Séries vues en 2021

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Ca se regarde mais ça ne mérite pas toute cette hype (ou alors c'est un peu triste d'en arriver à se pâmer parce que pour une fois une série Netflix est un peu mieux fichue que les autres...)

Le scénario est très classique, il fonctionne mais je n'irai pas jusqu'à dire que les parties d'échecs étaient d'une tension incroyable, on se doute à chaque fois de l'issue (et on sent que sur la fin de la série, avant la dernière grande partie, ça saoule un peu les réalisateurs de filmer une énième partie donc ils pratiquent davantage l'ellipse ou trouvent des astuces stylistiques pour rythmer tout ça, ce qui arrive d'ailleurs un peu comme un cheveu sur la soupe).

Pas déplaisant donc, mais pas marquant non plus, et il faut réussir à passer outre le premier épisode qui est un concentré de clichés et est franchement relou.

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Once more, à partir des saisons avec Amy et Bernadette.

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Saison 4
La troisième saison temporisait, avec l’arrivée de Diana et de Margaret Thatcher la série se retrouve enfin dynamisée. Bien sûr, on se focalise beaucoup sur la vie personnelle des personnages au détriment de la politique, ça a toujours été le crédo de The Crown, mais je dois dire que j’ai trouvé cela particulièrement frustrant ici tant il y avait de la matière à exploiter qui n’a été qu’à peine survolée (la question irlandaise notamment, qui est laissée en suspens). D’autant qu’on assiste à une dramatisation outrancière de certaines trajectoires, faisant basculer encore un peu plus la série dans une fiction n’entretenant qu’un lien ténu avec la réalité dont elle s’inspire. Si on ne doute pas que le mariage de Charles et Diana a été malheureux, la focalisation à vouloir faire de Charles le grand méchant et Diana la victime innocente manque clairement de nuance. Sur la fin de la saison, les lignes se troublent quelque peu, mais il aurait été plus intéressant d’explorer les failles avec plus d’honnêteté, le récit en serait ressorti avec une crédibilité renforcée.

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Saison 4
Une conclusion honnête pour la série, les personnages sont davantage respectés que ce qui a pu être fait dans le passé, on sent que les scénaristes ont appris de leurs erreurs.

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J'ai dévoré les 10 épisodes de 25 minutes de la première saison. C'est hyper malin, l'exposition du fonctionnement du parlement européen pourrait sembler assez aride mais c'est traité de manière suffisamment décalée pour qu'on se passionne pour le sujet.

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Saison 7

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Mouais. J'ai probablement idéalisé la série, mais le personnage du flic est hyper cliché et le coup de l'adversaire hyper intelligent est loin d'être d'une originalité incroyable...

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Le chat ne veut pas regarder aussi vite que moi, frustration !

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J'en attendais beaucoup, j'attends de voir ce que ça va donner.
En pause après le premier épisode.

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J'ai vu un épisode, et puis je suis partie vers autre chose. J'y retournerai peut-être un jour, ou peut-être pas, nous verrons bien.

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Très chouette ! Au-delà de la rivalité mise en scène dans un Hollywood déclinant, la série est très intéressante pour sa réflexion sur la place des actrices dans le star-system et leur mise à l'écart dès qu'elles sont jugées trop âgées et moins désirables.

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J'ai tenté de m'accrocher pendant 2 épisodes mais ça ne va pas être possible. La toile de fond est passionnante, mais la manière dont ce contexte est posé fait que ça ne fonctionne pas, on se pose beaucoup trop de questions là où le livre permet sans doute de passer outre ces problématiques. Par exemple, dans ces Etats-Unis sous domination allemande et japonaise, on ne parle quasiment qu'anglais. On comprend que ce choix a été fait pour ne pas imposer de sous-titres au public anglophone, mais ce n'est absolument pas crédible quand cela fait 15 ans que le territoire a été conquis. On ne peut pas avoir des idéogrammes sur tous les magasins de San Francisco et personne qui s'exprime en japonais...

La narration est par ailleurs assez datée, elle fait trop appel à des poncifs éculés et joue plus que de raison avec le mélo, ce qui lui fait louper ses effets : au lieu d'être émus par des situations dramatiques, on est juste blasé qu'on ose nous sortir de tels clichés. Pour ne rien arranger, l'image est dégueulasse : un filtre gris bien sale est présent en permanence pour cacher le manque de moyens dans les décors. Comme ça la série est pénible à regarder et on n'en retire aucun plaisir esthétique. Bien joué.

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La filiation avec Downton Abbey tient à l'ambition de la série de dépeindre tant les classes dominantes que les domestiques, même si cette volonté apparaît ici plus artificielle, ces derniers étant insuffisamment développés.

La série est classique mais est agréable à suivre, notamment grâce à un rythme maîtrisé, où chaque épisode s'achève sur un évènement ou une révélation suffisamment marquante pour avoir envie de connaître la suite. Cependant cela apparaît de plus en plus forcé au fil des épisodes : si les deux premiers épisodes sont remplis de promesses, les deux suivants temporisent un peu trop et les deux derniers se montrent décevants. L'ultime épisode en particulier sonne faux : le dénouement de l'intrigue est beaucoup trop expéditif et amené sans aucune subtilité par des personnages qui pour certains n'avaient pas de raisons de se rencontrer (et qui se lancent donc dans des dialogues explicatifs pas crédibles pour un sou). Mention spéciale pour le personnage qui pointe lui-même l'incohérence du scénario : oui, si un certain protagoniste n'avait pas été commodément idiot en lui cachant la vérité, la série pouvait se conclure en 3 épisodes.

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Belle esthétique, à voir si l'histoire suivra. J'ai un peu peur que le postulat de départ et le contexte franquiste ne soit pas assez exploité, au profit d'un humour en-dessous de la ceinture qui n'apporte pas grand-chose.

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La première saison offrait une vision semblant assez réaliste de l'état de l'hôpital en France, la deuxième saison opte pour un scénario qui laisse une plus grande part à la fiction. Le curseur est un peu trop poussé à mon goût, mais ça reste une série de qualité (et le chef des urgences est un nouveau personnage qui fonctionne bien).

On ne verra plus jamais Femme Like U de K-maro de la même manière à présent.

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Il faut aimer l'absurde, si on y est sensible, c'est un bonheur. Tamponné ! Double tamponné !

La première saison est gentillette mais ne décolle pas complètement, on sent qu'il lui manque un petit quelque chose. La seconde saison prend une toute autre ampleur en développant son histoire (que de rebondissements !) et ses personnages (Calot, Jacquard et Mouliner ne font plus de la figuration et Marie-Jo est trop badass), tout en faisant bien plus le lien avec le contexte géopolitique de l'époque. Hautement recommandée !

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Vue un peu en pointillé. On regrettera les décors en carton pâte et cette photographie qui rend ce quartier tellement gris (c'est pour se faire le reflet du quotidien des personnages, subtilité !) Les actrices qui interprètent les personnages adolescents ne jouent pas hyper bien (mention spéciale pour Elena, vraiment pas charismatique). C'est une histoire d'amitié toxique qui a tout pour me déplaire, l'héroïne principale est teeeeellement tête à claques, et malgré tout, on se laisse happer, je ne sais pas trop pourquoi ça fonctionne, même si je soupçonne que le charme de l'Italie n'y est pas étranger (alors que je ne suis pas particulièrement sensible aux charmes de Naples). Et la VO en italien est un argument, c'est certain.

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C'est reparti pour un tour !

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Oh, bonjour le format 4/3, quel surprise de te retrouver !

Bon j'ai abandonné au bout de quelques épisodes, c'était sans doute très novateur quand c'est sorti, mais ça ne m'a pas suffisamment passionnée pour que je continue à regarder.

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Intéressant pour explorer la partie créative à l'oeuvre dans les parcs d'attractions Disney. Les points potentiellement plus critiques ne sont pas trop mis en avant (logique, avec un documentaire Disney, diffusé sur Disney+) mais ne sont pas non plus complètement éludés.