Oui, j'ai somnolé devant ces films. Mais toujours de fatigue (ou presque)

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Ennui. Ennui. Ennui.

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Coup de barre inattendu dans une salle vide du Reflet.

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Somnolence sur le premier volet. Atterrissage difficile au début du XXème siècle dans la campagne allemande pour l'urbain que je suis.

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Endormi un soir de décembre pendant la quasi-totalité du film à l'insu de mon plein gré, j'ai même été obligé d'aller le revoir deux jours après (et j'ai bien fait)

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Chiantissime. Chiantissime. Chiantissime.

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Bon, un sujet évidemment intéressant et percutant, mais j'ai toujours du mal avec les films de Gianfraco Rosi.

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Grâce à Rosi, m'en bats lec du périph romain wesh!

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Beau, je ne sais pas, perdu, oui.

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À tout casser dix minutes, mais j'ai bien saisi la philosophie du film de ce grand documentariste et photographe.

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À revoir, car je pense de ne pas avoir su apprécier le film à sa juste valeur en premier visionnage, et ça, ce n'est pas à cause de la somnolence de 20 minutes.

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Sans doute passé à côté de quelque chose, je n'ai jamais compris tout le trip autour de ce film qui ne m'avait pas enthousiasmé plus que ça.

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Ah oui, c'est beau, c'est même splendide. Mais les types qui font du kung-fu, j'avais déjà envie de les tarter au bout de trente minutes, parce que disons qu'énergie et ce film sont deux antonymes farpaits.

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Un film pour décéder? Rien de tel

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Dans la maison vide, on s'endort très vite, mais tout aussi vite rattrapé par l'esprit unique de Manoel de Oliveira.

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Lundi, des patates, mardi, des patates, et le soir au lit!

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De ce film, je me rappelle la scène de danse, superbe, et le brulage de la Bible d'Angèle alias Monica Bellucci. Ah si, et Louis Garrel qui fonce volontairement dans un arbre à cause de son amour perdu parce qu'il y avait un autre gars dans les parages, mais je ne me souviens plus ni qui ni quoi.

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Vous êtes sujets à des problèmes de sommeil? Pas de souci: allez voir un film d'Hong Sang-soo, le suivant sera exactement le même.

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Il aurait dû se limiter à un jour sans, ça aurait très bien collé à son cinéma et à son film. Heureusement qu'on a bouffé une pizza avec Shania Wolf juste après (qui s'est faite offrir une rose par un voisin de table qui en avait acheté une de trop à un paki pour ses accompagnatrices) parce que Lunette n'avait toujours pas pris son bus depuis l'Essonne au début de la séance suivante qu'on était censé se faire. Et puis faut avouer que se taper n'importe quel film après Hong Sang-soo est dans tous les cas suicidaire.

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Première rencontre avec HSS. Premier sommeil commun.

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Mouais.

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En vrai, j'ai été légèrement défaillant une petite quinzaine de minutes, mais j'ai gardé le fil, et il fallait remplir la liste.