Mon Top 15 des pires jeux de tous les temps...

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En plus d'être la plus sombre merde que j'ai pu voir toutes machines confondue grâce à un mélange entre gameplay à chier (mais jouable), histoire à chier (mais...bah rien c'est juste à chier), mise en scène extra-terrestre qui met mal à l'aise à cause de cette absence de bruitage pendant les cinématiques, voix de psychopathes pas vraiment en rémission, bugs de collision et game-design général qui n'a strictement AUCUN SENS, EN PLUS de tout ça, le jeu est d'une connerie libidineuse juste insultante pour quiconque à un minimum de respect pour les femmes. WORST SHIT EVER.

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Le jeu est tellement mauvais qu'il te rend malade physiquement. Les menus sont une atteinte à l'intégrité du cerveau humain moyen. Les mouvements demandés pendant le jeu, en plus de ne marcher qu'une fois sur dix (ce qui est très pratique dans un jeu de course rapide) provoquent des problèmes de dos et/ou de cervicales. Les couleurs et les musiques poussent à l'épilepsie. Jouez à Sonice Free Riders et vous développerez une maladie de Creutzfeldt Jakob.

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Ooooooh Titus...olalala Titus! Ce nom va revenir un peu plus bas. J'ai des frissons en regardant la jaquette de cette ordure vidéoludique. C'est l'un des plus connus des mauvais jeux. Il est aussi légendaire que E.T, Shaqfu ou encore les trois Zelda trisomiques du CDi de Phillips.
Celui-ci, je n'y ai joué qu'une seule fois, chez un ami d'enfance. J'allais chez lui jouer à la N64 et un jour il m'a proposé de jouer à ça. C'est comme ta première dose de cock, tu veux pas passer pour un môme, donc tu dis okay. Sauf que c'est un piège qui se referme sur toi. Superman 64 est le jeu avec les pire contrôle en 3D que j'ai jamais touché. C'est le jeu où tu fais dix fois la même chose et ou dix fois il se passe des trucs différents. Laissez-moi vous dire qu'après cet essai, je lui ai proposé de garder la manette, tout en observant l'écran hypnotisé par la chiasse qui me giclait dans les yeux...j'ai fini par lui proposer qu'on revienne à Super Mario 64.

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La preuve si l'on voulait en avoir une, que les bugs c'est de l'art. Ici on parle de collisions qui dépassent ce que l'humain peut concevoir. C'est comme si on avait créé les virus de Umbrella sous forme de code informatique et qu'on les laissait vagabonder pour voir ce que ça donne. Vera Jones, c'est la Lara Croft blonde dont la jaquette est meilleure que le jeu en lui même. Mais pas juste un peu. Le mieux reste encore de jouer à faire un origami avec cette jaquette que de souiller son ordinateur avec ce qui probablement le pire jeu d'aventure/plateforme 3D de la création (avec Bubsy 3D que je n'ai jamais touché moi-même).

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Que se passe-t-il quand on prend la mascotte la plus pourrie de l'histoire de l'humanité et qu'on la met dans un Mario Kart du pauvre, graphiquement plus moche qu'un jeu PSone quand il sort sur la génération PS2? Je ne sais pas ce qu'on obtient. C'est comme diviser par zéro...

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Vous avez quatre flèches sur une manette de PlayStation 2. Sachez que Ghost Vibration ne s'occupera ni de celle du bas, ni des droite et gauche. Non dans Ghost Vibration, on n'utilise que la flèche du haut et vaguement deux autres boutons. Parce que chez Artoon, boîte inconnue qui je l'espère gardera l'anonymat, on s'est dit que plutôt que de faire Luigi's Mansion, on pourrait croiser le jeu avec un rail-shooter, mais sans l'exploration de l'un ni l'adrénaline de l'autre. Arrive donc Ghost Vibration, cet enfant bâtard et trisomique auquel il ne manquait qu'un chose. Saurez-vous deviner quoi? Des graphismes de merde bien sûr!!! Ceux-ci sont combinés à un chara-design qui mérite une place dans les plus moches représentations de l'être humain tous supports artistiques confondus. Bref un jeu sensationnel pour lequel je me dois de remercier feu le Moggy Aspi Show qui me l'avait fait découvrir dans un de leurs épisodes "Chef-d'oeuvre de médiocrité".

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Si je n'ai jamais été fanatique de la mascotte de Sega (même si ça a été un de mes premiers jeux vidéo à moi sur ma MegaDrive) j'ai toujours eu du respect pour les versions 2D. Ça n'est pas ma came, mais c'est jouable, rapide, bien rythmé et juste assez frustrant pour qu'on ait envie de continuer, tout en étant pas à se pendre de difficulté. Par contre en 3D...c'est probablement la saga la plus navrante du jeu vidéo. Autant Free Rider est cancérigène en grande partie à cause de Hal...euh pardon Kinect. Autant ce volet sortie en 2006 est juste un virus qui continue sa progression après Sonic R et qui ne s'arrêtera pas d'ailleurs par la suite...
Le jeu le plus buggué que j'ai joué sur cette génération de console (même Assassin's Creed III ne tient pas la comparaison) impossible à jouer sans partir dans tous les sens et en plus complètement incohérent en terme de gameplay (on peut s'arrêter à l'envers dans certains looping...suspendu tête en bas) c'est la preuve que Sonic aurait du crever avec la Dreamcast qui est une console que par ailleurs j'aime d'amour.

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Et puisqu'on en est à traiter de Sonic, autant lui adjoindre l'affreux Sonic R, ce jeu codé par un singe sous extasie. Sonic All-Star Racing est un de mes jeux de courses préférés, une de mes expériences multijoueurs préférées et mon Mario-Kart-like favori de très très loin. Sonic R c'est tout l'inverse. C'est moche (mais genre même à l'époque) on dirige des personnages dont les pieds ont été transformés en motte de beurre par la magie du jeu vidéo et le tout sur des musiques pop à la con. Cependant, Sonic R a un cachet nanar assez dingue, notamment grâce à son enrobage musical. Celui-ci, je le conseille pour la culture.

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Conceptuellement, c'est soit couillu, soit complètement con. En gros, Twin Caliber est un rail shooter...à la troisième personne. Avec les joysticks on dirige les bras des personnages qui avancent plus ou moins tous seuls. On combat des monstres moches avec cette jouabilité inexistante, des graphismes à gerber de la génération précédente et un framerate au fraise du début à la fin du jeu. En gros t'as bien le temps d'apprécier la mocheté du jeu grâce à un slideshow parfaitement injouable. Mais injouable en coopération!!! Un jeu inventé par Jigsaw et qui sera probablement à l'affiche d'un reboot de Saw.

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Comment faire un tel top sans y inclure un jeu du célèbre éditeur Davilex? Impossible. Au lieu de mettre un Paris-Marseille Racing auquel je n'ai jamais touché personnellement, je préfère remettre une médaille pour le bel effort fourni sur Miami Vice: Deux Flics à Miami. En plus d'être mauvais du début à la fin, moche, buggué, le tout enrobé de bruitages surréalistes (le "pocpoc" du pistolet mitrailleur est culte tout simplement) je me rappelle qu'un Gaming Live de JV.com avait soulevé l'idée qu'il était probablement là pour induire les petites grand-mères ou mamans qui voudraient acheter GTA: Vice City pour leurs bambins. Je ne sais pas si le but était là (vu que ce Miami Vice sort deux ans après Vice City) mais quoi qu'il en soit, cet étron reste des sympathiques mock-busters vidéoludiques dont seul Davilex avait le secret.

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À l'instar de Sonic R, ça n'est pas un jeu que j'ai possédé, mais un jeu auquel j'ai joué parce que je prostituais ma PlayStation auprès de mes amis possesseurs de Saturn et de N64 pour pouvoir tester plus de jeux. Je peux vous dire que j'ai regretté ma console quand je suis tombé sur celui-là...
Gros fan de Super Castlevania IV, je ne peux que me m'enfoncer le joystick de la manette dans un trou de nez quand je pose mes yeux sur la jaquette de cet épisode 3D absolument MINABLE. Début de la 3D immonde, contrôle exécrable et surtout caméra à se pendre. La seule chose positive que l'on peut retirer de cet affront à une série parfois un peu injuste en terme de challenge mais indubitablement de qualité, ce sont les compositions musicales...qu'on entend jamais!!! Pourquoi doit-on attendre certaines cutscenes pour profiter du seul truc bien de ce tas de merde? Peut-être parce que sinon, ça aurait pu vaguement avoir l'air bien.

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Voir un ptérodactyle exploser et mourir heureux. Pour le coup, c'est après avoir entendu parler de sa réputation merdique que j'ai touché à ce jeu. Par curiosité morbide voyez-vous. Aurais-je du m'abstenir? Sans doute. Est-ce vraiment l'un des pires jeux auxquels j'ai joué? Oui, définitivement. Je ne pourrais pas dire grand chose de la qualité graphique, puisque je l'ai découvert à retardement, mais pour ce qui est du gameplay c'est la foire à la saucisse. Avec ses IAs cons comme des pelles, son level-design sans saveur, mais surtout des passages volants juste ahurissant de difficulté (je viens de voir une vidéo où un mec passe ça du premier coup...je ne sais pas si j'ai du respect ou de la pitié) on a un beau cocktail pour avoir le plus joli pas en arrière dans l'histoire d'une série qui débutait vraiment bien sur 64...et puis pour me faire détester un truc avec des dinosaures, il faut bien charger la mule.

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De même que Titus ou Davilex, LJN est l'une des usines à bouses les plus mythiques de l'histoire du jeu vidéo. La vraie différence d'avec Davilex, c'est que cette boîte, qui était par ailleurs productrices de jouets, possédait de nombreuses licences connues. Elle a donc eu l'occasion de violer l'enfance de nombreux petits fan de X-Men, Spider-Man, Beetlejuice ou encore Retour vers le Futur.
Je n'ai joué qu'à quelques uns de ces titres (Dieu merci, la NES n'était pas ma console, mais celle de mes cousins) et le seul que j'ai eu vraiment à moi, c'est cette immonde raclure de bidet adaptée d'un des plus grands films de tous les temps! On nous propose ici une alternance entre du mashing de boutons pour décérébré, du "run" and gun du pauvre et des séquences en véhicule...OH MON DIEU!!! AAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaargh!!!!

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Et un dernier pour la route! Titus was back. Et leur dernier n'est pas des moindres. FPS stupide, imprécis, moche ou plutôt plat et sans saveur (mais moche aussi!), il se paye en plus le luxe de nous faire jouer un Robocop d'une lenteur absolue. Alors on pourrait rétorquer que c'est le personnage qui est comme ça, ce à quoi je répondrais que dans ce cas là, on ne fait pas un FPS avec. Titus est mort, vive Titus.

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Avec un budget conséquent, l'aval et même la complète aide des créateurs de l'univers cinématographique et le temps nécessaire pour faire le jeu, Shiny a tout de même réussi à sortir une grosse bouse pétée de bugs en tout genre. Pourtant, contrairement à tous les autres listés ici, il y avait de bonne bases au jeu, son système de combat en premier. Seulement quand courir en arrière va plus vite qu'en avant, que mourir est une décision divine de la RNG des ennemis, que monter une échelle se fait à côté de la dite échelle ou qu'enfin parcourir certains niveaux se fait sans éclairage et même sans texture, alors là on oublie les bonnes bases pour se concentrer sur le foutage de gueule qu'est la version finalisée du titre. Étrangement, j'y ai tout de même passé du temps à l'époque et l'ait même terminé à grand peine tant la difficulté était aléatoire ou corrélé à la bonne volonté de l'IA, tantôt stupide, tantôt surnaturelle.