Je ne suis pas sensible

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Le gros cliché, je sais, mais bon impossible de ne pas pleurer (au moins une fois) en voyant le sublime Jack Dawson mourir. Et puis elle aurait quand même pu se pousser cette conn*sse de Rose, je reste persuadée qu'il y avait de la place pour deux sur ce bout de bois.

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Je pleure à chaque fois, voilà. Ce film est depuis toujours l'un de mes préférés et je suis toujours aussi émue à la fin.

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Mais pourquoi avoir fait ça à Mufasa ?
La petite fille que j'étais a déjà pleuré devant cette scène (j'ai toujours une petite larme à l’œil, même maintenant).

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YOU SHALL NOT PASS.

Mon Gandalf... J'étais pas au courant qu'il ressuscitait moi.

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Le moment où Monsieur sépare les deux sœurs Celie et Nettie. Et puis le moment où, après plusieurs années de séparation, elles se retrouvent.

"Toi et moi, c'est comme deux doigts, Makidada. Toi et moi, c'est un cœur qui bat, Makidada. Rien, ni océan ni mer, Makidada. M'enlèvera ma soeur sur terre, Makidada."

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Alors là, ça n'est pas qu'une larme, c'est un véritable torrent. La scène où Forrest apprend qu'il a un fils et qu'il n'est pas handicapé, la scène où il propose Jenny en mariage et la scène où l'on apprend qu'elle est morte.

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La bonne Aibileen éduque une petite fille blanche, dont la mère se fout complètement. Et jalouse que cette petite aime Aibileen plus qu'elle (ce n'est pas étonnant), elle la vire. "You is smart. You is kind. You is important."

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Tout le film en lui-même me fait pleurer, certaines scènes sont vraiment dures. Et quand je sais que c'est tiré d'une histoire vraie, ça accentue encore plus la chose. J'ai pleuré pour cette maman qui cherchera toute sa vie son fils, sans perdre espoir et sans jamais le retrouver.

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Mais comment on peut pleurer devant Spider-Man ? Quand l'oncle Ben se fait tirer dessus et qu'il meurt dans les bras de Peter (et sachant qu'ils s'étaient disputés avant). Ça me fait le coup à chaque fois.

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Eh oui, même devant le Petit Dinosaure, quand la mère de Petit-Pied meurt, je lâchais toujours une petite larme.

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Elle ne pouvait pas être bonne joueuse plutôt que mauvaise perdante cette boxeuse de m*rde ?! Pauvre Maggie...

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La fin quoi, la fin. Ce retournement de situation.

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Inspiré de la vie de Nelson Mandela, donc ça me met encore plus dans l'histoire. Le droit de se rendre à l'enterrement de sa mère, puis de son fils lui ait refusé.

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J'ai pleuré tout au long du film. Le père d'Oskar, coincé dans les tours jumelles du World Trade Center appelle son fils avant que les tours s’effondrent, mais il ne décroche pas le téléphone.

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J'ai lâché quelques larmes quand, après quatre passées sur un île et passé pour mort, Chuck rentre chez lui et retrouve la femme qu'il aimait, mariée à un homme et avec des enfants. Mais c'est triste quand même.

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J'ai ris tout au long du film et puis tout à coup, sans qu'on s'y attende, on se retrouve à un enterrement.

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Tout le monde rigole quand je dis que j'ai pleuré devant King Kong. Mais quand il se fait attaquer de tous les côtés à la fin, je ne peux pas m'en empêcher.

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Je m'attendais à regarder un film d'adolescentes (c'est un peu le cas) et à me faire chier devant tant de niaiseries et finalement, c'est moi qui ai pleuré comme une adolescente (et pas qu'un peu en plus).

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Je suis amoureuse des animaux, alors bon il était inévitable que je pleure quand Marley meurt.

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En fait, je suis en train de me rendre compte que je pleure beaucoup... J'ai versé une petite larme quand le papa est forcé d'aller travailler pour payer l'école de son fils, alors que pendant plusieurs mois il manifestait contre les ouvriers qui retournait au travail. Et puis à la fin, quand Billy quitte sa famille pour aller à son école de danse à Londres.

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Je ne sais pas vraiment si ça compte puisque je n'ai pas pleuré pour le film, mais pour l'hommage à Paul Walker à la fin. Je ne suis pas encore prête à assumer.

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Je pleure lors de la scène du passage à tabac de Milky par Combo, devant ce racisme. Excellent film et gros coup de cœur.

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Quand Walt devient enfin ami avec ses voisins asiatiques et qu'il décide de les venger. La fin quoi.