Top 20 Jeux vidéo

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Terminé en long, en large et en travers après deux parties de 150 heures chacune. Au terme de cette éprouvante escapade, j'ai apris deux choses : la NG+ ne sera pas pour tout de suite et c'est un des meilleurs jeux de tous les temps.

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Parfois, je réalise suis de moins en moins attiré par l'univers vidéoludique. Entre une certaine mélancolie et mes pastilles de cyanure, j'abandonne petit à petit les jeux vidéo pour des domaines qui font plus cultivé, comme le cinéma.

Dans tout ce marasme ambiant, Outer Wilds vient casser des culs en procurant une grande bouffée d'air frais. Le jeu est une ode à la découverte et à l'émerveillement. Un assemblage d'idées et de concepts intelligents. Un renouvèlement constant de ses propres outils, qu'il offre entièrement dès le début de son aventure. Aucune prise par la main mais aucune énigme tarabiscotée, une réflexion progressive mais des solutions toujours amusantes. Alors voilà, on a le meilleur jeu de 2019 et en même temps, le plus difficile à promouvoir. Parce que Outer Wilds, ça se découvre tout seul, comme un grand et sans soluce. Merci Mobius, je vous aime.

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Des énigmes intelligentes, un mode coop légendaire, un syndrome de Stockholm à la clé et, bien sûr, GLaDOS.

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Le second parvient à se hisser au-dessus du premier. Et c'est un exploit.

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Impossible à jouer aujourd'hui tant je passe plus de temps à construire mon propre jeu en le moddant qu'à vraiment y jouer.

Mais bon, c'est Skyrim.

Edit 2021 : Nostalgique de sa BO qui casse tout, j'ai décidé de relancer le jeu, plusieurs années après avoir pensé que j'en avais fini avec lui, afin de faire une dernière et ultime partie. J'ai enchaîné 50 heures sans les voir venir, et vais probablement tirer vers les 150.

Edit 2023 : Même chose, même calvaire au début, même fun à la fin.

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Ce jeu m'a donné envie de CREVER.

D'un côté, il y a eu une des sorties les plus catastrophiques depuis longtemps. Bugs en pagaille, optimisation inexistante, versions consoles injouables. Et bien plus encore, certains détails n'ont absolument rien à faire dans un jeu en 2020. Les voitures sur des rails, l'IA basique des piétons, la distance d'affichage qui annule le monde autour de vous à partir d'une certaine vitesse.

De l'autre, il y a probablement un des meilleurs jeux de tous les temps. L'univers, l'écriture, les quêtes, la mise en scène constante, les musiques, l'ambiance, le système de combat et d'upgrades fun, nerveux et jouissif une fois plongé dedans. Et, d'une façon plus globale, Night City. Sans aucune concurrence possible ma ville préférée de mon historique JV.

EDIT 2022 : Je n'étais pas certain d'être prêt à le réaborder un jour, mais la résurgence phénoménale du jeu avec l'excellent Edgerunner et la 1.6, presque deux ans après sa sortie, m'avait donné un peu d'espoir.

Je m'y suis remis il y a quelques mois. Certains détails problématiques inhérents au jeu restent, mais la quasi-totalité a enfin disparu. Pas de bugs non plus.

Et je prends mon pied putain.

EDIT 2023 : La 2.0 et Phantom Liberty sont sortis. Cyberpunk a toujours été dans mon top 10, mais j'aurai désormais moins honte quand j'aborderai le sujet dans une soirée mondaine.

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Je n'ai jamais pris autant de plaisir à apprendre à jouer que dans Dark Souls.

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Serait parfait si les quêtes étaient à la hauteur du monde et de l'exploration.

Mais vraiment parfait.

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Le produit vidéoludique le moins "ludique" de la liste.

Et pourtant, l'écriture rattrape tout le reste. À l'aise.

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Fait après Dark Souls 3. Faisant basiquement partie de la même série, la comparaison a pourtant été affreusement douloureuse. Au final, j'ai dû compter sur les doigts de la main tous les défauts, jusqu'au plus mineur, de Bloodborne.

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J'ai retourné chaque centimètre carré de chaque endroit, testé tous les modes de difficulté, assommé et tué chaque ennemi, exploré tous les chemins possibles et toutes les solutions réalisables. Dishonored fût probablement le coup de cœur le plus violent que j'ai eu dans le JV, et il me définit aujourd'hui bien plus que je ne pourrais jamais le réaliser. Son ambiance dans mes veines, son gameplay encore coincé dans mes doigts et ses cartes gravées dans ma tête.

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Ma plus grande honte, dans la vie, c'est de m'être arrêté juste avant le boss final de Persona 5 Royal. Je l'avoue, j'avais la flemme. Et aussi le blues de quitter une aventure qui m'a bien pris 150 heures, dans un quartier que j'avais fini par connaître et entouré des personnages qui m'avaient accompagné tout du long.

Probablement le seul JRPG dont j'ai épongé la moindre mécanique de gameplay. Ne restent plus qu'un immense regret et "Rivers In The Desert" qui tourne en boucle dans ma tête.

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Contradiction sur pattes qui prend soin d'atomiser les dernières ruines cohérentes de Metal Gear, produit non-fini qui a signé la fin de Kojima chez Konami, zombies, trous de vers, j'en passe et des meilleures, l'affaire MGS tourne au sale. Pourtant, entre une sniper à poil et des ballons magiques, Kojima a simplement casé un chef-d'œuvre à la fois puissant et anti-guerre, une fresque militaire sincèrement émouvante et parfois profondément stupide. Bravo le veau.

Mais le vrai soucis, c'est que tout ceci aurait été bien plus simple s'il n'avait pas livré au passage l'un des meilleurs jeux d'infiltration de son temps.

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Le RPG ultime, en quelque sorte. Coincé dans la peau d'une raclure de bidet, votre devoir est on ne peut plus simple : survivre. Oui, sauver le monde, tout ça aussi. Sauf que Divinity emploie un dialogue qui n'a rien à voir dans son gameplay. Un dialogue qui vous fait comprendre qu'il n'en a absolument rien à carrer de votre supposée destinée. L'univers veut votre peau, chaque ennemi donne le meilleur de ses capacités pour rabaisser votre ego, chaque combat s'apparente à une retraite organisée, pour finalement s'orienter vers un suicide de masse. Et pourtant, en retournant moins de trois tours en arrière, vous découvrez qu'un simple positionnement renversera la vapeur, que chaque ennemi est cheesable, et que chaque combat peut être manipulé de bout en bout.

Divinity, c'est une quête constante pour optimiser votre maîtrise du jeu, en tirer les meilleures récompenses possibles et en arracher toujours plus par la suite. Le genre de synthèse parfaite de ce qu'un T-RPG peut offrir de plus riche et de plus jouissif. Le tout dans un univers extrêmement plaisant, fourré de milliers de dialogues bien écrits et d'un sentiment de découverte omniprésent. Pétri de bonnes idées dans toutes ses mécaniques et les exécutant quasiment toutes à merveille.

Bref, comme dit plus tôt, le RPG ultime.

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Entre une exploration qui déboîte des épaules et une ambiance fantastique, voilà. Je ne suis qu'un homme. C'est un peu "voyage au centre de la Terre" avec l'assurance de finir perdu, terrifié, en larmes et en enfer, mais des images fascinantes plein la tête.

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Le premier jeu que j'ai lancé sur ma Wii à mes 10 ans. Mon frère et moi avions joué toute la nuit.

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Tue des gens sur une musique qui dépote, recommence le même niveau 100 fois et dis merci.

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Sans conteste mon Pokémon favoris. C'est sûrement le premier auquel j'ai rejoué en étant adulte, et en cherchant réellement à approfondir mon gameplay au-delà du "taper en boucle".

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Loin d'atteindre le niveau global d'Arkham City, ou même d'Arkham Knight. Mais l'ambiance glaçante de l'asile et l'exploration très jouissive de son environnement m'ont laissé un grand souvenir quand j'avais 12 ans. Arkham City a été le premier jeu dont j'ai attendu et suivi la sortie, dont j'ai regardé tous les trailers et lu toutes les previews quand j'étais gosse.