Mon Top 1997

Annotation :

Certainement le meilleur film de l'année et l'un des plus puissants de l'histoire du septième art...

Cf http://www.senscritique.com/liste/Mon_Flop_1997/604342

Je vous aime alors je vous offre ce merveilleux cadeau. Régalez-vous, vous n'êtes pas près de revoir une telle chose.

https://youtu.be/UCff-qS6frg

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http://www.senscritique.com/liste/Ce_n_est_pas_un_pseudo_realisateur/84500

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David Lynch + Paricia Arquette + This Mortal Coil... Cocktail brûlant, un truc à vous faire exploser le slip. Mais cela n'engage que moi...

https://youtu.be/8XOfE_RcFq8

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Modeste mais grand...

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Projection en plein air au Festival Sofilm Summercamp avec un public survolté. J’ai eu la confirmation que "Scream" ne vieillirait jamais car il possède quinze niveaux de lecture, car les ados de toutes les générations continueront à se le passer en groupe pour frissonner et se marrer, les adultes pour se rappeler. Oui "Scream" est bien un film culte.

Note : + 1

https://twitter.com/takeshi2922/status/1141450530356629504

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Du drame, du polar, du burlesque quand tout part sévèrement en c...., de l'érotisme, de la romance, de l'horreur, tous les genres sont convoqués, ils arrivent au fur et à mesure, s'agrègent sans jamais s'annuler, et ça donne rapidement un joyeux et jouissif bordel.

C'est, comme souvent chez Imamura, un brin démonstratif, ça ne fait pas dans la dentelle, c'est presque pourrait-on dire du cinéma de gamin turbulent, un peu comme un Wakamatsu soft.

Et quand on sait que ça provient de la caméra d'un gamin de 71 ans à l'époque ça laisse rêveur.

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Parmi les cinéastes japonais dont la filmographie est bien connue en France Kiyoshi Kurosawa est l'un des plus hétéroclites, naviguant de la pure SF à la "Invasion" au mélo historique comme dans 'Les Amants sacrifiés", en passant par le film de fantômes et son remarquable "Vers l'autre rive". Et puis il y a le polar, genre qu'il a pratiqué plusieurs fois, par exemple avec "Creepy" en 2016 ou ce "Cure" une vingtaine d'années plus tôt.

Et c'est ce qui m'a frappé en découvrant ce film : le temps n'a pas d'emprise sur lui, son efficacité est toujours intacte, son suspense et sa noirceur fonctionnent encore à merveille. Et puis il y a cette tradition respectée du bon vieux flic en imper torturé par une vie personnelle qui viendra inévitablement rejoindre, d'une manière ou d'une autre, l'enquête en cours.

Comme le prouve le dernier Hamaguchi la représentation du mal a souvent passionné les réalisateurs japonais, et même si "Cure" passe par l'étrange et l'horrifique pour le traiter il montre à quel point il se niche partout, à quel point il a de nombreux visages, lieux et corps où nicher.

Annotation :

Ça m'embête presque de mieux noter "La Moindre des choses" que "Sur l'Adamant", car je trouve injuste de donner plus de valeur à l'un qu'à l'autre tant ces deux documentaires sont remarquables et se complètent.

Mais après tout on s'en fout, rien de plus subjectif qu'une note, alors voyez celui-ci et si vous le pouvez foncez voir le dernier Lion d'Or à partir de demain, on sort étonnamment heureux de ces deux films, heureux d'avoir croisé d'aussi près de l'humanité qui nous fait relativiser bien des choses et nous questionne sur la place que nous donnons, au regard que nous portons sur ceux que la société désigne comme "fous".

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C'est pas moi Maman, c'est Kenshin...

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Film qui surprend par son ton et échappe ainsi de se vautrer dans la facilité, "Kolya" nous emmène en Tchéquie à la rencontre d'un "vieil homme et l'enfant". Si tout est réuni pour un mauvais mélo, un tire-larmes un peu scolaire, ce n'est en rien ce que nous verrons. Car si l'émotion n'est pas esquivée elle n'est jamais surlignée par des artifices de réalisation, au contraire contrebalancée par une légèreté, un humour étonnamment grivois pour un tel film. Chaque scène s'arrête au moment idéal, à l'image d'une fin épatante de pudeur.

Ceux qui ont vu les yeux de Kolya ne les ont certainement pas oubliés.