Survivances du paganisme

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Un village suédois perpétue un rite païen venu de la nuit des temps

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Bien que christianisés (ils vont à l'église) les personnages du film restent fidèles à certaines pratiques et traditions païennes.

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Dans ce film sur un peintre d'icônes , on voit une fête païenne. Une survivance chez des peuples christianisés assez récemment, ou bien fête chez un peuple de l'empire russe qui serait resté païen, je ne sais plus.

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Même chose que dans Midsommar : il s'agit de la survivance d'un rite païen, ici dans une île écossaise.

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Remake du film de 1973

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Dans ce film, pour les funérailles de Tanya, les héros restent fidèles aux anciennes coutumes de leur peuple, datant d'avant la christianisation

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Le film se passe en Suède au Moyen Age, à un moment où les rites païens n'avaient pas encore totalement disparu, dans un pays christianisé relativement récemment.

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La fête près du fleuve, très proche de celle d'Andreï Roublev, relève pareillement d'une survivance du paganisme

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Les "sorcières" du titre pratiquent des rites qui ne doivent rien au christianisme (pas d'invocation de Satan ou trucs du genre)

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Bien que totalement intégrés , et chrétiens pratiquants, les personnages du film, des Maoris, restent fidèles à certaines traditions, notamment lors des funérailles.

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Comme les Maoris de Mahana, l'héroïne est chrétienne. Mais elle fait revivre les anciennes croyances à travers les contes qui lui ont été transmis par sa famille

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Une étudiante en histoire des Celtes doit utiliser ses connaissances pour lutter contre une créature issue de la réutilisation de vieilles invocations celtiques

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Un peu HS, mais comme ça, on aura une proposition un peu décalée dans cette liste. Ici, c'est la très faible survivance d'un culte païen qui pose problème . Il n'existe guère plus que dans cette maison, peuplée par les anciens dieux grecs sur le point de disparaître, faute de pratiquants

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Les occupants d'un vaisseau spatial (sorte de version SF/anticipation d'un paquebot de luxe, et non centre commercial géant comme il est dit par certains) en perdition finissent par pratiquer des rites néo-païens, s'inventant une nouvelle religion.

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Proposition peut-être un peu décalée, voire hors sujet, mais le mysticime présent dans le film, ainsi que le personnage de la "sorcière" et son rôle dans cette histoire, et même la notion de sacrifice à la fin du film, pourraient bien relever de notions païennes : il n'est en effet pas fait allusion précisément à une religion quelle qu'elle soit.

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Les personnages, d'origine indienne (ils sont colombiens) de ce film sont catholiques. Mais la cérémonie de funérailles et d'hommage aux disparus qui clôt le film fait appel à une tradition non chrétienne (et non à un mélange syncrétique comme dans certains rites vaudous).

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Comme les Colombiens de Los Silencios, les Mayas du film ont gardé quelques traditions qui ne relèvent pas du christianisme.

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Le rôle-titre (une sorte de sorcière) pratique des rites paîens à base de sacrifices de bébés,

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Comme dans La Source, survivance de pratiques et croyances païennes dans un monde christianisé relativement récemment.

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Même si un personnage parle de "remercier Dieu", la séance de "bénédiction" au début du film fait appel uniquement à des croyances locales. Ce n'est pas du syncrétisme façon vaudou.

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Les personnages du film (situé dans le Kazakhstan d'il y a environ 400 ans) sont musulmans et citent Allah (ou Dieu). Mais ils restent fidèles à des coutumes (religieuses) et des croyances bien plus anciennes (et on ne voit aucune cérémonie ou prière de style musulman). D'ailleurs, au début, je me suis même demandé si on n'était pas dans un clan resté païen...

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Sacrifices et rites païens de nos jours dans une île des Shetlands

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Si le christianisme est installé dans la région depuis plus de mille ans, certaines pratiques liées à ce culte des ancêtres relèvent de la subsistance de rites païens, comme dans Los Silencios ou Le patriarche.

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La scène d'initiation, rite de passage à l'âge adulte (ou de sortie de l'enfance-le héros a 14 ans environ), issu (c'est dans les dialogues du film) des traditions des descendants des esclaves en fuite, et donc en grande partie de traditions africaines. Peu d'aspect religieux dans ce que montre le film, mais c'est païen, sans apport chrétien /européen.

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Rite quechua (avec sacrifice d'un lama) pour conjurer la sécheresse.

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Une tradition d'origine païenne est à l"origine du drame raconté par ce film.

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Survivance de quelques pratiques ou croyances païennes (notamment culte des ancêtres et recours à un marabout) -les deux héros du film sont musulmans