Les meilleurs cartoons de Tex Avery

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d'emblée, Tex frappe fort pour son 1er cartoon, c'est une parodie décapante des 3 petits cochons, où il laisse éclater toute la démesure de son génie : l'Amérique vient d'entrer en guerre, il y a donc une forte dose patriotique dans ce cartoon où le loup ressemble à Hitler et se fait ridiculiser par les 3 cochons. Un véritable bijou d'humour inventif et explosif

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toute la frénésie de Tex dans les gags est contenue dans ce cartoon ; leur enchainement à une cadence folle, l'inventivité prodigieuse, les voix des 2 busards sur la musique vive de Scott Bradley sont un pur régal

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1ère apparition de Droopy qui poursuit un loup évadé de Swing-Swing... là encore, l'enchainement rapide des gags ingénieux, le rythme frénétique contrastent avec la silhouette du chien lymphatique et à la voix chuintante qui lance ses fameux "Peek-a-boo"... c'est là aussi que Tex inaugure un gag qui deviendra récurrent : lorsque le personnage sort du film, sans oublier la succession des moyens de transports qu'utilise le loup pour échapper à Droopy...à se pisser aux culottes !

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parodie du Petit Chaperon Rouge, Tex en livre une version iconoclaste et très hollywoodienne, avec la première apparition du loup érotomane en smoking, de la pin-up sexy et de la grand-mère nymphomane. Les degrés d'excitation du loup, les déhanchements suggestifs de la vamp qui chante érotiquement "Hey Daddy" affolent la censure mais deviendront la carte de visite de Tex dans ses autres cartoons (la fin fut d'ailleurs raccourcie car jugée trop osée)

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l'écureuil fou n'en peut plus d'être dingue, le rythme et l'invention des gags propres à Tex se retrouvent dans l'accumulation des objets avec lesquels l'écureuil frappe le chien, dans l'apparition du grand méchant loup et du Petit Chaperon Rouge qui se sont trompés de film, ou dans les personnages qui passent devant le mot "The End" et sortent du film : de la folie pure totalement hilarante

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le chat noir Black Cat défend un petit chat contre un gros chien rigolard et macho en provoquant la chute sur le chien d'une multitude d'objets hétéroclites : une malle, un piano, un lavabo, un cheval, une enclume, une baignoire, un bulldozer, un avion, un paquebot... dans une série de bruitages rigolos, du vrai délire !

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une succession d'épreuves sportives opposent Droopy à Spike le chien tricheur et combinard, là encore une invention folle dans les pièges tendus par Spike qui se retournent contre lui...

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Spike doit garder la maison de Joe Bear, un ours qui hiberne, mais sans le moindre bruit, lorsqu'un autre chien qui veut ce job cool fait tout pour foutre un maximum de barouf ; l'originalité réside dans les astuces utilisées pour éviter les bruits, Spike devient fou...

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Spike incarne le grand Poochini, un chef d'orchestre réputé qui refuse d'aider un ami magicien, celui-ci se venge en sabotant le concert de Poochini : la succession des métamorphoses dont est victime Poochini est éblouissante, il se retrouve en Indien, en joueur de rugby, en fermier, en bagnard, en cowboy qui chante "Oh my darling clementine", en Noir, en Hawaïen...sur une bande musicale complètement folle due à Scott Bradley, musicien de la MGM qui signera tous les cartoons de Tex. Sa vivacité, son invention mélodique, son inspiration sans cesse renouvelée fondée sur la parodie de thèmes célèbres en les détournant, illustre à merveille la folie de Tex

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encore une fois, le loup érotomane se déchaine à la vue de la vamp ravageuse dans cette parodie folle de Cendrillon

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1ère apparition de l'écureuil fou, le film est une charge délibérée contre Disney : le début commence avec de joyeux petits animaux gentils tout plein qu'on dirait échappés de BAMBI, mais la poursuite frénétique de l'écureuil par le chien crétin Meathead casse tous les codes du cartoon pour enfants à cette époque (on est en 1944)

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encore une poursuite entre l'écureuil fou et Meathead qui propose des gags toujours déjantés

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au Far West, une poursuite entre Droopy et un loup bandit qui s'excite à la vue d'une cowgirl sexy, la poursuite accumule les gags et les idées les plus folles

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une délirante poursuite chien-chat

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Droopy participe à une chasse au renard ; le portrait du renard Reginald Fox en gentleman farmer très stylé qui boit le thé, à l'accent hyper british et aux postures aristocratiques est très savoureux

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un lapin malin utilise tout un tas de moyens pour empêcher un chien de dormir et d'aller à la chasse au lapin le lendemain, ce cartoon rappelle Rock-a-bye Bear, le ton est aussi délirant

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Tex ne recule devant rien, poussant son goût de l'absurde très loin, il illustre littéralement de nombreuses expressions argotiques ou populaires américaines avec les jeux de mots les plus incongrus, les gags sont innombrables mais difficilement compréhensibles pour un non anglophone (même en VOST qui reprend la traduction littérale des expressions). Etonnant

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Droopy apparait avec son frère jumeau Drippy et rend complètement fou le pauvre Spike

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en Alaska, Droopy est aux prises avec un loup trappeur grande gueule qui devient en transe devant la vamp Lady Lou ; c'est là que Droopy prononce sa phrase "You know what ? I'm happy". Tex va parfois très loin dans les allusions érotiques... bref c'est un régal

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sorte de remake de DUMB HOUNDED, le loup évadé d'une prison est coursé par Droopy officier de la police montée. Tex réutilise en les réinventant ses gags récurrents : portes qui claquent de partout, moyens de transports multiples, personnages sortant de l'image...

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un cartoon délirant qui exploite la rivalité chien-chat-canari-souris, avec un petit clin d'oeil à KING KONG

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Droopy et le loup sont des toréadors au Mexique dans un enchainement de gags où le taureau est aussi drôle qu'eux. La dernière séquence voit un mélange de dessin animé et de vue réelle

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ça commence comme une parodie du Petit Chaperon Rouge, mais le loup en a marre et se rend à la ville à l'invitation de son cousin citadin, et ça devient alors une parodie délirante de la fable de La Fontaine, le Rat de ville et le rat des champs

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un conte de Noël façon Tex Avery. Chez un pauvre cordonnier, son atelier s'anime la nuit avec des lutins qui réparent tous les souliers, c'est l'occasion pour Scott Bradley d'utiliser différents thèmes musicaux sur des souliers typés (danse mexicaine, danse classique de 2 ballerines, danse de fermiers, danse hollandaise de 2 sabots, numéro de music-hall, et un surprenant strip-tease d'une paire de bottes sexy...)

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Droopy et Spike sont encore opposés dans un cirque dans une succession de gags délirants

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Spike affronte Droopy dans une succession d'épreuves dont le gagnant se rendra à la Maison Blanche pour rencontrer le président... ce cartoon reprend le même concept que dans DAREDEVIL DROOPY et CHUMP CHAMP, celui des épreuves pour désigner un gagnant entre Spike qui triche à tire-larigot et Droopy qui échappe à toutes ces chausse-trappes, à la fin, Droopy va à la Maison Blanche, mais il s'agissait d'un leurre, le président reste invisible, et Droopy déclare "Vous ne vous attendiez tout de même pas à le voir ?"

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les voitures de demain vues par Tex Avery où il fait preuve d'un génie inventif hors-normes

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Spike est opposé à un coq hideux et rachitique qui l'empêche de dormir : succession de gags complètement fous

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une rivalité entre Spike le chien fourbe et Droopy à propos d'un héritage, le ton est frénétique, les gags dévastateurs même si on retrouve plusieurs gimmicks de Tex... le cartoon a été aussi nommé "Millionaire Droopy"

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une parodie des "Pilgrim Fathers" arrivés en Amérique en 1620 à bord du Mayflower (épisode faisant partie de l'Histoire américaine), le cartoon dévie ensuite vers une chasse d'un pélerin (qui a la même tête que le héros de BIG HEEL WATHA) après une dinde qui parle comme Jimmy Durante