Syllogisme et grégarisme : Films vus en 2017

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un peu déçu car plutôt fan de Bakshi, même de ses mal-aimés, mais au final, je crois, plus déçu par le scénario que par l'esthétique - je préfère Wizards et même Tygra.

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pas trop de souvenirs, à part que j'avais bien aimé, plus que le Godzilla du même réalisateur qui m'avait insupporté, mais vraiment pas fan des 3 films du bonhomme.

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très bonne surprise, car j'appréciais très peu les films de Shinkai jusqu'à celui-ci, malgré une filmographie que je trouve assez morne dans sa répétition de motifs visuels et narratifs. le seul film du réal, je crois, qui m'ait ému.

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adoré le début, le message délivré par la fin m'a laissé perplexe, soit je l'ai compris de travers, soit y a une incompatibilité philosophique entre lui et moi. et toujours un pincement au cœur de voir River Phoenix.

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pas fan de ce genre de film typiquement calibré pour des festivals type Sundance, le sujet est plutôt sensible, ou en tout cas clivant, j'ai pas aimé le scénario avec ses personnages et ses rebondissements que je trouve perso grotesques (le gamin handicapé social, l'autre qui tombe du toit...) et l'esthétique "über-réaliste" impersonnelle.

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un film très long, peut-être trop, qui m'a quand même laissé une impression d'esbroufe stylistique, mais avec des passages puissants, notamment la fin

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bien aimé car je m'attendais à une daube, vu que la filmo de Burton est en dents de scie. visuellement marqué, propose des images plutôt fortes, notamment la plongée pendant le bombardement sur tout le monde portant un masque à gaz, ou la fin avec les squelettes à la Harryhausen.

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j'aime bien Baer, je sais pas si y a vraiment autre chose qui m'a fait aimer ce film. j'avais pas mal aimé le scénario, malgré le happy end final que j'espérais ne pas voir.

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à part le début qui peut surprendre, j'ai du mal avec les "films tristes" de Disney (Rox et Rouky aussi, j'ai du mal). en fait, je crois que j'ai du mal à voir l'originalité dans le traitement du sujet : le sujet est très fort, mais on dirait que la mise en scène préfère se mettre en sourdine, ça me semble pas vraiment pertinent. la fin où tout le monde trouve l'amour m'a laissé perplexe.

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idem, ça m'a laissé un peu perplexe, j'ai pas détesté mais à part la grand-mère arbre qui m'a donné envie de me rouler un joint, le film m'a plu sans m'enthousiasmer, j'ai pas vraiment adhéré aux personnages (le méchant et sa cour...). c'est peut-être le genre comédie musicale qui m'a surtout empêché de rentrer total dans le film.

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l'esthétique de ce film m'a mis une grosse claque, pour moi c'est le film d'animation le plus ambitieux, techniquement, jamais réalisé. les décors sont d'un baroque tellement détaillé... c'est admirable. par contre, je trouve le scénario plutôt faible en comparaison.

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le 1er m'avait insupporté, celui-là m'a plu davantage, mais c'est pas non plus la panacée. pour moi les deux Fantasia c'est vraiment le niveau zéro de la réflexion sur le rapport de l'image à la musique et au son - le "mickeymousing", quoi... c'est très pouët-pouët. j'en avais tellement entendu parler, j'attendais quelque chose de plus intelligent, je crois.

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j'avais voulu voir ce film à cause du nom de Mottola. voilà voilà... ça m'avait un peu fait marrer, mais je l'ai totalement oublié.

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totalement conscient de l'aspect "screenshot / fond d'écran" de quasiment chaque plan, ce biopic reste quand même pour moi un des meilleurs que j'ai vus, et un des meilleurs films de l'année. par moments il m'a rappelé I'm Not There de Haynes, donc ça aide. Hawke est immense, Baker est immense... peut-être que j'ai aimé ce film malgré lui.

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les personnages évoluent dans ce film ? à part le perso de Roberts qui se soumet à celui de Gere et à la bourgeoisie, j'ai eu l'impression d'un bloc difficile à digérer. mais bizarrement j'ai quand même bien aimé, y a un côté pop suffisamment prenant.

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j'en attendais rien car je déteste Whiplash, je l'ai vu car ma mère voulait le voir. j'ai détesté les décors, la musique, les chansons, la direction des acteurs, les références gratuites juste pour se la raconter. je lui reconnais toutefois une vraie audace sur son montage, Chazelle (ou son monteur, peu importe) a essayé des choses plutôt inhabituelles pour le genre film musical, mais pour moi ça ne fonctionne pas, ce sont des mauvais choix - pas de souvenir suffisamment précis pour développer plus.

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aucun souvenir, à chaque fois je me demande pourquoi je m'acharne à regarder ces films...

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déjà L'Orphelinat m'avait laissé mitigé, j'avais apprécié sans voir d'originalité ni de subtilité dans l'écriture ou dans la mise en scène, là ça m'a paru extrêmement étiré pour développer quelque chose de ténu et d'insuffisant, encore une fois sur un sujet sensible qui me touche personnellement et sur lequel aucun film, à part les 2 adaptations de Laisse-moi entrer, n'arrive jamais à me convaincre. un sous-Tideland, clairement.

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je me sens enfin dans la majorité : j'ai aimé un film de Villeneuve ! le point qui m'a fasciné : le premier projet du personnage de Adams, d'essayer de traduire le langage extraterrestre par une approche musicale (rythmique et structuraliste). j'ai été déçu que l'urgence du scénario impose l'abandon de ce projet, mais c'est le puits sans fond qui m'a fait admirer ce film. à vrai dire, le reste du film m'en a touché une sans faire frémir l'autre, surtout que je fais une surdose de Renner.

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un film qui m'a fait beaucoup marrer, y a des propositions de gags et de cinéma marquantes. je l'ai même trouvé assez émouvant car il est littéralement traversé pour l'affection que porte Baroux à son partenaire Merad.

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pas compris ce film, je suis resté complètement à côté

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voilà voilà...

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je sais plus pourquoi j'ai eu une énorme envie de voir ce film. j'ai pas été déçu, j'ai beaucoup aimé, il va plutôt bien au bout de son idée, et j'avoue beaucoup aimer ce genre de délire grotesque, malgré des petites longueurs.

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très déçu par ce film, je déteste ce genre de comédies qui, contrairement à des films comme Pan juste au-dessus, n'assument pas du tout l'absurde et le grotesque. pour moi, typiquement le genre de bourgeois-bohèmes qui sortent leurs vannes en prenant leur air le plus blasé pour jouer la conscience de leur propre petitesse tout en étant convaincu de leur supériorité. tordu. en même temps, le film aurait très difficilement pu être autrement, donc en un sens il est très cohérent, c'est juste pas ma came.

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j'attendais totalement autre chose... à part des acteurs qui hurlent en oubliant de jouer, c'est 1e degré, très bas de plafond, le genre de films qui m'insupportent.

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j'étais pas allé le voir en salle car j'avais trop peur qu'il ne soit pas du tout à la hauteur de la BD. et c'est le cas. Larcenet réussit quasiment à chaque fois à me tirer les larmes, ici j'ai trouvé ça superficiel et vain, et, le comble du comble, j'ai pas réussi à dépasser l'aspect très hautain et condescendant du regard de Duvauchelle.

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j'en attendais rien, je suis même pas allé aller le voir au ciné après avoir détesté Tom à la ferme et Mommy. au final, il m'a beaucoup ému, y a pas l'aspect donneur de leçon dans le scénario, et Ulliel est magistral dans cette simplicité, il a failli me faire chialer.

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pas mal, y a pire, ça se laisse regarder, mais ça prend clairement aucun risque. j'ai beaucoup aimé la musique de Giacchino.

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resté à côté. humour de ricaneur. ça m'a semblé incroyablement long pour un final qui se veut épique mais qui tombe à plat, une ambition grandiloquente qui se révèle assez minable.

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j'aimais beaucoup jusqu'à un certain moment où j'ai commencé à me dire que, en fait, c'est très long. film qui n'a pas grand chose à dire, donc pas grand chose à en dire. les acteurs restent très bons.