Les meilleurs dessins animés du Studio Ghibli

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Mon premier Ghibli, vu vers 2001 il me semble. C'est d'ailleurs le film que j'ai le plus revu.

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Le meilleur de Takahata selon moi. Merveilleux, poétique et touchant.

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Un des tout premiers films du Studio que j'ai vu. Même 20 ans après je le trouve toujours aussi beau. Le principal reproche qu'on lui fait concerne le méchant, jugé trop sadique et vindicatif et ce sans réelles explications... ce qui fait du Château dans le ciel l'un des seuls films du Studio tombant dans le manichéisme. Il me semble d'ailleurs que malgré cela, Miyazaki le considère comme son meilleur film.

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J'adore la ville, j'adore Kiki, j'adore l'histoire, j'adore l'ambiance. Ce film est si reposant... et me met tellement de bonne humeur qu'il fait maintenant partie de mes favoris du Studio Ghibli.

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La conclusion d'une fantastique carrière.

EDIT : Encore une retraite avortée... le maître travaille sur un nouveau film.

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Superbe film de Miyazaki. La scène du « cimetière » d'avion est particulièrement marquante.

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Mêmes qualités que Kiki la petite sorcière. J'aime beaucoup le fait que l'héroïne soit une vieille dame. Les autres personnages sont tout aussi charmants, surtout Calcifer.

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Un film emblématique du Studio, que j'ai toujours trouvé très bon mais, pour je ne sais quelle raison, pas aussi excellent qu'on le dit.

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Superbe premier long-métrage de Miyazaki qui a parfaitement su s'approprier le personnage de Lupin. L'ambiance et l'univers du film sont déjà empreints de nombreux thèmes et éléments chers à Miyazaki. L'influence de films d'animation français, entre autre, se remarque beaucoup.

Je retiens surtout :

- Les superbes paysages naturels, la ville et le château à l'architecture traditionnelle d'Europe. Le monde européen fantasmé par les asiatiques.

- Clarisse, personnage on ne peut plus charmant et première représentante de l’héroïne miyazakienne type.

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Charmante histoire. Cependant, un peu trop enfantin à mon goût.

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Quel mauvais titre français. C'est peut-être pour ça que j'ai tardé à le voir et finalement je ne le regrette pas !

Contrairement aux apparences ce film recèle beaucoup de sérieux et de maturité. Et surtout... Chie est tout sauf une petite peste ! Il y a quelque chose de réellement touchant dans cette histoire... ce couple qui se ressoude lentement... cette gamine attachante bien plus mature que son imbécile de père... cette joie de vivre insufflé par Chie malgré ses peines... et cet agréable sentiment que quoi qu'il arrive tout se finira bien...

Le dernier acte au parc d'attraction, ce n'est rien que du bonheur. Takahata est le maître pour les scènes d'émotions subtiles. Peu savent comme lui allier tendresse, sériosité et mélancolie sans tomber dans le pathos et le tire-larme facile. Pourtant, la frontière est mince. Il y avait mille façons de rater cette conclusion au parc d'attraction (et l'avant/après dans le train) mais Takahata se débrouille toujours pour nous offrir le meilleur... c'est dosé comme il le faut et je n'en aurai voulu ni plus ni moins. C'est finalement un film simple mais tendre et beau... bien plus adressé aux adultes qu'aux enfants à mon humble avis.

La conclusion de la trame principale est si bonne qu'on regretterai presque ce final en surplus, ce combat de chat venu de nulle part qui n'apporte rien à l'histoire et dont on se fiche comme de l'an 40...

En revanche, je ne comprends pas cette lubie qu'a Takahata pour les bijoux de famille. C'était pareil dans Pompoko. A chaque fois cela donne des scènes franchement étranges (en tout cas pour un occidental). Là on parle quand même d'un chat qui déterre le testicule droit de son défunt père, motif du combat final (je n'invente rien c'est littéralement ça). Sans parler de toutes les blagues qui tournent autour des bourses et de ces gros plans sur celles des chats tout le long du film...

Jarinko Chie est très clairement un film sous-côté, probablement le 3ème meilleur du réalisateur (après la Princesse Kaguya et le Tombeau des lucioles). Chie, elle, devient une de mes héroïnes Ghibli préférées.

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Une très belle histoire et de charmants personnages. Quel dommage que Yoshifumi Kondo soit mort prématurément. « Si tu tends l'oreille » est un avant-goût de ce talent en maturation et de ce potentiel qu'il recelait. De ce premier long-métrage se dégagent une poésie et une sensibilité nouvelles - très différentes de celles des deux maîtres du studio - et pourtant bien « ghibliesque » ... mais elles demeureront hélas à jamais confinées à cet unique film.

Sans nul doute Kondo avait l'étoffe d'un Takahata ou d'un Miyazaki. Malheureusement, nous ne sauront pas ce qu'un tel artiste aurait pu donner au summum de son art.

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Un Ghibli « tranche de vie » au réalisme social cher à Takahata et qui sent bon la campagne. Ici encore, la question du Japon moderne et de la jeunesse confrontés à la perte des traditions et des valeurs morales est abordée avec finesse et subtilité, non sans dissimuler une touche très « takahatienne » de nostalgie-mélancolie.

Les scènes de la vie traditionnelle japonaise couvrent une large partie du film. Les transitions entre souvenirs et instant présent s'harmonisent délicieusement et la fin, empreinte d'optimisme et de joie de vivre, nous laisse sur une note fort agréable de bonheur feutré et délicat qu'on ne retrouve guère ailleurs que dans les films du grand Yasujiro Ozu.

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Dans le genre, Takahata a fait bien mieux avec Jarinko Chie, pourtant plus vieux de presque 20 ans. Les deux films sont assez proches mais, contrairement aux apparences, Jarinko Chie est plus mature et plus subtil.

« Mes voisins les Yamada » souffre un peu trop de ses gags faciles et de son humour enfantin.

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Tantôt excentrique et complètement déjanté, tantôt sérieux (trop)... ce drôle de mélange en laissera perplexe plus d'un. Le film peut être déroutant quand on est habitué aux autres productions du studio.

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Adorable.

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SC a donc décidé de séparer les deux épisodes de Panda Kopanda qui ne formaient avant qu'un seul long-métrage...

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Peut-être mon premier Ghibli, vu il y a fort longtemps en cours de musique.

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Le premier film de Takahata. Le conflit entre les créateurs et les producteurs de la Toei (qui voulaient un bête film d'aventure pour enfants) se ressent beaucoup ; les passages conventionnels sans saveur s'opposent à ceux au ton plus mature et poétique chers au futur studio Ghibli.

Le film ne démarre vraiment qu'avec Hilda : seul personnage quelque peu coloré dont l'attitude interlope pimentera la seconde partie.

Impossible de ne pas mentionner la fameuse scène du raid des loups laissée non animée faute de moyens. Ce genre de pratique serait impensable dans le monde de l'animation occidentale : on fait quelque chose jusqu'au bout ou on ne le fait pas.

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Un film Ghibli qui épouse un peu trop le schéma classique d'un Disney à mon goût. Tantôt ennuyant, tantôt gênant... on échappe à l'insipide, petite touche japonaise oblige. Les dessins sont assez moches. En revanche, l'héroïne est vraiment attachante.

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L'un des Ghibli que j'ai le moins aimé. La fille est agaçante, la plupart des personnages ont une attitude agaçante...

On ressent bien quels liens lient les deux (ou trois je ne sais plus...) protagonistes et que cela ne se résume pas aux quelques instants présentés... seulement il aurait été bon d'en dévoiler un peu plus. Le film est très court (le plus court du Studio) ; en résultent pour ma part une légère impression de bâclé et peu d'attachement aux personnages ainsi qu'à leur histoire.

Une romance qui me laisse de marbre.

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Le second film de Goro Miyazaki, fils d'Hayao Miyazaki.

Une belle histoire hélas dénuée de toute poésie « ghibliesque ». En résulte cet ensemble mi-figue mi-raisin... c'est touchant mais sans plus (tentative de tire-larme vers la fin), beau mais sans plus, captivant mais sans plus...

Ce manque de charme laisse apparaître les fils dont l'oeuvre est cousue... et à la longue cela sent le réchauffé, le superficiel. Ce second jet du fils Miyazaki - loin des déboires du premier - respecte finalement les codes et procédés phares des films pour enfant sans jamais s'en détacher... et c'est assez dommage.

A défaut de poésie, une réelle influence « ghibliesque » s'impose de temps à autre comme un cheveu sur la soupe... à l'image de ce ton solennel insufflé maladroitement dans la seconde partie... comme s'il suffisait de donner dans l'émotion brute et le tragique pour se hisser au niveau d'un Miyazaki ou Takahata. On ressent parfois ce mimétisme maître/élève (ou père/fils) et c'est assez gênant.

Je ne suis finalement jamais rentré dans le film alors que le point fort des Ghibli, c'est justement cette merveilleuse capacité à nous immerger complètement dans un univers - qu'il soit féerique ou terre-à-terre - dès les premières images.

Ce film n'est pas mauvais, mais dénué d'ambition... bien en deçà de la qualité « Ghibli » attendue.

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Le raté (parce qu'il en fallait bien un) du Studio Ghibli. Les premières minutes mettent l'eau à la bouche, mais on se rend vite compte que l'ensemble est fade et que cela ne volera pas très haut. Le film ne décolle pour ainsi dire jamais. La dernière demi-heure est particulièrement ridicule et gênante.