Mon top 10 morceaux d'Opeth

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J'ai toujours un mal assez fou à décrire pourquoi un truc me plaît, souvent ça fait appel à un ressenti profond qui est dur à expliquer. C'est le cas avec ce morceau, qui me fout dans un spleen assez dantesque à chaque écoute, mais qui fait que je crie au génie à chaque fois. Le fond du morceau est assez déprimant (coucou le suicide du narrateur de l'album), mais sur la forme, c'est un vrai voyage tantôt triste, tantôt épique, tantôt brutal... C'est tout le génie d'Opeth résumé en un morceau, tout inconventionnel qu'il soit... C'est un morceau majestueux.

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Rien que les premiers accords à la guitare acoustique me foutent la larme à l'oeil. Ce morceau me fait ressentir tellement de trucs. Surement la meilleur balade du groupe. Et pourtant il y a des morceaux comme Burden ou Benighted. Mais TBYF démontre une authenticité que je ne retrouve pas ailleurs.

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Indémodable, possédant une puissance émotionnelle jamais vue malgré la simplicité de sa composition... Un morceau qui en dit long et qui m'a parlé à maintes reprises.

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Le pic créatif du groupe a été atteint avec cet album pour moi. J'ai hésité entre The Leper Affinity, Blackwater Park et Bleak, mais je retiens ce dernier car il nous happe dans son ambiance funeste dès le 1er accord, et ce riff principal aux notes orientales me retourne le cerveau à chaque fois. Morceau incroyable.

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Celui-ci est personnel, car j'ai découvert le groupe avec ce morceau. Morceau qui m'a directement fasciné et m'a poussé à plonger dans la discographie du groupe. D'une beauté sans nom.

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La mélancolie en un morceau. Des paroles qui parlent à tout un chacun, sur une musique cinématique pleine d'influences prog rock (je pense à King Crimson surtout, ou autres Camel) qui prend vraiment aux tripes. Pour moi le meilleur morceau du Opeth post Watershed.

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Tout simplement 20 minutes épiques et pleines de bonnes idées qui s'enchainent sans crier gare. On sent que le groupe se cherchait encore à cette époque, et on retrouve dans ce morceau les racines de la grosse machine qu'est ensuite devenue Opeth.

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Un morceau qui conclue Ghost Reveries de manières singulière : il est complètement hors contexte par rapport à ce concept-album, mais permet de terminer l'album sur une note bien à l'opposé de la lourdeur de son prédécesseur The Grand Conjuration. Le morceau est un des plus mélancoliques que le groupe ait écrit, et par extension un des plus beaux. Une pépite.

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Dur de placer ce morceau en 9ème position... Peut-être le meilleur morceau tiré du meilleur album du groupe pour certains. Je ne m'en lasse jamais.

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La conclusion de l'album In Cauda Venenum, le morceaux résume et bonifie tout le côté grandiloquent et théâtral de l'album, en y ajoutant des mélodies absolument incroyables, et un final d'une beauté sans précédent... Un des meilleurs morceaux de l'ère prog rock du groupe.