Les 10 meilleures tracks d'Hollywood Undead

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Titre phare d'Hollywood Undead, ce titre se place clairement dans une position de porte étendard de l'identité même du groupe. Le mot "undead" scandé en entame de refrain contribue à rappeler de quel groupe il s'agit, et si l'on se penche plus près des paroles, dans quel but et revendications ils s'engagent. Le riff entraînant, repris très certainement de "Crazy Train" d'Ozzy Osbourne, participe à faire de ce titre un symbole majeur auquel les adeptes du groupe pourront s'identifier et se réunir. Le fait d'avoir placé ce titre en première position du premier album n'est certainement pas un acte anodin, et renforce l'hypothèse de "l'hymne hollywoodienne".

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Le choix de cette deuxième position peux sembler curieux pour ce titre, qui est loin d'être le plus populaire. Il est cependant relativement singulier, étant donné la présence d'un seul et unique chanteur tout au long de la chanson, ce qui rare (voire unique) dans l'histoire du groupe. Deuce, ancien leader de la formation, interprète ici une de ses plus belles œuvres, avec un flow agréable et une refrain accrocheur, renforcé par le profondeur de l'écriture. Celle ci offre par ailleurs un contraste intéressant, car elle rentre en opposition directe avec le rythme plutôt guilleret de la chanson dans son ensemble. This Love This Hate, à l'instar de Bullet, constitue l'un des plus beaux oxymores de la discographie du groupe.

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Pour me, Poor me, voilà sur quelle subtilité repose cette perle issue d'American Tragedy. Ce titre est un concentré de sincérité, et raconte le bouleversant témoignage d'une âme perdue dans la nébulosité de l'existence, et qui trouve refuge auprès de plaisirs artificiels tel que l'alcool, jusqu'à l'excès et l’hémorragie psychique qu'elle engendre. Le refrain contribue à embellir encore plus cette chanson, avec une des meilleures performances de Daniel Murillo, a.k.a Danny.

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Ce titre peut sembler rebutant lors d'une première écoute, de par son aspect répétitif (le refrain est constitué d'un paragraphe qui est répété deux fois à chaque occurrence), mais souligne à la perfection la monotonie de l'existence et son lot de désillusion, qui est le thème principal de The Diary.

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Certainement le titre le plus populaire du groupe, We Are a tout pour lui: un refrain entraînant, des couplets accrocheurs qui s'enchaînent bien, offrant à ce titre une harmonie sans égale. Rajoutons à ça un écriture hautement intéressante, et nous obtenons, objectivement, une des meilleurs tracks de la formation américaine.

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Ce titre est intéressant de par sa constitution: on passe de couplets agressifs aux inspirations métal à un refrain calme et posé, renforcé par la voix plutôt aiguë de Danny. On a certainement ici la chanson la plus bipolaire de l'histoire, ce qui illustre merveilleusement l'existence en dent de scie de beaucoup de personnes.

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L'histoire conté par cette musique est issue de faits réels, la tristement célèbre affaire de la Black Dahlia. Le groupe a ici fait le choix de se placer dans la peau du meurtrier présumé de la victime, et d'expliquer les raisons de son geste désespéré. Le concept est intéressant et une ambiance forte se dégage de ce titre, qui nous plonge dans l'esprit torturé et tortueux d'un assassin... glaçant.

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A l'instar de We Are et Undead, Eveywhere I Go est un des titres les plus populaires du groupe. La musique repose sur un tandem Deuce/Charlie Scene, qui fonctionne magistralement bien, pour nous offrir un titre entraînant et festif, à l'humour grivois et décalé, qui révèle l'autre facette du groupe: le second degré et le goût supposé de la luxure.

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Le Paradis Perdu, où l'espérance d'un monde meilleur, isolé dans les limbes de l'utopie, que seule l'âme heureuse pourra espérer percevoir un jour. Nous avons ici un titre puissant, avec très certainement une des meilleures performance vocale de Johnny Three Tears. Cette musique possède un quelque chose de très spécifique, de presque intime, qui fait sa particularité et qui provoque cette envie presque pulsionnelle de la réécouter, pour le plaisir des oreilles et de l'esprit.

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Encore un titre très mélancolique, dont la beauté porte surtout sur la voix de Danny, qui s'illustre d'une pureté sans pareille. Très agréable à l'oreille, c'est typiquement le type de musique apte à provoquer le coup de coeur immédiat.