Je n'aurais pas accroché à ces albums sans leur premier morceau

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Untitled me file des frissons à chaque écoute. L'ensemble de l'album est contenu dans ce titre, chargé de mélancolie et d'espoir.

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Seven Nation Army. Pas grand chose à dire de plus. Le titre est devenu célèbre internationalement, pourtant il contient déjà tout ce qui fait le génie des White Stripes sur cet album : le talent de Jack White à la guitare et l'habile mélange de garage rock et de blues.

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J'affectionne l'ensemble de la discographie des Strokes, mais à mon sens aucun morceau n'arrive à la cheville de Is This It. La chanson contient une atmosphère unique que je ne suis jamais parvenu à retrouver par la suite, mais qui m'a poussé à écouter le reste des créations du groupe.

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Les cris de Interdiction font partie de ce que j'ai écouté de plus terrifiant, et même passée la première écoute ils fonctionnent encore. Rien de tel pour poser une ambiance que l'album prolongera à merveille dans la suite.

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J'ai cliqué sur cet album par curiosité, je suis resté après avoir écouté Opening et Time To Die : les deux morceaux résument parfaitement la musique de John Maus, un mélange de dérangeant et de kitsch résolument original.

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Quand j'écoute Teen Dream, je vois le soleil se refléter dans la mer qui défile à travers une vitre. Je ne sais pas pourquoi, mais je sais que c'est grâce à Zebra. Là encore, le titre pose une ambiance que le reste de l'album n'aura qu'à poursuivre. Ce qu'il fait admirablement bien d'ailleurs.

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Après les premières notes de Caught In Time, So Far Away j'aurais suivi You'll Never Get To Heaven n'importe où dans leurs propositions musicales

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Beetlebum + Song 2. En deux morceaux Blur met à genoux ses précédents albums avec des chefs-d’œuvre de britpop, et annonce dans le même temps la transition qui s'opérera tout au long de l'album vers un style plus expérimental.

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J'ai mis de nombreuses années avant de vraiment apprécier Arcade Fire, et je pense maintenant avoir trouvé la raison : je n'avais encore jamais écouté Neighborhood #1 (Tunnels). C'est chose faite, et Funeral m'accompagne désormais régulièrement durant mes trajets.

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De nouveau un morceau qui contient l'ensemble de l'album en son sein : si vous n'appréciez pas Hope & Pray passez votre chemin.

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Je pense que beaucoup se sont sentis rassurés quand The Adults Are Talking est parue. Les Strokes reviennent directement à leurs origines avec ce titre, et cela fonctionne toujours. L'album peinera ensuite à s'extirper de ce carcan, mais le morceau a le mérite de nous placer en territoire connu, et de qualité.

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Holes contient une promesse que Deserter's Songs ne parviendra que rarement à tenir malheureusement.