Les courts métrages Pixar ~ Commentaires

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Comment on fait les bébés ? Pourquoi il pleut dans le ciel ? Les cigognes ça sert à quoi ? Passage nuageux, où l’art de répondre de façon mignonne à ses questions en narrant l’amitié entre un nuage reclus et une cigogne pleine de bonne volonté. Touchant.

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Drôlement bien pensé, drôlement bien foutu, Extra-Terrien raconte l’histoire d’un extra-terrestre qui passe son permis de kidnapping. Drôle et maîtrisé de bout en bout. Un vrai régal.

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Quand deux musiciens se livrent un duel tombant dans la surenchère face à une jeune mendiante, c’est assez savoureux. Une belle leçon de vie traitée avec légèreté. Un exercice de style bien maîtrisé.

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Oscar du meilleur court-métrage d’animation en 1998, Le joueur d’échec est l’un des meilleurs courts métrages Pixar. Léger dans le ton mais plus grave dans la forme, le court-métrage narre l’histoire d’un vieil homme baigné dans sa solitude. Inventif de bout en bout, quand Pixar allie le fond à la forme, ça ne peut donner que de bonnes choses.

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Tout est question de travail sur le contraste. Le jour et la nuit, la vitesse et la lenteur, le traditionnel et le moderne. Tendre et abouti, Day & Night narre l’amitié d’abord craintive entre le jour et la nuit qui par la suite passeront outre leurs différences et leurs peurs. Un concept original doublé d'une mise en scène efficace.

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Presto s’inspire des cartoons à l’ancienne tel que Tex Avery, les gags s’enchaînent à vive allure. C’est drôle et bien emmené. Une belle réussite.

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Nous voici dans un registre plus léger, Pixar fait dans le comique avec les déboires d’un petit bonhomme de neige qui tente à tout prix de s’échapper de sa demi-sphère. Léger, fun et accrocheur. Juste indémodable

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Court métrage emblématique. Premier film développé en interne par Pixar. Premier film en image de synthèse nommé aux oscars. La petite lampe deviendra par la suite le logo de Pixar.

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Oh qu’ils sont mignons les petits oiseaux bleus qui discutent entre eux. C’est mignon, c’est drôle, bien rythmé et la chute est assez savoureuse. Bref, un court-métrage bien sympa, qui devrait sans doute plaire aux jeunes enfants. Mais pas seulement.

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Nous revoilà dans l’univers de Wall-E, son grand vaisseau et ses petits robots à foison. Ici on suit l’aventure de Burn-E, un petit robot ayant pour tâche la réparation d’une lampe extérieure du vaisseau. Un petit périple mignon et sympathique.

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Une petite comptine fort sympathique où un lapin à cornes apprend à un mouton le sens de la vie. Et ça pousse la chansonnette, accompagnant les bonds et rebonds du mouton. C’est gentillet et ça met inévitablement de bonne humeur.

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Notre ami le rat est un hommage aux techniques d’animation 2D. Le court métrage retrace l’histoire du rat et l’évolution de sa relation avec l’Homme, le tout dans une ambiance rétro et un tempo endiablé.

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Au revoir l’humour et le coté mignon de Luxo Jr. Dans Red’s dream tout est histoire de mélancolie. Red c’est ce petit monocycle vendu au rabais qui rêve de gloire. Nuit pluvieuse et saxophone sont au rendez-vous pour un univers drôlement typé. Une réussite.

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Bon c’est sympathique. L'animation en elle même est réussie mais c'est sans réelle surprise. Un cran en dessous de ce que peut faire Pixar.

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Un court métrage dérivé de Là-Haut. Pixar se lance dans de l’image par image. Le rendu est assez attachant mais le court métrage, en faisant fi de la simple technique, ne véhicule aucune émotion. On reste sur notre faim.

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En reprenant les personnages de Monster.inc, Pixar tente de lancer une pique à la société consumériste et au ‘progrès pour le progrès'. Seulement voilà, ce n’est drôle à aucun moment. Pourtant les gags sont assez nombreux mais malheureusement assez dépassés. C'est pas mauvais mais on a connu mieux.

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Vous l’aurez peut-être deviné grâce à son nom. Tin Story c’est les prémices de Toy Story, la première incursion de Pixar dans le monde des jouets vivants. Le pitch ? Un petit enfant, redoutablement moche, va poursuivre un jouet. C’est gentillet mais un peu faiblard.

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Déception. On suit ici l'aventure de Dug, le petit chien de Là-haut, qui se voit confier de nombreuses missions plus improbables les unes que les autres. L'animation est belle, certes. Mais ça manque grandement d’intérêt. Un coup pour rien.

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Mon dieu que c’est nul. Un gros raté. Un complément à Cars, sur un des personnages les plus contesté, et à raison : Martin. Que de lourdeurs. Abominable.