Oui j'ai vu que ça en 2019.

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Assassination Nation avait tout pour me plaire et me déplaire en même temps : un fond archi politisé surfant sur les thèmes controversés actuels liés à la technologie, au féminisme et à la sursexualisation. Pourtant, Sam Levinson livre un film entièrement juste, du début à la fin, sans se méprendre tout en dénonçant violemment les vices d'une société contemporaine corrompue par le sexe, la violence et la discrimination.

Le long métrage est une libre adaptation d'un événement qui s'est déroulé dans les années 1600 où des rumeurs se sont accumulées comme quoi certaines femmes étaient des sorcières, allant jusqu'à des mises à mort de ces femmes.

Sam Levinson offre un film d'une générosité extrême, tant dans son fond que dans sa forme, et c'est avec un réel plaisir qu'on suit les aventures de ce groupe de femmes fortes et redoutables. Et le plan séquence est digne des plus grands jamais réalisés.

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"BBBBRAVOO"

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Revu

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Revu

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Complètement déjanté, Swiss Army Man est un film psychologique très réussi, n'hésitant pas à entrer dans l'excès pour mieux montrer ce qu'il a à dire. Et de ce point de vue là, le film est réellement très riche et on ne peut que le féliciter pour son originalité. Cependant, le long métrage met du temps à démarrer, garde quelques passages dispensables et ne va parfois pas au bout de ce qu'il entreprend. A découvrir.

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Revisionnage.

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Clint Eastwood reste dans son domaine de prédilection et offre un long métrage linéaire sans retournements et sans grands enjeux, préférant l'intimisme et la valorisation des valeurs familiales aux péripéties grandiloquentes qu'un tel sujet aborde généralement.

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Revisionnage.

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Multiple énième revisionnage qui fait toujours autant de bien. Vivement The Irishman!

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Revisionnage. Une comédie sympathique à la réalisation pétillante de dynamisme mais qui peine à dépasser son statut dégradant de divertissement populaire.

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Revisionnage. Les Coen et leur humour noir n'ont jamais résonné aussi bien qu'avec True Grit, excepté le fantastique The Big Lebowski!

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Un film totalement étonnant dans sa construction narrative, où l'absence complète de schémas et d'évolution de personnage -remplacée par une accumulation de sketchs- permet au public de se laisser submerger par le quotidien de vacances d'un autre ; quand bien même cela aurait pu être eux. Drôle sans être trop lourd, Leconte nous conte un beau conte moderne.

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Récompensant Olivia Colman aux oscars cette année, la Favorite n'est pas avare en grandiosité, tant dans sa mise en scène que dans sa direction artistique et son écriture vulgaire mais détonante. Un duel entre deux femmes acharnées -portrayées par les impressionnantes Weisz et Stone- permet au film de saisir les ruses et les manigances de la Cour.

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O'brother offre une fraîcheur cinématographique surprenante dans le parcours lugubre des drames des Coen, et par la même occasion s'avère être une adaptation moderne et revisitée de L'Odysée d'Homère : Sirènes, Cyclope, Aveugles, Diable, une Pénélope courtisée, un Everett/Ulysse beau parleur... Bref, un long métrage intelligent, drôle et enthousiasmant, porté par une bande originale aux petits oignons.

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Classique de l'animation, Le géant de fer semble toutefois dorénavant dépourvu de la magie qui le faisait atteindre le prestige d'être culte. Reste un long métrage touchant, dont la proposition artistique est de loin dépassée par son histoire sincère -et ce malgré des dessins réussis-.

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Un métrage qui ne cessera de me fasciner au fil des revisionnages.

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Une suite tout autant captivante que son prédécesseur, malgré des défauts évidents qui lui vaudraient peut être une légère retouche.

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Je peux vraiment pas rester passif devant tant d'absurdité et de débilité profonde. -1

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Vous me connaissez (ou non) : j'aime Marvel, j'adule le Marvel Cinematic Universe et j'ai toujours eu un penchant pour les super héros. Malheureusement, pour la première fois devant mes yeux ébahis, Feige a manqué sa cible. Marvel Studios tient son premier véritable échec : et c'est d'autant plus dommage que c'est la première fois que Marvel met les plats dans les grands en proposant, après 19 films, son premier long métrage centré sur une super héroïne. La vache, c'est pas trop tôt. Mais comme Wonder Woman en son temps, ce n'est pas parce que c'est une femme et que c'est progressiste que c'est forcément bien.

Normalement, il m'en faut peu pour kiffer ; surtout quand ça parle d'aliens, de Krees, de Skrulls, et d'un Fury, Coulson, Ronan et Korath jeunes. En plus d'être porté par la talentueuse Brie Larson, bien entendu. Et pourtant, le film se vautre dans la simplicité.

Certes, la surprenante non linéarité de l'origin story est intéressante, mais elle ne sert qu'à voiler l'absence d'enjeux et d'une trame plus complexe. A vrai dire, les retournements de situation sont prévisibles et qui plus est déplaisants quand on connaît le potentiel horrifique et diabolique des Skrulls des comics... Car d'habitude, les transformations vis à vis des comics ne me dérangent pas : une adaptation est une adaptation et elle doit être prise telle quelle. Mais ici, on parle d'un potentiel immense totalement gâché par un twist qui sert à l'histoire et à son propos mais qui dessert fatalement au rythme et à l'intérêt du métrage.

L'humour ne marche pas ; tout se déroule bien trop vite pour que ça soit un minimum vraisemblable; la réalisation est sympathique mais encore une fois illisible lors des scènes d'action; et le tout est fade et sans but. Et pourquoi, oh diable pourquoi avoir rendu Carole Danvers aussi girl-powerisée ? Les youhouh en explosant des vaisseaux, c'est trop.

ça me brise le coeur.

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C'est marrant; Je n'attendais rien d'Aquaman et j'attendais beaucoup de Captain Marvel. Et les deux m'ont surpris.

Aquaman n'est pas le film du siècle, et surfe complètement dans tous les clichés du genre mais il les exploite correctement tout au long du film et c'est sa grande force. Oui, c'est stupide et souvent très vilain, mais qu'importe, c'est jouissif, fun et vraiment super héroïque. Parfois, un bon film de super héros n'a pas besoin de réinventer le genre (coucou Ant Man and The Wasp :) ), il peut juste l'exploiter pleinement.

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A force de le voir, je me rends compte à quel point le film est réussi. Drôle, irrésistible et surprenant. Spider Man n'a jamais eu une vision unique, et Raimi n'a donné qu'une version possible du personnage.

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Vaughn propose sa version du légendaire comic book et en sort vainqueur. Toujours aussi décalé et fascinant.

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Il aura fallu 4 ans au film pour voir le jour, la faute à des procès interminables : exploitation sexuelle de son actrice principale, boycott de Johnny Depp suite à son divorce houleux avec l'actrice... bref, un film qui n'existe que grâce à la diffusion VOD. Mais tous les films maudits ne sont pas bien, et celui ci en est la preuve.

Acteurs à côté de la plaque en surjeu constant, mise en scène ridicule, scénario absent et vide d'intérêt, voix off inutile,... Tout est fait pour le désigner comme un bon navet. Et les yeux doux d'Amber ne me résoudront pas à mettre une note décente à un tel cauchemar.

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Revu au cinéma et quelle claque! ça fait tellement du bien de revoir un tel film (et en plus mon film préféré) sur grand écran... C'est époustouflant. Je ne m'en lasserai jamais.

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Revisionnage et un moinzin mais un film qui reste drôle, bien réalisé et divertissant.

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Revisionnage pas si déplaisant que ça malgré son nombre de défauts énorme.

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You don't butt in line. You don't sell drugs. You don't molest children. The rules were set a long time ago and they don't change.

James Gunn revient quelques temps après son redoutable Horribilis pour faire mettre le costume à Dwight. "Super" n'est pas un film comme les autres; ça ne souhaite ni être sérieux ni être parodique. ça souhaite juste exister tel quel; un ovni cinématographique bizarroïde violent mais juste.

Si les premières minutes semblent trop pointer du doigt l'amateurisme du long métrage, la dernière demi heure rattrape tout ce qui n'allait pas en proposant un récit puissant et passionnant, redoutablement efficace et sauvagement réussi dans sa fin poignante et touchante, ce qui était difficile de prévoir à la suite d'une heure passée à regarder un personnage complètement fou faire sa justice.

Ellen Page apporte la touche folle nécessaire à ce que le film puisse prendre son envol. Mais le film est globalement très bien porté par Rainn "Dwight" Wilson qui surjoue constamment mais qu'importe, il le fait bien.

C'était frais et fun. Non accessible à tous les publics, Gunn livre pour son second réel long métrage une version pré Kick Ass du super héros sans super. Bref, c'était super.

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Impossible de se faire un avis concret en un seul visionnage tant le film est bourré de choses surprenantes, positivement ET négativement. Quelques déceptions, mais j'ai appris avec Iron Man 3 qu'un seul visionnage ne peut pas suffire quand on se fait surprendre de la sorte. J'y retourne bientôt! (il faut bien aider le film à atteindre le 1 milliard de dollars en un week end!)

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Revisionnage.

Un grand film pour un grand homme; une propagande virulente d'informations qui résonne à travers toutes les générations. Un film dramatique et pourtant comique, qui parviendra toujours à me scotcher dans sa tirade finale.

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Refn démarre sa filmographie avec un film intimiste posé et très lourd dans son ambiance. Cependant, malgré la mise en scène très inspirée, malgré la présence enrichissante de Mads Mikkelsen, le réalisateur danois peine à fasciner, même avec un final aussi pesant. Pas une grande réussite, mais clairement pas non plus un mauvais film ; on passe un moment long devant une oeuvre qui mérite toutefois d'être vue et qui annonce du grandiose dans la carrière du Danois.