Top albums : Bad Company

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Plus orienté pop que Free, Bad Company ne s'empêtre pas dans les compositions alambiquées et va droit au but, au risque d'être un peu trop simpliste il est vrai. Mais ce que Bad Co fait, il le fait admirablement bien. Les riffs sont accrocheurs, la voix de Rodgers est géniale, le groupe joue bien et sans artifices... Tout ce que j'aime !

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Une composition en deçà du premier opus. Dans ce dernier, chaque titre était mémorable, là il n'en reste qu'une petite partie sur lesquels je retourne avec grand plaisir.

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Une première partie d'album de haut vol avec de vraies pépites du genre (Simple Man, Run With the Pack). Le reste de l'album est en dent de scie à commencer par Silver, Blue & Gold qui le casse dans son élan. Le reste est plaisant sans être original pour le groupe (ou par rapport à Free).

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Oui, Bad Company ne se renouvèle pas du tout sur cet album, mais franchement ça n'enlève rien au fait que je passe un bon moment à l'écoute de chacun de leurs albums des années 70. Desolation Angels ne déroge pas à la règle. Il ne réinvente rien qui n'a déjà été joué par Bad Company, mais quelques morceaux sont vraiment bons (Gone Gone Gone, Early in the Morning, Take the Time) et le reste est très agréable. Le groupe est super motivé et Rogers et toujours magnifique. Je regretterai juste l'omniprésence du phaser sur la guitare rythmique qui me casse un peu les oreilles à la longue ainsi que la basse disco de Rythm Machine pas très bienvenue.

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La vraie baisse de régime intervient ici avec ce sixième album. Les appels du pied au disco et les morceaux qui ressemblent dangereusement aux anciens tubes ont du mal à passer. En lui-même Rough Diamonds n'est pas si terrible que ça, mais on sent enfin une certaine assitude poindre à la fois dans le groupe et chez l'auditeur.

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Le changement de chanteur pour un groupe c'est toujours délicat. Et c'est encore plus bizarre lorsqu'on décide de prendre un imitateur pour coller au style original. Robert Hart est certainement un très bon chanteur et montre sur cet album qu'il maîtrise son sujet. Mais il n'a simplement aucune personnalité puisqu'il copie, jusque dans les mimiques de chant, le génial Paul Rodgers. Alors l'impression d'écouter un tribute band est flagrante... Ce qui cache malheureusement un disque pour le moins agréable et assez bien mené même si le style n'est aucunement bousculé par rapport à l'époque Rodgers. Mais ça reste bien meilleur que la période Brian Howe !

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Déjà sur l'album Company of Strangers, le choix d'un chanteur copiant Paul Rodgers posait problème. En réenregistrant certains des plus grands succès du groupe l'éopque Rodgers et les mélangeant à 7 nouvelles compositions avec Robert Hart, le problème est d'autant plus flagrant. Sur ces dernières, Hart semble montrer sa véritable voix puisque le style ne singe plus le Bad Company des seventies mais se rapproche parfois de celui de la période Brian Howe. Mais lorsqu'il s'agit de reprendre les gloires de Rodgers, on se retrouve face à un tribute band deluxe sans grand intérêt si ce n'est quelques arrangements plus acoustique bien senti. Tout cela témoigne d'une évidente envie de ramener Rodgers derrière le micro, ce qui arrivera peu après et on n'entendra plus parler de Robert Hart... Sachant cela, l'écoute de Stories Told & Untold est assez pathétique.

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Toujours pareil que Fame ou Dangerous Age. Juste quelques titres pas si dégueulasses que ça qui lui vaut d'être au top du classement des albums avec Brian Howe.

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Avec un titre pareil, il est difficile de passer à côté des ambitions de Bad Company pour leur septième album. Rodgers est parti ainsi que Boz Burrell (basse) et il semblerait bien que ce soit eux qui détenaient l'identité sonore de Bad Co. L'arrivée de Brian Howe oriente désormais le groupe vers du hard rock FM pur porc très en vogue à cette époque. Autant dire que Mick Ralphs et Simon Kirke n'ont pas tellement de race, et pour peu que ça rapporte on peut bien pourrir le son de batterie avec des samples de merdes et rajouter des synthés clinquant à chier que ça leur en toucherait une sans faire bouger l'autre. Alors si on rentre dans le trip, Fame and Fortune (la chanson) est plutôt pas mal comme deux ou trois autres titres et force est de remarquer que Brian Howe est techniquement impeccable. Malheureusement, le reste est complètement oubliable, d'autant plus que ce n'est pas ce que je recherche comme musique quand j'écoute du Bad Co !

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Au bout du 4ème album tout pareil, c'est bon j'en ai plein les oreilles.