Mon Flop de l'horreur en 2017

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Premier film et on commence bien l'année avec surement le pire étron de 2017... En même temps c'est du "Polonia" (Sharkenstein, Bigfoot Vs. Zombies...), on pouvait donc s'y attendre. On touche les tréfonds du Z ultra fauché avec cette péloche et inutile de vous conseiller (mais j'le fait quand même parce que je suis sympa) fuyiez le comme la peste. Franchement je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir jusqu'au bout sans tombé dans un coma profond. Bref c'est mauvais et pas drôle et ferai même passer les mecs d'Asylum pour des génies du 7ème Art.

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Si vous pensez que rester enfermé dans un appartement d'un immeuble vide avec vos deux meilleurs amis ne serait pas la pire chose qui pourrait vous arriver... Et bien, vous auriez tort.
Premier long métrage pour C.A. Cooper, The Snare (Le piège) est un film britannique à petit budget, mêlant thriller psychologique, survival, quelques scènes gore (Vous aimez les asticots ?) et un chouïa de surnaturel. Les acteurs sont convaincants, mais manquent clairement de charisme. Le film est lent, très lent... Et même s'il y a de bonnes idées, il faut avouer qu'on s'ennuie fermement. La fin quant à elle est trop brouillonne et torchée à la va-vite. En gros un film aussitôt vu, aussitôt oublié.

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L'année ne vient que de commencer, mais j'attends toujours de voir un bon film d'horreur et clairement l'attente ne s’arrêtera pas avec "Dead Story". L'histoire vue et revue du couple qui prend un nouveau départ dans la vie en achetant une vieille demeure (hantée bien évidement), ne nous surprendra pas. Ni tous les clichés du genre et autre jumpscares foireux. La femme voit un fantôme, le mari ne la croit pas, le docteur la met sous cachetons etc... Vous voyez le genre ? Bref ça sent un l’amateurisme tout ça et les acteurs récitent leurs textes sans grande conviction, jusqu'à un final ultra prévisible et sans grand intérêt. Un film correct pour passer un dimanche aprem pluvieux sur son canapé.

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L'inde sort de ses frontières en 2017, après "Dead Story" de Suneel Tripuraneni, voici "A Room to Die For" de Devanand Shanmugam (Que des noms super simple à retenir), dont c'est le 2ème long métrage et autant être franc, pour l'instant ce n'est pas une réussite... On suit un jeune couple un peu en galère de tune qui faute de moyen décide d’emménager dans une des chambres d'une maison tenue par un couple de vieux, à l'allure pas très nette si vous voyez ce que je veux dire. On se rend vite compte que les intentions des viocs sont mauvaises et que quelque chose cloche dans cette maudite maison... Bon c'est une production à petit budget clairement et on en tiendra pas compte, mais l'histoire met beaucoup trop de temps à démarrer, on sent que le réal voulait faire monter la tension progressivement, jusqu'au final, mais c'est un échec sur toute la ligne. On ne s'attache pas aux personnages et on se fout royalement de leurs sorts. Le final est prévisible mais plutôt bien mené (seul point positif du film), on rajoute à tout ça une image terne et fadasse et on à un film très moyen qu'on aurait préféré éviter de voir.

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Autant le dire ce début d'année 2017 est vraiment mauvais en matière de films d'horreur et celui-ci ne sera pas l’exception. Robert Conway enchaine les bouses et apparemment ça à l'air de lui plaire. La dernière en date : The Covenant, est un film de possession tout ce qu'il y a de plus banal et en fait sans être un très mauvais film (mais il l'est quand même), il y a juste que c'est du réchauffer de tout ce qu'on à vu des centaines d' autres fois dans ce genre de films et que là c'est encore plus mauvais. Donc les images s'enchainent sans grandes surprises et le temps passe lentement alors qu'on essaye vainement de comprendre ce qui se passe pour au final se rendre compte qu'on s'en fout complétement. Il mérite sans doute un "3", mais on va dire qu'il prend pour les autres...

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Le Breakfast Club de l'horreur certains disent... Eh bien que ces gens se taisent à tout jamais. L'histoire de jeune collégiens, réunis un samedi matin pour des heures de colles (BREAKFAST CLUB QU'ON VOUS DIT!!!) , se retrouvent enfermés dans leurs bahut avec un surveillant psychopathe atteint du syndrome de la guerre du Vietnam. Pour commencer, plus cliché tu meurs, le sportif, la cheerleader, la geek, le rebelle de la société (elle a que des problèmes), la gothique scarificatrice et puis j'en ai vu des tronches de cake dans ma vie, mais la on atteint le summum de l'horreur pour deux des personnages. Bref tout ce joli petit monde va se faire trucider par le surveillant...(Ah, on me dit dans l'oreillette que j'ai oublié de préciser qu'il est en fauteuil roulant le bougre), alors qu'il suffisait juste de le pousser de son fauteuil, mais bon les jeunes des années 80 étaient pas bien malin faut croire. Allez un ptit 3 parce que l'intro "Footloosiene" m'a bien fait marrer et parce que certains effets gore sont sympa, malgré le petit budget.

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Bon faut pas chercher bien loin, ce film ne s'adresse pas à moi... En plus d'être extrêmement mauvais et pas drôle pour un sou (bien qu'il essaye de l'être), le thème gay + romance avec un yeti (Yétophile?) me laisse de marbre. On voit des pénis toutes les 10mm minutes et des mecs en costumes de yeti se faisant sodomiser. Question horreur on repassera aussi, à part une scène ou une prostitué se fait arracher le visage (enfin la tranche de jambon qu'on lui à collé sur la gueule avec de la sauce bollo), c'est le vide abyssal. Et dire que ce film est une suite...Enfin "film", c'est un bien grand mot. D'ailleurs je lui ai déjà fait trop d'honneur en lui accordant ces quelques lignes.

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Du grand n'importe quoi ce film...
J'adore mon ptit "Lance", mais arrêtes de faire des navets pareil stp
L'histoire se déroule dans un hôpital spécialisé dans la chirurgie du coeur. On suit "Lance", chirurgien chevronné en quête du vaccin contre la vieillesse qu'il considère comme une maladie. Pour cela, il a besoin de jeunes cobayes et il ira jusqu'au bout pour trouver le bon, même si cela veut dire de tuer tout le personnel et faire sauter une bombe....What ?!?! Non franchement j'ai rarement vu un scénario aussi mal ficelé. Tout part dans tous les sens et on ne comprend absolument rien car les actions et les motivations des personages ne sont pas cohérentes.
De plus je ne comprend pas qu'il soit classé dans l'horreur car il n'est ni gore, ni effrayant... Tout au plus un mauvais thriller de catégorie B.
Bref, un film à éviter !!

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Si vous aimez les films ou ça jacasse pendant près d'une heure et de l'action dans les 10 dernière minutes, alors ce film est fait pour vous. Si vous êtes comme moi et que vous aimez les bon films alors passez votre chemin. Blood Money pourrait être considéré comme le "Petit meurtre entre amis" du pauvre... Du très très pauvre, celui la même qui est endetté jusqu'au os et qui est fiché à la banque de France, c'est dire.
C'est l'histoire de jeunes cons qui décident de voler un tableau au père d'une des jeunes connes car la conne elle est pas contente car son papa à trompé sa maman. Apparemment le tableau vaut une fortune, mais en regardant la croute, je doute qu'il vaille le prix d'un bifteck, enfin l'art est moi ça fait dos. Évidement cette réunion tourne mal et les jeunes cons s'entretuent. Amour, traitrise, argent, twist !!! Whoa !!! Tout ça pour un film tourné en 11 jours dans notre belle campagne Normande.

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L'histoire se déroule durant l'époque américaine de prohibition ou la vente, l'achat et la fabrication d’alcool fort était interdite. On suit une bande de flic ripoux qui font la tournée des ateliers clandestins afin d'arrondir leurs fins de mois, jusqu'au jour ou ils saisissent des caisses de bouteilles, non pas remplies d'alcool, mais de sang. Car oui il s'agit d'un film de vampire.
Comment dire...Bloodrunners est le film inutile par excellence. Primo, il dure 1h40 soit environ 30 min de trop. J'ai jamais compris l’intérêt de faire trainer un film en meublant les scènes avec du blabla complétement inutile.
Deuxio, vous pouvez enlever les vampires du tableau, que cela ne changerait absolument rien à la trame principale. J’imagine que mettre "Horreur" sur un film aujourd'hui est plus bankable.
Et tertio, le peu de scènes d'actions que ce navet nous gratifie, sont d'une tristesse sans nom.
Type d'une scène d'action de ce film : Le vampire court en accéléré sur sa victime, donne un coup de point au ralentit, à l'impact du coup de point on ré-accélère l'image, puis on fait un effet "Matrix", puis on ré-accélère, puis on ralentit... etc
Et cela pour chaque scène de combat. Ce qui nous donne par moment des actions complètement foirées (mais drôle) ou on se rend bien compte que l'acteur essaye de se battre au ralentit en donnant des coup de pieds ou en esquivant... Ah oui et y'a Ice Tea ©, qui joue le chef des vampires, si cela intéresse vraiment quelqu'un.

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4/10 parce que je suis quand même très sympa comme garçon et que j'ai tendance à surnoter les films de créatures. Honnêtement il mérite son 2, mais bon c'est un film à très petit budget et se lancer dans un genre tel que celui-ci en étant fauché est assez couillu et risqué. Nommer tous les défauts de ce film me prendrais une page entière, donc je vais m'abstenir. L'histoire ? Ne vous inquiétez pas, il n'y en a pas, du coup c'est facile à suivre...Mais qu'est ce que c'est chiant. C'est dommage car la scène d'intro m'avais bien plu, pour le reste il faut attendre 1h23 avant d'avoir un visuel d'un meurtre. Autant dire qu'il faut s'accrocher sévère pour garder ses "noeilles" grand ouverts. Mais si comme moi vous avez réussi à ne pas tomber dans un coma profond, le dernier quart d'heure et plutôt sympa. La créature (enfin le monsieur dans son costume) et pas trop mal faite et me fait penser aux créatures de "The Descent", de plus y'a deux scènes gores qui ont fait leurs petit effet, notamment une ou une meuf se fait une fracture ouverte au tibia et la créature s’accroche à l'os et tire un grand coup dessus...Aie !! Y'a aussi un petit clin d’œil à une scène de "Independance Day" qui m'a bien fait marrer... Enfin clin d’œil, je suis pas sur, pour un peu ça a été juste pompé dessus. Au final pas déçu de l'avoir vu, mais on ne m'y reprendra pas à deux fois !

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Commençons directement par le problème de ce film, l'originalité.
Ce film est composé de 8 courts-métrages (9 si on compte celui qui fait office de fil conducteur), qui en fait n'ont pas été tournés pour le film mais bien avant, il y en à même un qui date de 1995 si je ne dis pas de bêtises. Du coup ben, on se sent un peu floué. Moi aussi je vais faire un "Film", en contactant des gars qui ont fais des courts inconnus d'il y a 10 ans, faire un fil conducteur pourrite et hop, me voilà en haut de l'affiche !! Bref, oublions ce petit méfait et concentrons nous sur les courts... Ben ça vole pas haut non plus, comme souvent dans ce type d'exercice c'est très inégale et sur les 8, à part un ou 2 c'est mauvais. Je ne vais pas tous les énumérer mais le meilleur est sans conteste "Iris" de Richard Karpala ou un nouveau système d'application sur téléphone débarque sur le marché, "Iris", une sorte d'intelligence artificielle à qui l'on peut discuter, se confier et blaguer, tout ça en enterrant un cadavre dans la foret, sympa non ? Oui, enfin jusqu’à ce que "Iris" décide de prendre les choses en main.
Le fil conducteur lui est à chier, à croire que les mecs ont trouve l'idée en 5 minutes. 4 car j'ai fait la moyenne de tous les courts que j'ai notés à part.

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Mélanie, une jeune journaliste, enquête sur une communauté de femmes, vivant en autarcie dans la forêt, dirigée par un homme, gourou du culte, pour le moins suspect. Le film aborde donc le thème de la secte, de la manipulation et du pouvoir tout puissant, mais jamais en profondeur, après tout ce n'est peut être pas la le but de ce film. En fait je ne saurais pas le définir, je n'arrive à savoir si le réalisateur souhaitait faire un film sérieux ou juste un banal film d'horreur... Dans les deux cas il aurait échoué. Tout ce que je retiens de ce film, c'est des jolies hippies se baladant à moitié à poil dans les bois, pas désagréable à l’œil certes, mais insuffisant pour me satisfaire... C'est bien simple, le film n'avance pas, en fait on pourrait zapper de la 10ème minute à l'heure du film que l'histoire n'aurait pas changé. Pour cela il faudra donc attendre un peu plus d'une heure et autant le dire le final n'est pas grandiose non plus. Il aurait eu sa place en téléfilm un dimanche après midi sur M6 en fait, parfait pour une petite siestounette !

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Valley of Ditches est un film sans prétention, fauché et inintéressant. Maintenant que vous êtes prévenus, nous pouvons continuer.
"petit spoil"
C'est l'histoire d'un couple qui se fait kidnapper par un détraqué religieux qui les emmène dans le désert. Très vite le garçon se fait tuer et la fille (menottée à son petit ami mort) est laissé pour une journée dans un trou car apparemment elle aurait péché... Alala, ce qu'on ferait pas au nom de Dieu. Elle va donc devoir survivre, réfléchir sur ses actions et lutter contre ses démons . Passionnant n'est ce pas ? Pas vraiment, pourtant l'idée de départ et le concept sont ce qu'il y a de plus réussis. Le problème c'est que ce film est vide, les personnages sont creux, les motivations du méchant, ridicules et infondées et le personnage de la captive est tellement débile... Parlons par exemple du fait qu'elle passe une nuit entière, plus, une demie journée dans un trou d'un mètre trente, seule, avant de tenter quoique ce soit pour s'échapper... Affligeant.
Pas le pire des films, l'image est plutôt bonne et les acteurs s'en sortent correctement, mais on touche de pas loin le néant scénaristique, ce qui en fait un film à éviter.