Ils ont croisé le regard en 2018

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JANVIER : Ca va vite, trop vite, ca passe à l'as des instants de vie intéréssant et ça traîne sur d'autres qui le sont bien moins. Dommage.

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JANVIER: Quelle belle découverte !

Après avoir vu Being John Malkowitch et avoir été à la fois très mal à l'aise et subjugé par l'écriture de Charlie Kaufman. Je me retrouve cette fois-ci dans mon lit, un samedi matin compliqué, à visionné ce film qui m'a touché au plus profond de mon être. Ce genre de visionnage qui donne de l'espoir dans le monde et qui vous fait vous sentir moins seule. Nous sommes des millions à nous chercher Charlie. Aime toi. Aimez-vous
"On est qui on aime, pas qui nous aime"

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JANVIER : Oui, oui, oui. C'est malin, c'est super bien calibré. Cléo est insupportable à souhait mais s'en est jouissif. Bravo Varda

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JANVIER : Quand-même très caricatural mais assez touchant par moment surtout pour les fiotes dans mon genre. +1 pour la bo

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JANVIER : Deuxième Varda de l'année et toujours autant d'affection pour cette femme. Tant de douceur et d'amour pour l'humain se dégage de ce film. Simple et efficace, cela fait du bien par ces temps compliqué.
Point négatif : Une mise en scène d'Agnes et JR que je trouve, parfois, un poil irritante. On ne s'improvise pas acteur...

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JANVIER : Mouais. Pas vraiment convaincu par cette histoire de passation d'héritage bourgeois malgré quelques moments de grâce.

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JANVIER : Je me suis senti voyeuse devant ces destins de vie qui m'ont laissés impassible. Ennui. J'ai failli m'endormir. Ca se la touche plutôt pas mal. Comme quoi le cinéma indépendant américain peut parfois être aussi ennuyeux que le français.

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FEVRIER

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FEVRIER : Claude, je t'adore hein. C'est vraiment super ce que tu fais ; un travail documentaire incroyable mais s'il te plaît, arrête de lire ton texte face camera pendant 10 minutes. C'est long et chiant et ça dessert le propos. Rends toi accessible, pour le bien de tous. (Et on parle même pas de Shoah. #9H40DEFILM!..)

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FEVRIER

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MARS : Bof.

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MARS : J'ai découvert Buñuel en décembre dernier avec "Le charme discret de la bourgeoisie" (oui, c'est pas le plus connu, j'en convient...) et c'est vraiment très bien. (oui, c'est vraiment construit comme argumentation.. Déso).

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MARS : AAAAAAAAH. Mi-cuit quand tu nous tiens. Bon en revanche, qu'on accroche ou pas au propos, on ne peut critiquer la photographie qui est vraiment incroyable. Chapeau Mandico.

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MARS :

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AVRIL : Toujours au tant de douceur et de poésie

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AVRIL :

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AVRIL : Ce film me hante toujours, à réussi à me créer une nouvelle angoisse..

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MAI :

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MAI :

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MAI : Pas un film, ni un documentaire mais assez pertinent pour que je veuille m'en souvenir.

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MAI : La jolie représentation des états de pensées et des préoccupations des habitants de Paris au mois de mai 1962. Ne serait-ce pas tout l'intérêt des films documentaires ?
Malheureusement, on retrouve dans ce film un certains élitisme critique vis à vie de ce qui occupe les esprits. Chris Marker et son cadreur Pierre Lhomme se jouent des intervenants avec un certains mépris qui m'a parfois déplu mais qui donne, aussi, de la constance à cette déambulation désenchantée.

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MAI : On est pas tous égaux. Pourtant, certains, même très avantagés préfèrent suivre leur passions plutôt que se conformer aux attentes de la famille. Petite pensée pour ce travail de longue halène de Julie Gravas, qui a dû un peu pleurer avec les centaines d'heures de rushs qu'elle a collecter tout au long de ces 15 ans.

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MAI : Hm..... Laissez moi encore un peu de temps !

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MAI :

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MAI :

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JUIN

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JUILLET

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JUILLET : Poelvoorde porte le film. Le huit-clos est perçu comme une galipette budgétaire un peu mal gérée. La fin est attendue. Au poste est pour moi le pire film de Dupieux qui s'est fait prendre à son propre jeu.

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JUILLET