Un Film de Merde : une Punchline

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"Si ce métrage possède une forme cyclique, ce n'est parce qu'il le vaut bien, non, parce qu'il ne vaut rien, justement, c'est parce qu'il arrive à accomplir l'illustre exploit de constamment parvenir à refaire les mêmes fautes."

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"Ce film est bel et bien un massacre, mais dans le sens contraire à celui pensé au début." Phrase assez maladroite et simpliste, mais j'aime à penser avoir des causes atténuantes : je l'ai écrite à mes débuts sur mon blog.

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"Des acteurs en roue libre et en total cabotinage qui patinent dans la semoule et la choucroute, un compositeur musical qui n'a pas passé un jour a travailler sur ce film ( n'est-t-il pas au chômage, finalement? ), des mecs bourrés pour faire des effets spéciaux bourrés de trucs bien dégueulasses et d'un aspect bien repoussant et... je crois que je ne sais plus trop quoi dire d'autre d'intéressant à propos du film, tant il n'a jamais été digne d'intérêt".

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"Quand tu vois ce film, tu sens l'amateurisme, et seul un homme enrumé n'aurait pas pu le sentir; seul un aveugle n'aurait pas pu voir la laideur des effets spéciaux, notamment lorsque la cape de notre héros se déploit, et seul un sourd n'aurait pu s'apercevoir du comique des doublages, tout bonnement vomitifs et insupportables."

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"La mise en scène n'est pas mauvaise, non, elle a dépassé ce stade : elle n'est pas."

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Un film de merde qui nous pousse à nous réinterroger sur nos apprioris à propos des merdes.

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Comme quoi, on peut faire un mockbuster d'Asylum sans le label Asylum, et avec 70 millions de dollars ( sans l'humour, bien sûr ! )

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"Si Dieu avait un nom, il aurait surement offert celui d'Apocalypse Pompeii à Satan..."

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Pour perdre son temps, c'est bien, mais pour ce qui est de visionner quelque chose en rapport avec le cinéma, on repassera ...

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Si l'on disait de ce film ci qu'il est moche, même la mocheté se vexerait ...

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John MacClane l'a prouvé, ce fut une belle journée pour célébrer la mort de la saga "Die Hard", une belle journée pour mourir.

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"Je sais pas quel goût ça a, mais je sais que j'ai déja marché dedans ..."

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"Sa conversation était aussi plate qu'un trottoir de rue". Gustave Flaubert à propos du Madame Bovary de 2015. True story.

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Le film qui ressuscita Flaubert pour le tuer une dernière fois. Et inventer "La Nuit des Morts-vivants", par la même occasion.

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Ouais, donc c'est cool de foutre des flammes sur une affiche, avec un gros fantôme du turfu tout feu tout flamme, et qui se trouve in front of une putain de voiture de course, genre GT ou je sais trop quoi. C'est genre vachement classe. Sauf que dans le film, t'auras droit qu'à la voiture. Et aux flammes. Mais version CGI. Et numérique potache. Et diahrrée visuelle. Mais pas de fantôme badass. Non, lui il s'est carapaté en même temps que Nicolas Cage.