Les films vus sur grande toile à la maison, efficacité, redécouverte et autre impact cinéphile.

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Note film 9. Note projection 8. Redécouverte de l'énorme impact du film en matière de découpage, de rythme et de narration, mention spéciale à la superbe photographie bleutée-grisâtre du film, pas un plan en trop. Le moins, le visage des cascadeurs et des morts qui frémissent lors des coups de feux, mais c'est bon!

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Note film 9. Note projection 8. Projection de l'ultimate cut de 3h35. Vu à l'époque l'excellente version de 2h50 et vu par la suite ce cut sur un téléviseur des plus modeste. Toujours aussi divinement réalisée et intégrant les "contes du vaisseau noir" + le director's cut, cette version est encore plus immersive et la BO fait vraiment partie du spectacle. On commence et on n'a pas envie de s'arrêter.

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Note film 8. projection 9. Une claque visuelle et sonore comme ont dû se prendre les spectateurs qui l'ont découvert. C'est beau, c'est froid c'est une véritable expérience de cinéma! Luciano Tovoli à la photo + les Goblin à la BO= Fascination.

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Note film 8. Note projection 7. Grand film de gangsters qui souffre ici de son nombre de copies du style Scorsesien. Pas de grande révélation mais déjà la mise-en-scène occupe très efficacement l'espace. Projo sympathique mais pas indispensable.

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Note film 8. Note projection 8. Pur film romantique et audacieux dans son traitement de la légende, j'ai découvert le film en format XXL et for est de constater qu'il a été tourné pour flatter la vidéoprojection
. Les paysages dépouillés, les rides et le charisme de Sean Connery, la BO de John Barry en ont fait une bien belle trouvaille cinématographique.

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Note film 7. Note projection 7. Pas de grande nouveauté liée au diffuseur si ce n'est le renforcement du rythme échevelé du film est de la découverte des paysages de carte postale qui ont fait la renommée de la saga. Seul bémol Moore fait bien plus vieux que tout le casting même maquillé!

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Note film 10. Note projection 8. Cela permet surtout de constater que le film n'a rien perdu de son efficacité et se permet même d'ajouter plus de perversité dans les victimes du squale avec moults détails peu ragoutants sur les morsures et autres effluves sanguines. La photo vaporeuse est également à l'honneur avec des plans que l'ont croirait sortis d'une rêverie lascive. Les gros plans du requin sont aussi plus impressionnants lors de son comparatif à l'échelle humaine et les effets animatroniques prennent encore plus cher. Le thème de John Williams à fort volume c'est également quelque chose et tiens, coucou les cascadeurs, on vous voit maintenant!

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Note film 8. Note projection 8. Le film prend toute sa dimension survival dans cette nature qui fait corps avec le protagoniste et, broyant ses adversaires, en fait le second personnage de l'histoire grâce à la très belle photographie d'Andrew Lazlo. Celle-ci contraste fermement avec ses décors urbains déshumanisés et du poste de police en particulier aux tons secs et gris. Belle redécouverte!

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Note film 6. Note projection 5. Pas de grande ambition cinématographique et le passage en grand ne facilite pas la réévaluation de cet opus mineur de Big John, dévoilant sa nature de série B un poil fauchée et à la photo d'une tiédeur!

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Note film 6. Note projection 5. Avare en décors luxueux et en couleurs, le film trimballe son esthétique grisonnante et son concept-art hyper limité voire complètement dépouillé en déception visuelle. C'est laid mais les scènes de fight n'en sont que plus brutales et concrètes.

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Note film 5. Note projection 7. Le sympathique nanar de Stephen King s'en ressort grandi avec la vidéoprojection! Couleurs rutilantes, maquillages gores bien craspecs et effets sonores très efficaces. Une redécouverte plutôt inattendue (pas indispensable malgré tout!).

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Note film 6. Note projection 6. Pas de grosse surprise le film de Schumacher pèse toujours 3 tonnes mais les ambiances sont bien travaillées sur l'image et le son. Héritage des 80's oblige, les couleurs chatoyantes crèvent l'écran et le score de James Newton Howard hante religieusement les oreilles de manière assez raffinée. De plus revoir le joli minois de Julia Roberts à ses débuts force un peu l'expérience.

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Note film 8. Note projection 9. Divinement restauré, le film offre une palette de couleurs tout simplement ahurissante : de la chemise de Ash aux liquides putrescents des Deadites en passant par l'intégralité des décors de la maison, c'est miraculeux! Les maquillages ignobles aussi affichent une vitalité étonnante, mention spéciale à un bataillon d'effets sonores totalement justifiés. Définition au rasoir et détourages grossiers de la stop-motion forcément accentués mais on s'en fout!

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Note film 8. Note projection 7. Pas le graal mais cet étalage jubilatoire d'effets gores originaux et de maquillages trentenaires affiche une insolente vitalité. Bon on voit bien que les 2 protagonistes n'ont pas l'âge qu'ils prétendent avoir, que les trucages pour faire le décapité promenant sa tête se voient avec de la profondeur et ne peuvent berner la HD mais rien que pour admirer dans toute leur répugnance les maquillages de KNB ça vaut le coup d'oeil.

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Note film 8. Note projection 9. Un régal que cette restauration 4k, reléguant les précédents masters aux oubliettes. Dès l'introduction, le film s'ouvre sur un luxe de détails absolument inédit ainsi qu'une luminosité accrue. Le centre-commercial y prend une ampleur inédite et les maquillages marquent par leur côté old-school avec tous les défauts conceptuels que cela implique et ça c'est vraiment bon. Le upgrade vise également l'omniprésente et géniale BO des Goblins, et des couleurs dorénavant plus prononcées qui flattent la rétine. Bravo.

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Note film 10. Note projection 6. Déception pour ce film ayant toujours eu des copies défaillantes, la faute à une granulation vraiment excessive et à une photographie délavée. Le point positif est à contrario davantage de détails mais rien ne pourra rivaliser avec la découverte en salles. Par contre le score majestueux de Basil Poledouris est d'une présence inestimable sorti de ses pistes stéréophoniques. On attend la vraie restauration qui lui redonnera ses lettres de noblesse, peut-être celle de chez Arrow parue il y a quelques mois outre-atlantique.

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Note film 10. Note projection 8. J'avais déjà revu ce chef-d'oeuvre en salle il y a quelques années et force est de constater que les étendues Léoniennes m'avaient plus ébloui avec un vrai grand écran de cinoche et une copie restaurée de meilleure qualité que ce petit lifting paresseux. Bon, le mythe garde malgré tout tous ses atouts et les travellings de malade dressent pas mal de pilosité, on pourrait même compter les poils de barbe d'Henry Fonda et repérer pas mal de rides sur la Cardinale. C'est là le grand atout de ce visionnage, les fantastiques gros plans sur les visages et la possibilité de pousser l'amplificateur dans ses derniers retranchements et ça, c'est inestimable.

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Note film 8. Note projection 8. Un road-trip cauchemardesque à voir en grand, même très grand afin de profiter au mieux de la magnifique photo de Pawel Pogorzelski. Lumineux, fleuri et volontiers bucolique, le métrage est d'une générosité visuelle qui se doit de rivaliser avec une salle de cinéma, le malaise progressif n'en sera que plus délicieux. Le mixage sonore est également un plus avec ses chants paîens, les échos de la nature environnante et l'ambiance joyeuse et festive qui émanent du film. Les gros plans sur l'incroyable Florence Pugh sont également des passerelles fascinantes vers les ruptures de tons qui font le charme de cette rêverie infernale. De l'anti-Netflix quoi.

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Note film 7. Note projection 8. Un film d'aventures fantastique qui mérite clairement une redécouverte sur toile tant celui-ci conserve un charme fou. En fait ce qui marque c'est l'énorme habillage asiatique (Chinatown oblige) qui se révèle dans son intégralité : enseignes, bibelots, statues religieuses, costumes d'apparat, masques de carnaval... Un défilé permanent de références à la culture chinoise qui régale les yeux. Visuellement, les effets spéciaux de Richard Edlund offrent une singularité esthétique totalement en face avec son sujet, et conférent au film un cachet inimitable. C'est beau à regarder, toujours à la limite du kitsch (ouch : les maquillages des créatures) mais la réalisation et le chef op. assurent grandement le prix du ticket. Réhabilitation obligatoire.

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Note film 7. Note projection 3. Le blu-ray semble tout droit provenir des années 80. Si le film fait bien son âge, le master aussi : granuleux jusqu'à la nausée, mieux revoir celui-ci sur une 82cm.

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Note film 8. Note projection 8. Découvert par ce biais, ce fameux giallo de l'esthète Bava trouve ici un écrin idéal à son jeu de chat et de la souris ainsi qu'à la sublime photographie de Ubaldo Terzano. Tous les décors, vastes demeures, appartements ou encore jardins labyrinthiques trouvent ici une gestion idéale de l'espace avec comme pivot le fameux tueur masqué. Parfois bien camouflé dans ses terrains de chasse, on arrive à discerner celui-ci avec un oeil exercé, bien aidé par un montage impeccable laissant le temps de jouer avec le spectateur. Une découverte.

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Note film 8. Note projection 7. Le classique de Robert Wise s'il perd en efficacité, la faute une génération entière de réalisateurs ayant pillé le film, gagne immédiatement en lisibilité et offre par là même un noir-et-blanc absolument somptueux. La demeure n'a jamais été aussi ouverte à une visite aussi fructueuse avec son mobilier ancien, ses corridors inquiétants, ses tons monochromes nuancés et ses éclairages sournois. On peux aisément lire la peur sur les visages de Julie Harris et de Claire Bloom grâce aux nombreux gros plans de visages orchestrés pendant les assauts psychologiques de la maison. A ce titre, le fameux martèlement est délicieusement retors et puissant pour faire trembler les basses et on imagine sans peine la réaction paniquée des spectateurs de l'époque!

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Note film 7. Note projection 7. Le film de James Gray se doit d'être vu sur grand écran, ce que confirme assez rapidement la scène d'ouverture qui en met plein la vue. Par la suite, des paysages découpés lunaires aux vues stellaires parsemant le métrage en passant par les habitacles de navettes, le format en 2.39 joue habilement avec l'immensité et l'espace. Mention spéciale à la poursuite quasi insonorisée au milieu du métrage qui trouve une justification cinématographique pensée pour les home-cinéphiles convertis. Dommage que celui-ci perde de son intérêt visuel avec la platitude de son dénouement.

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Note film 6. Note projection 7. Un Argento mineur mais qui offre de bien beaux panoramas sur la beauté Suisse, pimenté par les créations visuelles un poil rétro de Romano Albani. Le contraste avec les morceaux furibonds de Iron Maiden marque le tempo plutôt languissant du film et c'est l'occasion de revoir la toute jeune Jennifer Connely complètement impliquée. Les effets de blessures et de cadavres en putréfaction sont ici magnifiés (ou révulsants c'est selon) par les nombreux gros plans concoctés par le département maquillage, ainsi que les nombreux insectes du film servant de fil conducteur au récit. Une petite redécouverte donc, au master immaculé (Edition Arrow) qui rend enfin justice au visuel travaillé du métrage après de médiocres éditions vidéo.

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Note film 7. Note projection 8. Le survival en (presque) huis-clos dans un théâtre de Michele Soavi bénéficie d'une ampleur désormais digne de son lieu de tuerie. Des coulisses avec les salles d'habillage en passant par les pendrillons, le dessous de la scène ou les cintres où se faufile l'assassin, les décors sont d'une classe stupéfiante et offrent une multitude d'espaces servis à merveille par la malice du réalisateur. De plus, la complémentarité avec la très suave photo de Renato Tafuri amène une série de tableaux superbement macabres dont se souviendront plus tard Bryan Fuller pour sa série "Hannibal" et Lars Von Trier. Le masque de chouette géant profite également de la séance pour révéler tous les détails de son terrifiant design, sans oublier les exactions sanglantes de celui-ci, malheureusement privées de la version intégrale du film sur la copie de Blue underground.

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Note film 9. Note projection 7. Master daté de 2011 méritant clairement une restauration pour ce classique de la chevalerie fantastique. C'est dommage car le grain dopé par l'extension de l'écran habille une bonne partie du métrage même si on finit par s'y habituer, les séquences de brumes étant vraiment problématiques. Niveau définition ce n'est pas non plus le paradis mais la photo volontairement voilée d'Alex Thompson offre un réel charme rétro. Les couleurs profitent de l'occasion pour davantage se démarquer (surtout les fameux reflets verdâtres parcourant tout le film) et habiller somptueusement l'image. A l'inverse, de nombreux décors font désormais carton-pâte comme le château assiégé en début de métrage, des transparences deviennent vraiment grossières, des détourages désuets et certains plans de paysages font complètement dépouillés voire désertiques! Par contre les séquences se déroulant en milieu naturel, que ce soit les forêts, ruisseaux et autres landes rocailleuses offrent une profondeur insoupçonnée et un niveau de détail inattendu. Les postiches sur certains acteurs sont également un peu trop voyants désormais quand ce n'est pas les rides très marquées pour certains mais les reflets sur les armures sont détonnants. Pour la VO en DTS HD 5.1 c'est également la déception, quelle manque de clarté et d'ampleur! Par politesse je n'aborderai pas la version française en mono dolby digital... Un gros boulot de nettoyage à faire pour le film mais ça reste globalement très plaisant à redécouvrir en big screen.

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Note film 10. Note projection 9. Ecartons d'emblée le sacrilège de Warner d'avoir gonflé le 4/3 si cher à Kubrick en bricolant un 1.85 totalement artificiel : c'est nul mais c'est comme ça, zéro respect. Par contre redécouvrir le plus beau film historique des 70's en grand et bien... Ça file à nouveau une belle claque. Impossible de décrire la projection tant la beauté des cadres et la minutie des détails explosent continuellement à travers la voix off hypnotique de Jean-claude Brialy narrant le parcours du personnage éponyme. Le perfectionniste agaçant mais fascinant de Kubrick transpire à chaque plan, chaque dialogue, chaque prestation y compris le plus petit rôle. Tout n'est que cinéma et plaisir des yeux (La photographie ahurissante de John Alcott) et des oreilles (Vivaldi, Haendel, Bach...). Les reconstitutions sont indécentes de finition et de réalisme, les armes et le moindre accessoire transpirent une authenticité ahurissante même en plan rapproché. De même la crasse, le luxe et les costumes un peu usés, effilés pour certains en passant par le désormais célèbre éclairage à la bougie, tout explose sur un écran d'envergure. Un must.

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Note film 6. Projection 7. Vu en version longue et au master 4k récemment restauré, le film s'affranchit du coup de son coté nanar/Mad Max maritime avec des ajouts ralentissant le rythme mais densifiant positivement la narration. Et au métrage de montrer enfin les étonnants costumes de John Bloomfield confectionnés à partir des matières premières de l'univers du film. De même l'incroyable travail du chef-décorateur saute immédiatement à la rétine surtout dans l'atoll des rescapés. Là où le bât blesse c'est au niveau des effets spéciaux, les CGI rudimentaires des années 90 ont beau avoir été à la pointe à l'époque, difficile à revoir sans sourire. Par contre le film révèle ses effets pyrotechniques et ses cascades physiques impressionnantes dans toute leur démesure et leur complexité. Une sympathique petite redécouverte.

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Note film 7. Projection 8. Revu avec sa version télé de 3h, ses pétouilles de master et son visuel suranné et bien j'ai redécouvert l'émerveillement original de la 1ère vision! Alors certes le film-étendard de l'homme d'acier est quadragénaire et souffre des maux de son époque mais le sens de la narration de Donner éclate au grand jour tout comme le prologue Kryptonnien kitsch à souhait avec ses tenues en alu et ses décors en plastique. Le générique et ses caractères fonçant vers l'écran procure un je-ne-sais-quoi de nostalgique tout comme les prestations très comic-book de la bande à Luthor qui font que le métrage est une véritable madeleine de Proust qui ne vous lâche qu'à la fin. Impossible également de faire l'impasse sur les trucages truculents à base de fonds bleus et de maquettes qui offrent une certaine générosité affective. En tout cas j'ai bien fait d'avoir tenté l'expérience et mettre du John Williams à fond c'est toujours un succès.

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Note film 9. Note projection 8. Vu avec le dernier master 4K en date le film qui a révolutionné le film d'action prend ici toute sa dimension de classique du genre. Gros travail sur la définition et la luminosité, le métrage retrouve la précision chirurgicale de la photo moderne de Jan DeBont. A l'honneur l'incroyable géographie de la tour Nakatomi et ses innombrables pièces, salles et autres couloirs subtilement éclairés et filmés. L'architecture des lieux conjointement liée à la réalisation marquent le pas et force est de constater que même après une bonne dizaine de visionnage c'est ici que l'envergure spatiale du film crève l'écran. Le mixage sonore détonne également même en DTS master audio avec ses basses monstrueuses. Un vrai plaisir donc pour une vraie valeur ajoutée en XXL.