Top 100 jeux vidéos avec annotations

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J'en ferai probablement une critique à l'avenir, mais pour résumer, au delà du fait que c'était mon tout premier Action J-RPG, je trouve que c'est encore le KH mariant le mieux l'exploration et l'histoire tout en offrant un gameplay certes vieillot, mais toujours efficace. Combinez à cela une excellente histoire, une direction artistique sublime, une bande son tout aussi belle et des boss mémorables et vous obtenez un jeu qui a certes vieilli, mais qui restera à jamais mon jeu préféré.

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Nier est probablement l'un des rares jeux sombres et dérangeants sans jamais virer dans le edgy (contrairement au premier Drakengard) : en effet, le jeu arrive à jongler entre les différents tons avec une facilité assez déconcertante. Oui le jeu est moche d'un point de vue technique, mais Nier arrive malgré tout à rendre l'univers immersif (probablement à cause de la musique spectaculaire) et le gameplay arrive à être varié sans être bordélique. Bref, un ancien OVNI qui mérite pleinement son statut de classique.

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N'ayant jamais été fan de l'ATB (qui pour moi ne fait que rajouter un dynamisme artificiel), l'abandon de ce dernier pour un système permettant de visualiser les tours m'a fait un bien fou. Le nouveau système d'invocation est également une claire amélioration par rapport aux FFs précédents ainsi que le système de sphérier permettant une personnalisation approfondie des personnages sans pour autant leur enlever leur identité. Mais sincèrement, ce qui m'a réellement séduit chez FFX, c'est surtout sa réalisation (aussi bien visuellement qu'au niveau sonore), son scénario, ses personnages (surtout Tidus)... et son Blitzball.

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Ce qui m'attriste le plus dans l'état actuel de Konami, c'est de me dire qu'ils ne porteront jamais cette merveille. En effet, Suikoden V est, de mon point de vue, la quintessence du J-RPG classique en terme de gameplay : profond, fun et surtout, varié. En plus de ça, le scénario lui-même est très prenant et les personnages (jouables ou pas) ont tous une identité. La seule critique majeure que j'ai à faire à Suikoden V est son impossibilité de recruter les 108 étoiles de la destiné sans avoir un guide en permanence sur soi.

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Très sincèrement, je considère Tales of Xillia 2 plus comme une grosse extension qu'autre chose. Cela n'enlève toutefois rien au fait que je le préfère légèrement au premier, avec en prime un système de combat qui n'avait pas besoin d'une amélioration mais qui en a tout de même bénéficié d'une. En effet, Xillia 2 est, selon moi, le Tales of le plus fun d'un point de vue gameplay et possède plusieurs combats absolument mémorables. En plus de ça, je trouve que le thème des réalités alternatives est extrêmement bien utilisé et permet de développer encore les personnages du premier opus. J'aime également Luger : il a assez de personnalités pour qu'on s'y attache tout en ayant de la place pour être un avatar. À part le système de dette, le jeu est excellent.

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Pour ne pas trop redire ce qui a été dit pour Xillia 2, je dirai que l'histoire est très prenante (bien que très classique) et que la direction artistique est époustouflante (et quand je dis direction artistique, je veux surtout parler de Nia Khera). Les personnages sont également attachants et si j'aurais préféré que les campagnes de Jude et Milla furent une seule, je peux comprendre la démarche.

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J'ai déjà écrit une critique dessus, mais pour résumer : ce jeu est une véritable montagne russe en terme d'émotions. Certes plusieurs petits trucs lui donnent un aspect un peu cheap, mais compte tenu de la qualité du reste, je le lui pardonne facilement.

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Premier jeu occidental de la liste. Alors pour être franc, je n'ai jamais été fan du gameplay : je l'ai toujours trouvé sympatoche, mais assez redondant. De plus, le jeu ne flatte pas tellement la rétine (même avec les standards de 2009). Pourquoi est-il sur la liste? Parce que c'est l'un des jeux les plus immersifs auxquels il m'ait été donné de jouer : entre son atmosphère incroyable, ses musiques envoûtantes, ses personnages mémorables et ses dialogues soignés, le jeu est prenant comme ce n'est pas permis. Sans compter la rejouabilité titanesque me faisant régulièrement recommencer une partie. Un des trucs qui me déplaît dans certains RPGs occidentaux est le fait de trop vouloir faire un truc sombre quitte à perdre l'aspect "d'émerveillement" et DAO réussit brillamment à éviter ça.

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Contrairement à Xillia 2 (que je préfère juste légèrement à son prédécesseur), je préfère Mass Effect 2 LARGEMENT au premier (que je trouve malgré tout sympa) : les personnages sont infiniment plus intéressants / attachants, l'histoire est moins étoffée mais plus efficace, le gameplay est beaucoup plus dynamique et stratégique, les lieux sont plus restreints mais plus vivants, etc. En plus de ça, j'aime comment ME2 arrive à rendre tous les membres du Normandy attachants, aussi insignifiants soient ils.

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Le jeu qui aura justifié à lui tout seul mon achat d'une Switch. Three Houses reprend la formule de Fates : un jeu où nous devons choisir notre camps et plus tard faire face à d'anciens alliés. Sauf que là où Fates se cassait un peu la gueule car nous laissant peu de temps dans les deux camps au début du jeu, Three Houses nous fait passer une longue partie dans l'école où nous apprenons à connaître les différents personnages et où nous nous attachons à eux. Et très sincèrement, certains auraient sans difficultés pu être des personnages principaux, tant ceux-ci sont intéressants (mention spéciale à Felix et Sylvain). Certes le jeu est plutôt moche et les phases dans le monastère deviennent répétitives au bout d'un moment, mais c'est facilement rattrapé par la qualité des batailles. L'ost est également de qualité (sauf le morceaux constitué de dubstep) et le doublage anglais est plus que correct. Enfin, les quatres campagnes différentes lui assurent une durée de vie plus que conséquente.

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Très probablement le Mass Effect avec le meilleur gameplay. En dehors de ça, le jeu possède une atmosphère incroyable (en particulier avec les PNJ), moultes moments avec une mise en scène dantesque et, pour répondre à la question que vous vous posez en lisant ça, oui j'ai aimé la fin.

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L'un des plus funs KH en terme de gameplay et probablement aussi celui offrant les meilleurs mini-jeux. Mais même au-delà de ça, le jeu fait enrichit considérablement le lore de la série, offre moultes combats mémorables et en dehors de quelques problèmes de caméra et d'un doublage anglais plutôt médiocre, le jeu ne souffre pas de trop de défauts.

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Le KH préféré de moultes personnes et un des titres ayant marqué mon enfance. Pourtant, si son histoire et son système de combats sont excellents, je dois avouer que le jeu n'est pas super fun à explorer. A vrai dire, la seule raison pour explorer sont les combats et les mini-jeux. De plus, le second arc fait franchement traîner les choses de manière pas super intelligente. Malgré ça, KH2 reste un excellent jeu.

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Si 358/2 days est le KH avec le pire système de magie, je pense également que c'est celui possédant le meilleur travail d'écriture. En effet, le jeu ayant un aspect très slice of life (ce qui cause une incroyable répétitivité), il offre beaucoup plus de temps à ses personnages de se développer et les interactions entre les membres de ce trio semblent plus réelles que celles de n'importe quel autre trio de la série. Donc oui, le jeu a ses défauts mais ses qualités ont une bien trop grande importance à mes yeux.

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L'une de mes préquelles préférées. Si Crisis Core est aussi efficace, ce n'est pas seulement à cause son système de combat (qui est largement moins aléatoire que ce que j'ai pu lire) et de sa réalisation, mais également à cause de son histoire nous mettant un jeune Zack Fair optimiste constamment confronté à des désillusions qui l'amènent à une fin tragique. Rarement je me suis sentie aussi proche d'un personnage "non avatar" auquel il est impossible de faire prendre des décisions et c'est pourquoi je ne cesserai jamais de défendre ce jeu.

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Même si son histoire est intéressante (bien qu'un peu foutraque), je dois avouer que c'est surtout le système d'enfants qui m'a marqué, avec ses moultes possibilités. Mais sincèrement, le jeu tient même sans ça, avec son excellente ost et ses moments mémorables.

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Varié, c'est le mot que j'utiliserai pour qualifier Yakuza 5 : 5 personnages jouables, 5 styles différents, 4 villes et tellement de mini-jeux à la con que l'on ne sait plus par où commencer et qu'on a tout le temps l'impression d'en découvrir. Notons également un scénario over the top certes, mais ultra fun ainsi qu'un bon casting de personnages tous intéressants ou attachants à leur manière et vous avez là le yakuza le plus dense jamais sorti.

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Le premier épisode de la tétralogie, Cold Steel a pour but principal de mettre en place les enjeux des futures opus tout en nous faisant découvrir les héros principaux. Malgré ça, le jeu fait un splendide travail pour ne pas juste balancer du lore et à donner une sensation de satisfaction : en effet, même si chaque acte est finalement qu'une petite partie de ce qui nous prépare, on a constamment l'impression de franchir un nouveau stade et de voir les personnages évoluer. En plus de ça, malgré un budget pas extraordinaire pour Falcom, Cold Steel 1 arrive, comme le feront ses successeurs, à donner une véritable identité à chaque NPC de l'académie de Thors, augmentant drastiquement l'immersion dans cet énorme univers. En bref, la série Cold Steel ne pouvait rêver meilleur épisode pour débuter.

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Certainement le jeu de combat le plus dense en terme de contenu, Soulcalibur 3 est ridiculement ambitieux : un mode histoire bien rempli, un mode "semi-stratégique" extrêmement prenant et complet, un mode tournois, une création de personnage innovante... Tout ça couplé avec un gameplay aux petits oignons, une OST épique et des graphismes incroyables pour de la PS2. En bref, Soulcalibur 3 représente selon moi le sommet de la série et hélas, il rend la chute avec le 4 et surtout l'insipide Soulcalibur 5 d'autant plus douloureuse (bien que le 6 rattrape le tout et est selon moi le meilleur SoulCalibur niveau gameplay).

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Le gameplay des deux jeux est toujours aussi nerveux et on a le droit aux doublages japonais (ce qui fait plaisir compte tenu de la qualité discutable du doublage anglais). Le scénario du premier est toujours aussi bon et celui du second, s'il est toujours aussi laborieux au début, se rattrape nettement par la suite.