Séries vues en 2019

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La scène d'ouverture instaure une tension prometteuse qui malheureusement retombe bien vite et cède le pas à un scénario incohérent rempli de situations à s'en décrocher le sourcil. Je m'arrête à la fin du deuxième épisode, j'ai été lire ce qui se passait ensuite et je suis bien contente de ne pas avoir perdu davantage mon temps.

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Je sens que je vais méchamment binge-watcher la série ! Il y a eu des moyens pour offrir une belle reconstitution du New-York des années 50, c'est très agréable.

Bon bah voilà, je suis conquise par cette série feel good, j'attends la 3e saison avec impatience !

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Le format est malin. Les deux premiers épisodes ne poussent pas à voir la suite de la série, la faute à des personnages assez tête à claques, mais à raison de 8 épisodes de 25 minutes, on se dit qu'on peut bien continuer pour voir et finalement on se laisse happer. C'est assez réussi, c'est une des rares séries Netflix dont le scénario m'ait convaincue, avec en prime une bonne bande son et des décors et une mise en lumière que j'ai trouvé plaisants.

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J'ai perdu 1h30 à regarder le premier épisode. Comme c'est mal écrit et sans finesse sur un sujet qui méritait infiniment plus de nuances... Les personnages sont détestables et les rebondissements terriblement clichés, bref, aucun intérêt.

Je persévérerai peut-être mais en sélectionnant bien les épisodes au préalable. (Et encore, rien n'est moins sûr maintenant que j'ai suspendu l'abonnement à Prime)

Oui bah en fait non, j'ai abandonné, il y a peut-être de meilleurs épisodes, mais vous n'aviez qu'à les mettre en avant, vous avez choisi un épisode nul pour lancer la série, tant pis pour vous.

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Je n'aurais jamais pensé regarder mais vu que le chat se binge-watchait la série, je me suis faite happer. Une série feel good, c'est bien aussi !

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Huhu, encore ! On dira que c'est pour se remettre dans le bain avant le visionnage de la saison 6... (Mais bon, il n'y a pas vraiment besoin de trouver une raison pour regarder Brooklyn Nine Nine en vrai)

Pour nuancer mon admiration, je trouve que la saison 3 a quelques épisodes un peu plus faibles par rapport au reste. Par contre qu'est ce que j'aime le capitaine Holt dans sa version débridée qui arrive à ce moment là (mais est encore meilleur dans la 4e saison).

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J'avais commencé à commenter ici, mais j'ai vite été limitée par le nombre de caractères autorisés et je me retrouve avec une critique de 18 pages... Dès que j'en ai le courage et le temps, je la mets un minimum en forme et la poste ici...

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Arrêté au premier épisode, Cambridge a l’air d’être une bien jolie ville et l’accent anglais est très classe, mais le sujet est très mal traité : le prétexte de départ à la montée en tension est quand même très léger… C’est cliché, ce type d’histoire a déjà été vu ailleurs, ici l’écriture manque vraiment de subtilité.

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Un jour j'arriverai à voir l'intégralité des épisodes de cette série... Bon il ne me manque plus que quelques épisodes de la saison 1 à découvrir, ça sera pour un prochain visionnage !

En attendant pour le moment j'en arrive à la saison 10. J'avais déjà trouvé la saison 9 un peu plus faible mais elle se tenait encore, la 10e saison ne se montre pas vraiment convaincante, je suis assez sceptique sur le traitement appliqué au couple Amy / Sheldon... Les autres personnages sont assez fadouilles et pour certains sous-exploités, on sent l’essoufflement des scénaristes... La série aura su tenir sur la durée et ce n'est pas une catastrophe industrielle à la How I Met Your Mother, ça se regarde, mais on sent que c'est une série finissante.

Je m'arrête à la saison 11, le chat ne pouvait en supporter davantage. Il y a une légère tentative de redresser la barre, mais les personnages ont tellement été sabordés précédemment que tout retour en arrière est impossible. Amy et Sheldon ne sont absolument plus crédibles et on sent d’ailleurs que les acteurs n’y croient absolument pas eux-mêmes… Le couple Penny / Leonard se montre assez peu convaincant également et réactive la question de ce qui peut bien justifier qu’ils soient ensemble. On sent les scénaristes moins inspirés, ce qui n’a rien d’honteux après plus de 250 épisodes, et probablement aurait-il mieux valu conclure tout cela un peu plus tôt. En 10 saisons en fait, et c’était bon.

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J'ai tenté, mais ça a pris un petit coup de vieux. On retrouve bien l'équipe à l'oeuvre sur Parks & Recreations et Brooklyn 99, mais les personnages trop caricaturaux et globalement pas très sympathiques gâchent le plaisir, cela manque de l'humanité que l'on retrouvera dans les séries ultérieures.

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Le personnage de Rita m'est assez antipathique, ça ne va pas être conciliable avec le suivi de la série.

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J'ai pris la série en cours en prenant au vol le deuxième épisode avant de regarder l'épisode précédent... Et en fait c'était bien, parce que le début de la série est loin d'être convaincant, le côté caricatural des personnages peut effrayer. Ça va mieux ensuite heureusement, malgré une révélation de sentiments amoureux réciproques qui me semble arriver un peu vite. Le rythme est assez lent, ce qui n’est pas forcément déplaisant même si l’histoire est sans doute un peu trop délayée. Le point noir de la série, c’est surtout qu’on sent le manque de moyens qui contraint le scénario et la mise en scène des évènements (dédicace au mobilier présent à Shibden Hall qu’on retrouve dans un château écossais). Ce n’est pas surprenant que l’investissement ait été contenu vu la thématique de la série qui amène sans doute à un public de niche, mais c’est assurément restrictif. Une deuxième saison a été annoncée, elle devrait amener à voyager à travers l’Europe, il faudra que le budget soit un peu plus important pour que l’univers reste crédible.

Ah oui et Gentleman Jack, c’est aussi la série qui confirme que la décennie 1830 a été décidément une bien funeste période capillaire et vestimentaire...

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Aucun doute, nous sommes bien face à une série anglaise ! Le ton est immédiatement donné, Fleabag est une série foisonnante, tout à la fois survoltée, crépusculaire, grinçante, d’un comique amer qui ne laisse pas insensible. Elle est portée par Phoebe Waller-Bridge dont l’énergie et l’expressivité font Fleabag (je n’ose imaginer le rendu de sa copie française, Mouche, tant l’interprétation de l’actrice donne à la série tout son sens) et une Olivia Coleman très douée pour jouer les garces souriantes un peu tarées.

Et pourtant j’ai des sentiments très contrastés pour Fleabag car si le début est brillant, la première saison perd vite de sa superbe. En cause son personnage principal à l’égoïsme tellement exacerbé que l’on ne parvient plus à éprouver d’empathie par elle et dont on se dit qu’elle est seule responsable de sa dérive. Je n’ai il est vrai pas été surprise par le twist final que j’ai vu venir très tôt, ce qui explique aussi combien j’ai trouvé son héroïne détestable. La deuxième saison trouve un meilleur équilibre et révèle un aspect émotionnel insoupçonné qui permet à la série de briller pleinement et la rend incontournable.

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Saison 2

Je suis très impressionnée par la qualité de la reconstitution qui offre une variété de décors, y compris extérieurs, et un nombre de détails très impressionnants. Combiné à une photographie léchée, clairement Netflix a mis les moyens pour ce qui est probablement sa série la plus intéressante du moment (pour ne pas dire la seule actuellement produite par la plateforme qui puisse prétendre à nous passionner parce que pour le reste...)

Je suis pour le moment très agréablement surprise par la tournure prise par cette deuxième saison : contrairement à la première saison qui était partie très fort et était retombée pas même arrivée à la moitié des épisodes, le rythme est ici constant, la tension maintenue. Les développements personnels des personnages qui parasitaient l'intrigue sont ici intelligemment utilisés et servent à quelque chose, je ne suis pas forcément fan de l'intrigue autour de la famille de Bill Tench que je trouve un peu facile, j'aurais espéré un traitement plus subtil, sans cet évènement cliché, mais malgré ce raccourci scénaristique, je trouve que pour le moment tout s'enchaîne très proprement. J'ai de hautes espérances pour la fin de la saison, mais je pense que l'on peut parler dès à présent d'une série hautement recommandable.

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Exercice de style qui n'est pas inintéressant, dans un cadre contraint. Les segments anglais et allemands sont de qualité, les autres heu...

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J'ai beaucoup aimé le premier épisode.

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L'inspectrice, cette tête à claques... Allez comprendre pourquoi les scénaristes se sont dit que ça serait une super idée de la mettre au coeur de tous les épisodes avec une sous-intrigue de romance à l'eau de rose... Enfin globalement il y a un vrai problème d'écriture, le premier épisode faisait illusion parce que la suspecte était très bien interprétée, mais après on se rend compte que c'est totalement improbable tout ça... Les bouleversements narratifs provoqués par des infractions manifestes à la loi qui invalideraient dans la vraie vie les aveux extirpés, comment dire...

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La honte pour le segment français, les deux meufs jouent trop mal... Mention spéciale à celle qui "incarne" Laetitia, j'ai rarement vu quelqu'un jouer à ce point comme un pied. Pour le reste l'écriture n'est pas hyper subtile, ce qui est quand même dommage parce qu'avec Nathalie Baye ou Jérémie Renier il y avait moyen de faire autre chose...

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A nouveau attrapée en cours de route. Un jour j'arriverai à voir les premiers épisodes.
A nouveau la classe folle de Diane, véritable héroïne de la série (quel dommage que The Good Fight ne lui rende pas suffisamment justice)
A nouveau visionnage arrêtée arrivée à la 5e saison. Un jour j'arriverai à dépasser le tournant scénaristique introduit à ce moment-là...

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Saisons 6 et 7

C'est pas moi, c'est le chat qui regardait... et je me suis faite avoir comme une bleue. Après avoir choppé des bouts des premières saisons par-ci par-là, me voilà donc qui regarde la série en intégralité depuis la saison 6. Je pense pousser jusqu'à la saison 9 ou 10 et repartir ensuite du début. C'est loin d'être la série avec la meilleure écriture, ce n'est pas très crédible, mais j'assume, parfois c'est chouette aussi d'avoir une série ultra popcorn.