Romans non retenus

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L"Atlantide : le code perdu" est présenté comme une dystopie. le contexte est en effet celui d'un roman d'anticipation : la Terre a été endommagée par les radiations solaires et les hommes vivent désormais soit sous des dômes gigantesques, soit sous terre. Pourtant, petit à petit, "Atlantide : le code perdu" glisse vers le roman d'aventure et le fantastique.
Ce premier tome est surtout introductif et centré sur le personnage d'Owen, les révélations n'arrivant qu'à la fin.Tout au long de l'histoire, alors que Owen découvre sa vrai nature, le doute plane. On se demande pourquoi certains adolescents changent, pourquoi d'autres disparaissent et si tout cela fait partie d'un plan... Toutes ces interrogations vont parfois créer une impression de piétinement, comme si l'histoire stagnait. J'ai à quelques reprises, trouvé que ce premier tome manquait d'action.

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Sept nouvelles inspirées des romans chevaleresques. A travers ces récits d'épreuves initiatiques, l'auteur cherche à transmettre ses valeurs et invite à se révolter contre le monde moderne.

Mon avis : Idées originale et but intéressant, mais le ton trop manichéen et didactique de l'auteur décrédibilise ses nouvelles.
En effet, escalader la façade de Notre-Dame afin de vivre l'Histoire au présent et non plus de la subir en spectateur; enlever des musiciens afin de les faire jouer des Mazurka le samedi soir en pleine forêt, endommager des relais de télévision afin d'offrir une soirée de liberté aux individus pour les inciter à lire par ex., toutes ces histoires manquent de puissance (contrairement à ce qu'en dit la 4ème de couv.) De plus les réflexions phylosophico-sociétales des protagonistes en plein effort par ex. (Notre-Dame) montre la difficulté de l'auteur à concilier le récit et les grandes idées qu'il veut faire passer.

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Un violoncelle, instrument noble et délicat, se retrouve engagé malgré lui dans les tranchées de la première guerre mondiale. Un petit garçon décide d'écrire noir sur blanc les souvenirs de son grand-père, hanté par un lourd secret. Un fusil à baïonnette, désormais coincé dans un musée. redoute de devoir servir de nouveau, lors d'une reconstitution de tirs.
Trois nouvelles bouleversantes sur la première guerre mondiale… Ou comment en dire juste assez pour faire ressentir toute l’horreur de la guerre, sans choquer…
A partir de 10 ans

Mon avis : L'originalité de la 1ère nouvelle réside dans le parti pris par l'auteur.Nous entendons l'histoire racontée du point de vue d'un violoncelle. Entre humour et tragédie, cette nouvelle brosse un tableau intéressant . On s'amuse alors des états d'âme d'un instrument habitué aux attentions les plus délicates et qui, soudain, se trouve confronté aux brutalités de la guerre. On s'émeut aussi lorsqu'il tremble pour son compagnon pendant ses dangereuses missions et que le soir, gagné par le désespoir, Maurice trouve un réconfort auprès de lui en jouant les morceaux favoris de son répertoire.
La fabrication du nouveau violoncelle rappelle l'intense artisanat des tranchées. Les poilus ont en effet fabriqué durant la guerre des objets de toutes sortes y compris des instruments de musique, et ce, avec les matériaux de récupération trouvés sur le front (caisse de munitions, douille d'obus…).
réédition pilonné en 2014

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Yankov est un petit enfant juif ayant perdu ses parents en camp de concentration. Accueilli dans une maison d'enfants, il essaie de retrouver goût à la vie.

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Frida, 17 ans, apprend qu'elle est atteinte d'une maladie des yeux, et risque de perdre la vue. Elle, qui rêvait de visiter l'Italie, décide d'aller à Florence avant qu'il ne soit trop tard. Là-bas, elle rencontre Jakob, 19 ans, norvégien comme elle. Le jeune homme doit écrire des articles sur l'histoire de l'art et parcourt l'Europe pour admirer quelques-uns des 34 tableaux dont il a choisi de parler. Pour Frida, c'est le coup de foudre ! Jakob lui raconte Giotto, Brunelleschi, Raphaël... et elle voudrait qu'il ne s'arrête jamais..

Mon avis : Le sous-titre "roman d'art et d'amour" m'a attiré de prime abord. Je pensais échapper à un roman niais qu'aurait rehaussé l'aspect artistique. D'autant qu'en milieu d'ouvrage, des reproductions de tableaux me laissaient envisager une ouverture intéressante (pas besoin d'aller sur internet pour visualiser les propos des protagonistes).
Sauf que : l'intrigue est inexistante,les personnages peu attachants. Les dialogues sont prétexte à l'étalage des connaissances de Jakob.
Bref, l'auteur aurait dû écrire un guide de Florence au lieu de distiller à trop fortes doses des renseignements sur cette ville- au demeurant intéressants- dans chacun des dialogues.
Bref, une idée intéressante mais une fiction ratée.

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Vanessa Adler commence les cours de l'académie du New York City Ballet avec deux objectifs : retrouver sa soeur qui a mystérieusement disparu et devenir danseuse étoile. La jeune fille est choisie pour incarner le premier rôle dans L'oiseau de feu de Stravinsky. Elle ne se doute pas que ce choix émane d'une puissance maléfique.

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Au XIIIe siècle, l'histoire de deux frères, Jacques et Roger de Flor qui, pour venger leur père Richard, s'engagent l'un comme ambassadeur des barons de Sicile, l'autre comme chef des Almogavares, l'armée du roi d'Aragon, et côtoient le pouvoir dans plusieurs villes du Bassin méditerranéen (Barcelone, Brindisi, Saint-Jean-d'Acre, Gênes, Messine, etc.).

Mon avis : A vouloir être ultra précis, le texte en devient difficile d'accès (annotations explicatives en bas de pages par exemple...) Il m'est tombé des mains;

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2356 : la Terre est dévastée, l'humanité a colonisé la lune. Phaet, une discrète jeune fille de 15 ans, voit son destin basculer par la double vie de sa mère, résistante au pouvoir en place.

Mon avis : histoire sympathique mais lue et relue mille fois.