Parce y'en a marre d'être une inculte, en 2016, je lis (et surtout, j'en fais un liste dont personne n'en a rien à carrer).

Annotation :

Lu les deux premiers tomes fin 2015. C'est l'amour.

Annotation :

C'était d'un fade et d'un ennui... Fin bon chacun ses gouts je suppose?

Annotation :

Plus verbeux et politique que les précédents. Pas trop ma tasse de thé dira-t-on, mais dernière partie très intéressante qui relance l'intérêt pour la suite.

Annotation :

On suit la compagnie du Sorceleur à la recherche de Ciri. Je commence à trouver le tout un peu long, bien que l'histoire est passionnante.

Annotation :

Très chouette début avec Ciri. Je ne sais pas trop quoi lire entre les différents tomes du sorceleur.

Annotation :

Sur les conseils de vy ty;

Je lis trop de fantasy, ce me semble. En plus c'est un pavé, j'vais y passer l'année.


956pg (j'ai cru ne jamais y arriver)

C'est très très bien écrit et très "raffiné" si j'ose dire. Je me suis un peu perdue vers la fin du roman avec les intrigues politiques (pas de mon gout, et un peu baclées) mais l'héroine est vraiment intéressante, tout comme le jeune Cassilin. Il y a cependant une certaine bipolarisation de l'intrigue et de certains personnages qui m'ont dérangés, sans que cela soit complètement un problème.
C'est bien mais ça ne m'a pas emporté comme d'autres livres ont su le faire malheureusement.

février-mars 2016

Annotation :

J'aime beaucoup Tracy Chevalier pour ces romans délicats et sensibles. Celui-ci n'échappe pas à la règle. Ces portraits de femme, à l'aube du 19ème, sentent bon l'ambiance Jane Austenienne, le thé et les embruns de la mer.
Comme souvent, l'auteure raconte avec retenu les troubles des sentiments, la fascination de la découverte et la tristesse des femmes de l'époque, enfermées dans le carcan des traditions et des interdits, cherchant malgré tout à se faire entendre.
Et comme souvent avec cette auteure, un arrière gout d'inachevé me prend à l'heure de reposer le livre. Pour éviter lourdeur et caricature, peut-être que Tracy Chevalier manque-t-elle d'ambition dans ce roman qui touche pourtant un sujet épineux pour l'époque: la remise en question de Dieu par le biais de la découverte d'anciens animaux marins aujourd'hui disparus.

450 pg?

mars 2016

Annotation :

Malheureusement alitée, j’enchaîne les livres. Mais quand me lasserais-je?

Un peu déçue par le style ampoulé des personnages et des dialogues (invraisemblables! Parfois sans queue ni tête!). L'intrigue est cependant rondement menée, éclaircie par certains personnages plus intéressants bien que caricaturaux.
On repassera pour l'intrigue amoureuse principale d'une niaiserie profonde et agaçante (coup de foudre instantané; je ne peux vivre sans toi laisse moi mourir de chagrin etc; ridicule).

450pg

mars 2016

Annotation :

Je n'ai pas trop compris l'intérêt de l'affaire. Déjà décrire toute la vie d'une personne en 135 pages, en grand caractère, ne peut évidemment qu'effleurer le sujet sans jamais chercher à comprendre quoi que ce soit. Le texte ressemble à une reconstruction historique, enrichis d'extraits de correspondance, d'annotations de l'auteure etc. Déception pour ma part, de découvrir que ce qui faisait le peu de consistance de l'écrit n'a jamais existé que dans l'imaginaire de l'auteure.
Finalement, la vie de Barbara n'a pas tellement d'intérêt tant le sujet est survolé.


135 pg

mars 2016

Annotation :

Je ne me sens pas l'envergure lyrique et l'autorité (?) que pour critiquer ou donner mon avis sur ce classique (et d'ailleurs sur tous les classiques). J'avoue que je ne savais pas vraiment dans quoi je m'engageais et que j'ai été surprise par le début du roman, qui me semblait manquer d'intérêt (bien que sympathique). C'est à l'apparition de Mr B que l'histoire prend une tournure intéressante et où l'enjeu réel se révèle. Et bon. Si vous l'avez lu, vous savez.

94pg

mars 2016

Annotation :

Bon ben j'ai bien aimé, mais ca ne va pas me laisser un souvenir impérissable. Finalement ça raconte quand même quelque chose d'assez basique et attendu, bien que tragique. On devine assez vite le déroulement de l'histoire. Néanmoins les personnages sont touchants et l'histoire fait réfléchir sur la vie, l'amour et l'argent. Facile mais suffisant.

184pg

mars 2016

Annotation :

Ce roman est un serpent qui se mord la queue. On part d'une situation a, on fait un chemin pleins de péripéties vers le point b, mais on revient au point a. Je trouve ça relativement très déconcertant.
Le personnage principal manque de saveur et n'a d'intérêt que par l'attention qu'il porte à la jeune Maggie, certes plus intéressante mais c'est pas non plus follichon. La soeur de Thomas est d'une betise confondante, et la seule personne à qui il arrive vraiment quelque chose dans le livre; mais uniquement parce qu'elle est stupide, et c'est tellement du prémaché que ça en perd vraiment tout intérêt.
Le vrai personnage intéressant est le père, qui malheureusement ne sert pas à grand chose et n'est finalement pas tant développé que ça.
On a certes un tableau de William Blake, mais uniquement pour pimenter le parcours de nos jeunes adolescents innocents, piments bien fades cependant tant son oeuvre n'en est qu'effleuré.

450 pg

mars 2016

Annotation :

Je trouve que Christian Jacq étale un peu sa science sans propos. Un retournement de situation tout à la fin tellement inapproprié qu'on a peine à y croire, des personnages toujours aussi caricaturaux, un style toujours aussi pédant et une intrigue qui s'effiloche de plus en plus...

mars 2016

Annotation :

Très surprise par ce petit roman épistolaire dont je n'attendais pas grand chose.
Je ne m'étendrais pas sur les qualités incontestables de cette "farce" (parce que plus théâtral que les autres romans de Jane Austen). J'ai beaucoup aimé l'introspection dans les pensées des différents personnages grace à ces lettres personnelles. Ce qui est intéressant (et si vous fréquentez des gens dans la vraie vie, vous vous posez probablement la question parfois, comme moi) c'est donc de rentrer dans la tête des personnages "détestables" (tout est relatif, évidemment). Les gens qui nous paraissent égoistes/frivoles/narcissiques se définiraient-ils par ce même mot? Cette question me taraude car les actions de certains me sidèrent par leur égoïsme: quelles sont leur justifications? S'en rendent ils compte? Si non, peut-être suis je l'égoiste de l'affaire finalement, mais je ne me le suis pas encore avouée. Bref, ce genre de chose.

115pg
mars 2016

Annotation :

C'était vraiment très chouette et sympa. Une ambiance victorienne, sur fond d'arnaque et de retournements de situations. Au départ, tu sens bien qu'il y a une couille dans le court-bouillon, mais je l'ai quand même pas tant anticipé que ça, ce qui fait que j'ai eu quelques grosses surprises pendant ma lecture. Susan et Maud sont toutes deux très attachantes à leur manière, et les autres personnages semblent crédibles bien que l'auteure se plait à dépeindre la bassesse humaine.

750pg

mars 2016

Annotation :

Il me fallait bien finir cette trilogie, mais j'ai pris sur moi franchement.
C'est de plus en plus caricatural, de plus en plus pédant, de plus en plus insupportable. La lecture en diagonale est mon amie.

400pg

Mars-avril 2016

Annotation :

Alors c'est très bizarre de noter ce livre.
Tu t'attends à lire du Jane Austen. Donc tu n'es pas objective, tu veux de l'Austenesque et tout. Mais ce n'est pas Jane Austen (à part les premiers chapitres).
Donc voilà, c'est plus rocambolesque, moins terre à terre, et surtout moins "convenable" que ce qu'aurait probablement pondu notre Jane. L'auteure s'amuse à inclure de nombreux clins d'oeil que je trouve inutile et hors propos, et qui clairement alourdissent le récit (rien que les dernières pages, tu as l'impression de relire O&P).
Mais dans un sens, en essayant de copier l'humour Jane Austen , l'auteure le caricature pour plus de mordant et ce n'est pas plus mal (si on oublie de dire "oh mais non c'est pas cool c'est un jane austen ca devrait pas être aussi mordant blablabla").
J'ai beaucoup ri des personnages qu'on nous présente. Pas vraiment des ajouts de l'écrivaine mais de la base donnée par Jane. J'ai trouvé ces personnages très humains et intéressants, j'y ai même reconnu des personnes que je cotoie, et mine de rien ça fait plaisir et ça fait rire.
Si j'ai beaucoup aimé Sidney (dans un contexte actuel), je regrette son tempérament trop effronté qui n'aurait pu obtenir l'aval de Jane Austen, selon moi. Et c'est peut-être bien là la faiblesse du livre, les deux personnages principaux. Mais il y a un tel plaisir dans ce livre que ce n'est finalement qu'accessoire.

avril 2016

Annotation :

C'était loin d'être mauvais, mais c'était très inégal. En réalité l'autrice prend le partie de parler de la vie d'Artemisia en se focalisant sur la jeunesse de celle-ci: son apprentissage, sa rencontre avec son violeur et leur relation, ainsi que le procès qui suivit.
Après ce remue ménage passionnant, on a du mal à s'intéresser à son mariage et au reste du roman. Car oui, la dernière moitié tente de raconter tout ce qu'il s'est passé après, le mariage, la relation avec sa fille, Naples, son second amour, la mort de son père. Mais on s'ennuie ferme.

avril 2016

Annotation :

Livre reçu gratuitement sur le stand Bragelonne à la foire du livre à bruxelles.

Je ne savais pas trop quoi lire. Et donc voilà, je l'ai sorti de la bibliothèque.
Honnêtement j'ai passé un bon moment. Il s'agit cependant d'un tome d'introduction et cela se ressent. Ce qui m'a étonné c'est que finalement seule quelques heures sont décrites dans le roman où tous les personnages importants pour la quête/prophétie vont se croiser et se rencontrer de manière parfois brutale.
J'ai un peu peur que la suite soit décevante cependant, tant le roman est basé dans ce premier tome sur une ambivalence méchant/gentille. J'attends donc beaucoup de la suite.

Avril-mai 2016

Annotation :

J'adore Frey.
J'adore parce que l'auteur se met réellement à la place de ces personnages. L'écriture et le développement des personnages tiennent du génie.
Frey est un menteur qui croie à ses propres mensonges, il est lache et voleur, et surtout ce n'est jamais sa putain de faute. Le mec passe son temps à se déculpabiliser d'avoir fait de la merde. D'accord il a promis à telle dame qu'il l'épouserait, mais c'est leur faute après tout de vouloir les grands mots etc.
Wooding n'épargne rien à ses personnages, certains sont sexistes, voire carrément insupportables, mais lorsqu'on lit leur partie, on s'immerge dans leur esprit, certes parfois peu reluisant. Et l'immersion est totale, convaincante comme je ne l'avais jamais vu jusqu'ici.
Si l'histoire rappelle fortement la série Firefly, série chérie trop rapidement avortée, elle arrive à se différencier et à inclure de nombreuses pistes pour des histoires plus profondes. On sent un univers sous-jacent riche et prometteur derrière ce premier tome relativement "pauvre" en intrigue (l'intrigue est bien mais assez basique, juste là pour "commencer" les choses sérieuses).

Mai 2016

Annotation :

On continue avec le second tome de Frey. Cette seconde intrigue rentre un peu plus dans les méandres de la politique religieuse de l'univers du roman et me fait beaucoup espérer pour la suite des intrigues!

Mai 2016

Annotation :

Ben c'était vachement sympa les copains. J'étais certes prévenue positivement sur le machin, et ça m'a peut-être fait apprécier le roman plus que de raison, mais même en essayant d'être objective: ça se lit bien.
J'ai beaucoup apprécié l'héroine, à laquelle je me suis évidemment tout de suite identifiée. Beaucoup de questions sur le pourquoi du comment dans ce premier roman, un univers travaillé avec cette Citacielle improbable et des pouvoirs assez originaux. Les personnages sont bien plus difficile à cerner que ce à quoi je m'attendais (encore beaucoup de difficulté à cerner Thorn et Berenilde par ex), pas trop de romances pour l'instant (mais je soupçonne que ça va venir, et j'avoue que je suis curieuse de voir comment ça va tourner).
Peut-être est ce l'age qui fait que je n'ai pas accroché autant qu'à un Harry Potter à l'époque (je suis vieille), mais je peux comprendre parfaitement l'engouement chez les jeunes, car pour ce premier tome, ça a bien plus de mérites que certains twilight voire hunger games (que j'ai apprécié par ailleurs).

mai 2016

Annotation :

J'ai beaucoup aimé toute la saga du sorceleur, mais ça fini quand même un peu en eau de boudin.

665pg
mai-juin 2016

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juin 2016

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juillet 2016

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juillet 2016

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juillet 2016

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juillet 2016

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juillet-aout2016