je réitère, sympathique !