Livres que j'ai lu grâce à Pennac et dès 13 ans pour certains

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"C'est l'histoire d'une fille elle aime un type et à la fin elle en épouse un troisième"
Plus une histoire de bombe qui tourne, racontée sur des lits superposés dans un des Malaussene et qu'il peut pas mourir le gars parce qu'elle l'AAAIIIIME Natalia

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Mais elle est chiante cette princesse...elle m'ennuie. A relire à ma retraite...

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Parait-il (en tout cas Pennac le dit) que Dostoievski a dicté en hurlant les plaidoiries successives de la défense et de l'accusation à sa femme sténographe.
Ca m'a suffit pour me jeter dessus

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"Raskolnikov, on peut dire que c'est un personnage «romantique»?"
Je ne sais toujours pas ce qu'est un personnage romantique mais ca ne m'a pas privée d'un des meilleurs romans que j'ai lus jusque maintenant.

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A cause de Solji qui est bien content d'aller en prison (après avoir appris à un tas de vieilles à zigouiller tout ce qui bouge) parce qu'il peut ENFIN faire sa traduction intégrale de Soljenitsyne

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idem

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Gros échec, après 3 tentatives avortées au college j'ai réussi avec ma majorité naissante à arriver à la fin. Mais j'ai pas du tout adhéré. je ne desespère pas pour plus tard

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Pour cet incipit lu à une classe de seconde désabusée...et effectivement assez drole.
Le bouquin est pas rigolo du tout par contre, et un poil long...

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Parce que Pennac révèle à un moment que ses petits élèves français s'étaient jetés dessus justement parce que ça n'était PAS au programme, alors que plein de petits américains trouvait ça naze au leur.

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"Alors c'est l'histoire d'un type au début il boit beaucoup de wisky et à la fin il boit beaucoup d'eau"

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A cause d'une histoire de petit noir qui va chercher des abricots, je me demande meme si ce n'était pas un extrait de Mme Bovary.
En tout cas j'ai trouvé ça très niais...

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Au début je me suis meme dit que Emile exagérait un peu d'avoir copié son titre sur Pennac (Au bonheur des Ogres).
Ma grande surprise quand j'ai comparé les dates...et les grands magasins!

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Pour ce cadeau d'incipit qui traine dans Comme un roman:
«Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après-midi de son enfance où son père l'emmena faire connaissance avec la glace. Macondo était alors un village d'une vingtaine de maisons en glaise et en roseaux, construites au bord d'une rivière dont les eaux diaphanes roulaient des pierres rondes comme des œufs préhistoriques*. »

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"La Vie devant soi, Ajar… enfin, Gary… Super!"
Et pourtant, il a fallu qu'on me l'offre pour que je le lise enfin quelques années plus tard et que j'en fasse mon histoire d'amour avec Emile