Jeux terminés en 2022

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1er janvier 2022
Un excellent jeu terminé en ce premier jour de l'année. Mécaniques à la Zelda avec un volet exploration du monde vraiment très intéressant. Les combats de boss sont très clairs et demandent un bon timing sans être trop exigeants non plus. 15 heures pour voir le bout de l'histoire principale mais il me reste quelques éléments à trouver.

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9 janvier 2022
Je l'ai trouvé meilleur que le précédent épisode. La région à explorer est plus variée. Le jeu reste linéaire et convenu pour un TPS. Lara est archéologue mais elle a un penchant pour la destruction d'oeuvres millénaires qui me laisse tout de même pantois. J'ai décidé de prendre le jeu sur l'EGS après avoir lu des bribes du scénario. L'arrivée des Trinitaires, une société secrète, et le côté esotérique et chrétien de l'objet de la recherche m'ont attiré. Le travail sur le contexte et l'architecture des lieux est propre mais le scénario est réellement médiocre.

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21 janvier 2022
Pourquoi relancer un jeu de 2010 dont la difficulté de la dernière mission de la campagne principale fait qu'il est dans mon backlog depuis plus de 10 ans ? En fait, j'ai découvert un mod sur le forum du jeu, le "Balanced and Joyful Gameplay Fix". Au vu du nom et des commentaires je pensais y trouver un rééquilibrage du jeu. Le curseur a été poussé un peu trop loin dans la facilité à mon goût : la résistance des bâtiments et la force des héros ont été grandement augmentées alors que les ennemis sont plus vulnérables. La dernière mission en devient ridicule de simplicité : 5 minutes pour battre le démon... Un peu déçu (et honteux d'avoir cédé à la facilité...) par cette simplification mais au moins j'ai vu la séquence de fin.
Mais Majesty 2, c'est quoi ? C'est un STR mais sans contôle des unités. En tant que souverain on construit les structures commerciales, défensives et productives ainsi que les unités. Mais celles-ci ont leur propre vie. La seule chose que l'on peut faire, c'est fixer des objectifs sur la carte (explorer, détruire, tuer) et y associer une certaine somme. Les héros sont ensuite libres de répondre ou non à notre appel. Une mécanique originale qui change des concepts connus. Il ne faut pas surévaluer les primes où l'on risque de se retrouver avec des héros qui ne se déplacent que pour des sommes trop élévées pour nos finances et ne combattront pas les ennemis qui harcèlent la ville sans arrêt. Les héros prennent de l'expérience et ont besoin de s'équiper dans nos boutiques. Vraiment rafraichissant. Malheureusement, le jeu est très dur et semble programmer avec les pieds : crashs, ralentissements quand le nombre de héros augmentent, problème de son, caméra trop proche de l'action (réglé avec le mod). A essayer et toujours jouable en 2022.

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6 février 2022
Acheté suite au test dans Canard PC. Il était présenté comme drôle. C'est le cas mais pas avec l'intensité que j'attendais. Pour cet aspect, The Messenger reste loin devant.
Unmetal joue aussi avec les codes du jeu vidéo, plutôt bien. Le gameplay n'est pas en reste, classique mais efficace. 7/10, un bon jeu, à la durée de vie suffisante (12 heures pour moi).

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20 février 2022
Un jeu assez déroutant, le style Kojima je suppose. Autant le scénario me parait inutilement complexe et alambiqué, autant j'ai adoré me plonger dans l'univers de Death Stranding. Kojima a tout de même réussi à me faire endosser le costume d'un livreur qui n'a quasiment pour seul objectif de compléter des quêtes fed-ex, autrement appelé "niveau 0 de la quête". Mais justement ces quêtes nécessitent une bonne préparation : choix de l'équipement, planification de l'itinéraire pour étudier les obstacles, gestion des imprévus. Voilà 3 semaines que je ne joue qu'à ce jeu, pour un total de 85 heures. J'y suis toujours retourné avec plaisir, avec quelque chose à faire. Mon coté "complétioniste" a bien aidé mais parcourir ces paysages immenses avait vraiment quelque chose d'hypnotique. Il y a quelque chose de Breath of the Wild dans ce monde ouvert.

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12 mars 2022
Acheté à petit prix, en pensant passer un moment un peu suspendu. Certes, les paysages sont magnifiques et laissent l'esprit vagabondé mais le gameplay basique et répétitif ramène toujours le joueur à la bassesse de la vie humaine : chercher de l'energie, essayer d'aller toujours plus vite vers... nulle part. Monde de merde.

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16 avril 2022
J'ai fini par acheter (à moitié prix, 20€) le remake d'une expérience vidéoludique forte de mon enfance. Le premier contact a été rude puisque la technique ne suit clairement pas malgré les patchs publiés depuis la sortie. La longueur des chargements (même sur SSD) entre chaque écran m'a tout de suite choqué. Après quelques bidouillages sans effet, j'ai hésité à me faire rembourser et finalement, en passant en mode fenêtré, la chose s'est arrangée mais reste indigne surtout si on la met en rapport avec l'expérience originelle. Les graphismes ont été très critiqués. Je les trouve adaptés, tant qu'on reste en "vue de dessus". Ce qui est gênant ce sont les cinématiques qui utilisent le moteur du jeu et là, c'est laid : textures basse définition, modèles 3D peu expressifs... Heureusement, elles sont peu nombreuses. Pour le gameplay, les améliorations sont probantes. Disparition des problèmes de collisions lors des combats, progression en XP plus rapide mais les boss sont trop faciles à battre. L'ajout des voix est également un plus notable qui renforce l'immersion.
Au final, j'ai aimé me replonger dans le monde de Secret of Mana, retrouver les personnages et les différents lieux. Certains, comme la forêt des quatre saisons, sont vraiment enchanteurs. Idem pour les musiques. On peut choisir la réorchestration ou les musiques d'origine. Second choix pour moi. Je n'oublie pas Flammie. Le retrouver m'a fait penser au moment où j'ai pu, pour la première fois, parcourir le monde de Mana sur son dos. Une expérience unique !
Le vernis nostalgique fait son oeuvre dans mon cas. La finition technique n'est pas à la hauteur et la DA peut être critiquée mais j'ai tout de même apprécié le jeu. A mon avis, un jeu pour les fans de la première heure. Pour les autres, l'expérience risque d'être rude : scénario basique, répétitivité de l'action. D'ailleurs, le prix de 40€ me parait vraiment exagéré.

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6 mai 2022
Terminé en 22 heures. Un bon jeu Lego et surtout un très bon jeu Star Wars. Je le place dans les jeux terminés parce que j'ai atteint les crédits de fin et le succès associé mais j'ai envie d'y retourner pour le mode "jeu libre". Parce que la force de cet épisode c'est de pouvoir explorer la galaxie Star Wars des 9 films en entier. Il y a quantité de secrets à trouver.

06/12/22 : 100% obtenus !

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15 juin 2022
Le test de LF Sébum m'a donné envie d'y jouer et EGS l'a offert ! J'ai trouvé le jeu très répétitif puisque les événements qui se produisent lors des différentes ascensions sont souvent les mêmes. Le scénario sert d'enrobage et c'est tout. J'ai fini la dernière ascension, j'ai vu les crédits de fin mais je doute... Pas de succès débloqué et la narration s'arrête bizzaremment. Allez ! On le range !

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27 juin 2022
Un jeu d'action, terminé en 12 heures, cerveau non requis. Le requin que le joueur incarne est un cliché très "Dent de la mer"-esque. Le territoire parcouru n'est pas flatteur pour l'humanité : pollution chimique et radioactive, capitalisme dévorant, conscience écologique absente... L'environnement raconte d'ailleurs bien plus de choses que le scénario basé sur une émission de télé-réalité aux personnages insipides. Un bon défouloir.

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10 juillet 2022
Joué parce qu'offert sur GoG.com et attiré par l'emballage Cyberpunk. Un jeu d'aventure en pointer-cliquer des plus classiques. Résolument tourné vers le passé, que ce soit dans le propos (vous croiserez moult références à la culture micro des années 90) comme dans le gameplay, VirtuaVerse déçoit par sa galerie de personnages sans âme ainsi que par son scénario sans surprise. Les graphismes et l'animation sont correctes mais sans particularité.
Les énigmes m'ont paru assez relevées, j'ai dégainé la soluce assez vite... Pas de patience...

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24 juillet 2022
Un excellent jeu au tour par tour. Il se déroule dans le même univers que les jeux Steamworld Dig. On enchaine des petites missions ayant lieu dans des vaisseaux spatiaux, vus de côté. Les personnages qui vont composer l'équipe du joueur vont développer chacun des compétences propres. On pourra également améliorer leurs équipements pour maximiser leurs satistiques. La phase de tir ne fait pas appel à un pourcentage de réussite comme dans XCom mais le joueur doit orienter manuellement le tir. Les missions sont courtes, la progression des personnages est rapide et l'univers plaisant. Tout cela donne un jeu accueillant et sans prétention autre que le plaisir du jeu. Validé !

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14 août 2022
Un très bon jeu d'aventure qui retranscrit une ambiance étouffante où se mélangent bayous, mysticisme et réalité sociale. Etonnant dans son propos, très bien écrit, je ne suis pas sûr d'avoir perçu toute les finesses du scénario. Probablement à refaire mais une très bonne expérience pour ce mois d'août 2022.

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21 août 2022
Très belle expérience : un univers féérique, un scénario agréable, un humour bien dosé et une superbe galerie de personnages. La direction artistique est superbe, les environnements sont variés. 16 heures de jeu, juste ce qu'il faut puisque la répétitivité du gameplay (collecte et crafting) se fait sentir dans les dernières quêtes.

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1er octobre 2022
J'ai cru au départ que je n'arriverai pas au bout de l'aventure. Je sentais le 6/10 se profiler, le jeu qui fait le job mais n'insufle rien de particulier. Le démarrage est vraiment trop lent : le joueur est pris par la main durant plusieurs heures en début d'aventure afin d'introduire les différents concepts progressivement. Cela donne sûrement une bonne introduction au JDR japonais, notamment pour les jeunes joueurs mais impose un rythme de progression soporifique. Ensuite, le jeu est très directif et cloisonné. Il y a systématiquement un rappel écrit de ce qu'il faut faire, quel sort utilisé ou quel lieu visité. Poussif et peu engageant pour le joueur qui a envie de découvrir un nouvel univers à sa manière.
Et puis la sauce a fini par prendre, avec moi en tout cas, moins pour mes enfants. On s'attache à Oliver, le héros de l'histoire qui perd sa mère en début d'aventure. On découvre le monde parrallèle avec joie, ses codes, ses règles, ses lieux. On sent aussi la patte Ghibli dans le design des personnages, de l'univers (même si les séquences animées sont vraiment trop rares mais le moteur du jeu fait très bien l'affaire). Le rythme est certes lent, il y a du grinding mais dans un tel environnement bucolique et enchanteur, ça passe. On fait progresser l'équipe du héros, on s'occupe de leurs familiers - les pokémons locaux - et tranquillement on explore quand le jeu nous laisse enfin un peu plus libre. On finit même par trouver des secrets !
Je crois que le point qui m'a le plus marqué c'est son côté "shonen". Aider Oliver dans son objectif, le voir accepter le décés de sa mère et finalement prendre son rôle de sauveur à bras le corps est vraiement plaisant. Je crois que c'est un jeu que j'aurais aimé découvrir dans ma jeunesse. Il y a un goût de Secret of Mana, et je ne dis pas seulement ça parce qu'on finit par voyager à dos de dragon ! Flammie, tu me manques...

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Mon premier Doom... Ca fait long alors que j'avais un PC dans les années 90. Un très bon FPS. J'ai adoré l'impact des armes, les bruitages, le level design. Le FPS n'est pas mon genre de prédilection, je voulais surtout combler un vide dans ma culture. L'offre de l'EGS est tombée à (é)pique. Je n'ai pas particulièrement exploré les niveaux de fond en comble. Les zones et niveaux secrets le sont restés. J'ai même triché pour battre le boss de fin.

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23 octobre 2022
Un jeu correct, terminé en une dizaine d'heures. Squadrons est plutôt orienté arcade même si la gestion de l'enérgie du vaisseau est bienvenue. Je n'ai fait que la partie solo qui propose un scénario classique, sans surprise. Petite digression : la construction d'engins spatiaux de destruction très massive est toujours vouée à l'échec dans l'univers Star Wars, aussi bien pour les Rebelles que pour les Impériaux même s'ils s'y essayent toujours et encore !
Le gros avantage du jeu est bien entendu l'univers de Star Wars, d'autant plus qu'on joue en alternance les deux côtés. Correct...

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26 octobre 2022
Je n'ai pas décroché de ce jeu ces dernières 48 heures. C'est un "simple" pointer-cliquer qui fait penser à Star Trek mais on y retrouve beaucoup de clins d'oeil aux oeuvres majeures de la science-fiction.
La Terre est attaquée par l'Union et vous êtes le dernier espoir de l'humanité. Vous allez devoir rejoindre la Terre en temps limité tout en explorant les planètes sur votre route. Comme dans Star Trek, elles abritent des formes de vie variées. Chaque planète fait l'objet d'une "enquête" que l'on peut résoudre de différentes manières. Un des plaisir du jeu est d'ailleurs de refaire plusieurs fois l'aventure pour débloquer différentes fins. Il y a aussi une phase de gestion et d'amélioration du vaisseau puisque on peut aussi affronter pirates et autres truands de l'espace dans des combats au tour par tour.
Le jeu m'a beaucoup plu pour son ambiance, son humour et la variété des situations qu'on y rencontre.

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27 octobre 2022
J'ai beaucoup lu et entendu que Breathedge était une copie de Subnautica. Je n'ai pas joué à ce dernier mais je trouve que le chemin emprunté par Breathedge est ... déroutant. Dans la peau d'un survivant d'un crash spatial, on commence par appréhender son environnement et récolter des ressources, tout ça en étant limité par la quantité d'oxygène de notre combinaison. Comme d'habitude, on va fabriquer des nouveaux équipements pour aller plus loin, trouver de nouvelles ressources, de nouveaux plans et ainsi de suite. Mais ce qui est étonnant, c'est qu'au moment où on commence à amménager sa base, le scénario nous envoie ailleurs et l'histoire devient très linéaire. Plus de base ni de nouvelles ressources, simplement des marqueurs d'objectifs à suivre sur l'écran pour découvrir la fin du scénario. Je ne sais pas trop quoi en dire, du scénario, justement. Le ton est décalé, humoristique et les références à la science-fiction sont nombreuses. Mais tout ça est un peu lourdaux et finit même par lasser. Très enthousiaste au début, j'ai fait une pause de trois mois avant de me forcer à reprendre pour terminer le jeu.

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3 décembre 2022
Que dire ? Un jeu très attendu ... qui ne déçoit pas au final. J'ai adoré l'interrogation de départ : on retrouve un Guybrush qui a vécu mais qui est toujours obnubilé par le secret de l'île aux singes. J'avais le sentiment qu'il courait après sa jeunesse mais qu'il ne s'était pas vraiement rendu compte que le monde autour de lui avait changé, que les codes étaient différents, que les attentes des autres avaient évoluées. Seuls lui et Lechuck étaient prisonniers de leur nostalgie. La fin est plutôt bien vue mais reste déstabilisante ... et peut-être même un peu déjà vue. Au final, j'ai entendu que les développeurs ont voulu parler de leur expérience de création de jeu vidéo. Les premiers épisodes représentaient la genèse de leur expérience. Cet opus parle de la reprise d'un mythe alors qu'ils ont vécu, gagné en expérience et changé leur rapport et leur vision du monde.
En ce qui concerne le gameplay, le début de l'aventure est somme toute assez classique et linéaire puis le monde s'ouvre, comme dans Monkey Island 2. L'ensemble de l'interface va dans le sens du plaisir de jeu : un système d'indices progressifs, des moyens d'accélérer les voyages. Le point fort, comme souvent avec Ron Gilbert et Dave Grossman, c'est la galerie de personnages. On retrouve de vieilles connaissances. Quel plaisir de revoir Stan et Murray ! Mais les nouveaux venus ne sont pas en reste. Les énigmes sont toutes logiques et accessibles, loin de la difficulté du deuxième opus. Pour la direction artistique, c'est subjectif mais pour moi il y a des réussites (les personnages, l'île de Mélée) et de vraies déconvenues comme l'île de la terreur (visuelle).
Je suis content de l'avoir fait, j'ai envie de relancer une partie pour trouver toutes les cartes de quizz et débloquer quelques succès.

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6 décembre 2022
Premier jeu terminé dans le PC Game Pass (3 mois offerts avec l'abonnement Canard PC) en une heure.
Un jeu indépendant sympathique au message anti-consumériste simple mais clair. Les graphismes low-poly ont du charme et le gameplay est rudimentaire mais efficace et très bien exploité : on dirige un trou qui grandit au fur et à mesure de sa gloutonnerie.

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20 décembre 2022
Encore un jeu "souvenir" de l'enfance. Les images dans le magazine Tilt encore en mémoire, j'ai eu l'opportunité d'acheter la version CD en boîte et en VF en 2020.
J'avais tenté l'aventure grâce à DosBox à quelques reprises mais je trouvais le jeu très dur. J'ai fini par dégainer la soluce pour arriver à quelque chose.
C'est le deuxième épisode des aventures de Laura Bow, une jeune journaliste. Toute naïve, elle débarque à New-York depuis sa campagne. Elle a pour mission de couvrir la soirée au Leyendecker Museum où le vol de la dague d'Amon Ra a eu lieu. L'ambiance années 20 est très bien retranscrite et on sent très rapidement toutes les marques du jeu d'enquête.
Le jeu est séparé en 6 actes. Le premier tient lieu d'introduction où il faudra interroger bon nombre de personnes sur des sujets variés. L'acte 2 se passe au musée. Il faut fureter et espionner les conversations. Et surtout tout bien noté ... sur du papier ! Les notices du jeu sont d'ailleurs extraordinaires. On trouve dans la boîte l'inivtation à la soirée avec le plan du musée et un historique du lieu. A lire absolument avant de commencer l'aventure, pour se mettre dans l'ambiance. De mon côté, j'ai eu beaucoup de mal à emmagasinner toutes les informations, les textes du jeu sont en anglais (ou en voix digitalisées, il faut choisir) et les personnages sont nombreux. J'en profite ici pour remercier l'auteur de la soluce du site abandonware-france.org.
Les actes 3 et 4 sont le coeur du jeu puisqu'on va parcourir le musée, trouver des cadavres et récolter des informations pour confondre le tueur. Le temps passe pendant le jeu, il faut donc être au bon endroit au bon moment. Sans soluce, je pense qu'il faut refaire encore et encore cette partie pour saisir tous les tenants et les aboutissants qui vont permettre de résoudre l'enquête à l'acte 6.
L'acte 5 représente le style "Sierra" dans ce qu'il a de plus frustrant. Il s'agit d'une course poursuite, où il faut enchainer les actions dans le bon ordre et, plus complexe encore, il faut posséder des objets présents dans les actes 3 et 4. Je ne sais pas s'il est possible de réussir sans les prendre mais cela me parait difficile. Par exemple, à la fin de l'acte 5, Laura devra se débarraser de rats. Sans le fromage, placé dans un piège dans un des bureaux du musée, impossible de passer. Il faudra recommencer l'acte 3. D'où l'utilité de multiplier les sauvegardes. Un autre marqueur des jeux d'aventure Sierra, est la possibilité pour l'hé

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21 décembre 2022
Offert par l'EGS, terminé dans la foulée, après 2h30 de jeu. C'est un jeu de puzzle sans grand challenge. Certains tableaux se traversent en quelques secondes... Le jeu est beau mais creux.

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23 décembre 2022
Très bon jeu coopératif à jouer à plusieurs autour du même écran. Tout en dit.

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29 décembre 2022
J'ai repris une partie pour débloquer toutes les fins et enfin arriver au bout de l'aventure. Depuis ma dernière partie en 2014, j'ai eu le temps d'oublier à quel point ce jeu, au gameplay simple et répétitif, maitrise sa narration. Avec un simple "jeu des différences" et des critères de différenciation qui évoluent sans cesse, Lucas Pope réussi a faire un jeu politique, au sens noble du terme, où le joueur est acteur de l'évolution du récit. Les choix cornéliens à opérer arrivent à plonger le joueur dans son rôle de garde frontière, pari qui n'était pas gagner si on s'arrête à la présentation du jeu.
Un excellent jeu d'aventure, doté d'une bonne rejouabilité (20 fins différentes même si certaines se ressemblent beaucoup) et qui m'a transporté ailleurs.