- «  L’ennui, qui dévore les autres hommes au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s’occuper par quelque lecture. Heureux ceux qui aiment à lire. » -

Annotation :

Les états d’âmes et introspections de l’autrice sont un peu trop perchés pour moi, et j’y suis restée plus ou moins insensible.
Mais ces 90 pages nous livrent un petit bout de la survivance d’un peuple nomade au milieu d’une nature plus que sauvage, indomptée et sans compromis.

Ebook emprunté à la Bibliothèque Paris Italie - 90 pages.

Annotation :

Je n'ai jamais lu Sylvain Tesson, et si je ne suivais pas le ptit zoziau (aka Liverbird), je ne me serais pas intéressée à cet auteur.
Qui aime la nature & les animaux prendra plaisir à lire ces pages, d'autant que Tesson nous transmet son amour au fil des lignes de son roman. L'écriture est percutante, et rapide. Ses réflexions (et introspections) plus posées, au gré des longues heures de patience dans l'immobilisme.
Tout comme dans "Croire aux fauves" (de Nastassja Martin), Tesson vilipende l'humain et ses destructions massives de la faune et de la flore (ici - Chine - ou ailleurs). Ce qu'il y dit est tristement juste, alarmant, pour autant cela ne fera pas bouger, ni même freiner cette machine implacable qu'est l'avidité humaine. Déprimant.
Pas loin du 8, à relire dans plusieurs années.

Ebook emprunté à la bibliothèque Paris Italie - 176 pages.

Annotation :

J'ai mis plus d'1 mois pour le lire (commencé en 2019).
Quel ennui, de la première à la dernière page qui furent d'une morne banalité, à l'image de son personnage principal.
Seul le personnage de Reiko a permis un peu d'améliorer le fil conducteur, et c'est bien la seule dont je me souviendrai. J'ai d'ailleurs aimé les dernières pages.
Je ne connais rien au Japon, et j'ai vraiment envie d'y aller au moins une fois dans ma vie, mais je dois dire que ce roman est loin de m'avoir donné une belle image de ce pays.

Livre acheté d'occasion que je vais donner via le cross-booking - 446 pages.