Films vus en 2020

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Premier film de Miyazaki pour le premier film de l'année, parfait !
Aventure où l'on peut voire les prémisses du studio Ghibli (ce supebe chateau !), au service d'un voleur gentleman

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Difficile de passer après le superbe Your Name, mais le dessin hyper-réaliste de Tokyo est toujours un délice pour les yeux, avec une histoire moins forte mais toujours efficace dans sa narration et ses personnages

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Petite claque d'animation française, qui alterne entre des instants très humains d'un Naoufel sous le charme d'une voix d'interphone (scène hautement réussie !) et des scènes d'aventures d'une main pour laquelle on se met à être très empathique. Dessins somptueux et musique très efficace pour le César du meilleur film !

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Après un début très influencé par les studios Amblin de Spielberg, on réussit à être très pris par l'aspect fantastique et le mensonge qui pourrit progressivement la vie de Simon. Pas toujours réussi, mais proposition bienvenue

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Feel-good movie LGBT jouant pas mal sur les clichés, qui ne cherche pas forcément à approfondir tous ses personnages, mais qui reste malgré tout sympatique

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Visuellement magnifique (peint entièrement à la main !), avec des effets de transition parfois bluffants, et une histoire d'enquête post-mortem relativement intéressante sur Van Gogh

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Présenté à la manière d'un diaporama photo, la forme prend tout son sens au fil du film pour dévoiler un récit de SF très marqué par la peur nucléaire du milieu du XXè siècle

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Film de procès réussi, qui ne cherche pas à convaincre de la culpabilité ou non de l'accusée, mais s'attarde sur les doutes de son entourage et de l'enquête

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Taika Waititi réussi le pari d'un Feel-Good Movie sur un jeune nazi enrôlé dans des jeunesses hitlériennes dignes de Moonrise Kingdom, avec un Hitler digne de l'imagination d'un enfant de 10ans, et une maman touchante jouée par une parfaite Scarlett Johansson.
Et ouvrir par les Beatles pour finir sur du David Bowie, c'est juste wunderbar

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Lave l'affront du Suicide Squad précédent et propose un film très centré sur Harley Quinn avec une Margot Robbie impliquée, et des scènes d'actions plutôt réussies. En y allant sans aucune attente, j'ai plutôt été agréablement surpris !

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Démonstration technique très réussie, qui permet une immersion au plus près des personnages et de l'enfer qu'ils traversent (coup de cœur pour la magnifique photographie des scènes de nuit, peut être par la surprise, la promo sur les réseaux m'ayant hélas dévoilé la spectaculaire scène finale)
Je me suis surpris quand même à essayer de remarquer toutes les coupures cachées ^^

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Sympathique réinterprétation du roman classique, avec d'excellentes performances d'actrices très attachantes et ayant une excellente alchimie entre elles. Moins culcul que j'imaginais, avec certaines préoccupations modernes (ou intemporelles ^^)

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Idéal à voir début mars 2020, quand le monde semble basculer doucement vers une pandémie mondiale ^^'
Teen-movie musical au milieu d'une apocalypse zombie, quand les plans de jeunes adolescents pour l'avenir s'assombrissent progressivement. Pas le plus optimiste ("No such thing as a Hollywood Ending"), mais les chansons sont sympathiques et les personnages attachants à suivre

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Premier film de confinement !
Moins intéressé que pour les Dracula et Frankenstein de la même époque (et sans doute déçu par la fausse image mentale d'une momie qui se baladerait en bandelettes tout le film ^^')

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Moins marquant que son remake musical, ça garde un certain charme années 50, avec ses dialogues comiques, ses décors carton pâte et une apparition furtive de Jack Nicholson

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Joli et rare exemple de "Stop Motion Live-Action" autour d'une querelle de voisins pour une fleur. Une chamaillerie qui prendra de plus grandes proportions, et qui sera récompensée d'un Oscar du meilleur court-métrage

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Réalisé par une moitié des "Daniels" derrière Swiss Army Man, The Death of Dick Long alterne son ton entre le drame que vivent les personnages et une certaine forme de comédie, de plus en plus malsaine à mesure que l'histoire avance. Un film qui va loin, là où on ne l'attend pas, et qui pourra perdre nombre de spectateurs en route

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"How does this got so fucked up so quick ?"
Daniels nous propose une ode quasi-poétique au grand n'importe quoi, une succession d'idées idiotes liées par une balle rouge se déplaçant sans raison. Parce que pourquoi pas

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Ne vaut le coup que pour Lupita Nyong'o, amusante en institutrice essayant de sauver ses élèves de primaire en sortie scolaire de l'épidémie de zombies. Pour le reste, le personnage principal est énervant, l'intrigue assez convenue, les idées relativement inexploitées et on s'emmerde un peu

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Conclusion légèrement moins psychanalytique que l'animé, mais qui reste malgré tout nihiliste et assez difficile à cerner.

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Profitons du confinement pour rattraper des classiques !
Efficace, passionnant, Kurosawa prend son temps pour développer son histoire et ses personnages, dont les fameux samouraïs prêts à se sacrifier pour défendre un village de paysans contre des bandits. Une fresque historique à la mise en scène soignée, qui s'autorise des moments légers avant des combats bigrement réussis