Untitled Prometheus Sequel.

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Jack P.
Amateur décomplexé de séries B purement gerbantes (et de fœtus à ses heures perdues) alliant gore excessif et tortures psychologiques pour son plus grand plaisir d'adolescent torturé fan d'Hellraiser, Fulci et de tout ce qui vient des entrailles de la série B.

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Kiwi
Parti comme Stark et tant d'autres vers une soumission aux codes Yankee du cinéma, ce jeune puceau germanopratin énervé a fini par basculer du côté obscur, celui du cinéma "rouge", slave, tchétchène et autres horreurs perdues. Radicalisé, il est dorénavant un prophète du snobisme cinéphile exhumant son âme de bobo dans les allées du quartier latin entre deux Tarkovski et un Godard.

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Miles_QUARITCH
Bouffeur compulsif de VHS so 90's, ce jeune geek profondément prude est un idéaliste forcené, croyant en un cinéma américanisé et profondément puritain bloqué dans un divertissement enfantin et geek loin d'un réel cruel et angoissant pour cet éternel ado.

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Alex Jaeger/Vamges
Jeune "homme" totalement docile et formaté, adepte d'un cinéma lobotomique et sans âme, où le factice, l'informatique et le Yankee soumettent son petit corps de consommateur véreux à une morne existence de geek reclus et isolé. Un robot.

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ghyom
Ce frêle nantais (d'adoption) est un célibataire endurci noyant son désespoir dans l'alcool et le cinéma. Auto-proclamé Dieu, il tente de trouver un sens à sa triste existence, à exorciser son mal-être. Ce petit être aux goûts éclectiques semble attiré par l'Asie, terre exotique pour lui, loin du tumulte nantais.
Il voue un culte à Stanley Kubrick, un esprit cartésien comme lui, dont le cinéma froid et monolithique l'excite au plus haut point.

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mr. edward
Adolescent torturé, le jeune edward passe ses journées à arracher des pattes de sauterelle et des têtes de fourmis. Devenu mr. edward, ce jeune homme mystérieux est régulièrement victime de ses tourments, s'érigeant en figure christique, parlant à son père et prêchant l'apocalypse. Il est difficile de savoir exactement les causes de ses souffrances. Certains médecins parlent d'un voyage sur les bords de la vilaine mouvementé, d'autres évoquent un AVC devant une énième défaite en finale du Stade Rennais alors que certains parlent tout simplement de son blog moizi et impopulaire l'ayant rendu soudainement méfiant et profondément asocial.

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Tj
Ce mâle faussement viril cache derrière son allure de prédateur sexuel un mal-être profond. Symbole du désœuvrement de la jeunesse bruxelloise, ce jeune hooligan se réfugie dans l’idolâtrie d'icônes gays telles qu'un certain Christian.
Cette solitude noyée dans d'étranges alcools belges l'entraîne ainsi vers une cinéphilie de plus en plus intense, suivant la voie tracée par des célibataires aux idoles viriles déchues, à l'image de Chris le Youpin...

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Nez-Cassé/Broken-Nose
Allumeuse du fofo bien malgré elle, cette (pas si) naïve jeune femme est poursuivie par les ardeurs d'un jeune belge bien trop travaillé par ses hormones. Le cinéma est son refuge. Elle s'échappe vers les contrées fantastiques d'Harry Potter ou des dessins animés. Là où l'amour est chaste.

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Jurassic

Ce jeune breton contracte dès l'enfance une passion pour la science-fiction, fuyant le crachin local et ses insupportables binious. Il va ainsi développer un culte à Steven Spielberg, son père spirituel. Se sentant pousser des ailes à l'adolescence, il quitte le vampirique Hollywood pour des contrées asiatiques où il épanouit ses penchants bobos cinéphiles. Sa santé fragile et sa calvitie précoce n'altèrent ainsi pas sa soif de découverte, trouvant dans le cinéma un moyen de quitter sa Bretagne natale et d'oublier les binious, l'espace d'un instant, pour s'éclipser avec son idole, John Williams.

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Goddamn/Irishman
Ce jeune demi-belge, fruit d'une union non réciproque, fut très vite marqué par un manque d'amour évident.
Depuis, il cherche tant bien que mal, un rempart contre cela, allant jusqu'à exorciser son mal-être adolescent à coups d'insultes aussi inventives qu'une punchline de JCVD.
Aujourd'hui exilé de ce forum, il cherche toujours sa personnalité, crachant sur les prétentieux et les conformistes, donnant des leçons de cinéma à qui veut bien l'entendre, à l'aide d'une expertise aussi fiable que la Renault Kangoo de son paternel.

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Stark
Pourquoi Mr. Arrogant ? Parce que ce jeune homme, atteint d'une Nolanite incurable depuis l'âge de 13 ans, pratique avec ardeur un prosélytisme intense. Il a aujourd'hui formé une caste de fanboys plus ou moins enragés et très peu enclins à tolérer les avis contradictoires. Quand l'arrogant Stark se retrouve ainsi en position inconfortable, il se roule en boule déployant une condescendance suprême ou une ironie sèche pour mettre hors d'état de nuire son "interlocuteur". Grand défenseur de blockbusters Yankee, souvent excessif dans ses jugements, passionné diront certains, Stark a également l'immense tare d'être un supporter lyonnais, d'où une évidente filiation avec Mr. Aulas dans sa manière de communiquer avec autrui.

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James Nolan
Si ce jeune homme était bouddhiste, il serait instantanément réincarné en mouton de panurge frais et tendre. En effet, il n'est rien de moins qu'un suiveur, à la personnalité peu affirmée, préférant se complaire dans une Nolanite aiguë (comme son maître au-dessus). Ses idolâtries excessives et nombreuses sont autant d'infidélités à son premier amour, laissant craindre le pire pour ce coureur de jupons cinématographiques.

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Si tu l'es mon p'tit MC.
Ce jeune hobereau perdu dans sa campagne sudiste développe rapidement un attrait certain pour le cinéma. Il partage son temps libre de chômeur par intérim entre la réalisation de courts-métrages, fausses pubs et fausses affiches et son office de projectionniste dans un cinéma servant probablement de couverture à un blanchiment d'argent mafieux. Ce grand amoureux de Clint Eastwood s'avère capable de surkiffer du Terrence Malick comme du Michael Youn. Son principal défaut reste sa réticence pour le cinéma en noir et blanc et son aversion pour Yves Montand.

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JimBo Lebowski
Prophète du cinéma de genre, ce jeune hipster barbu trentenaire est un cinéphile exigeant plus proche d'une mouvance Kiwi, celle d'une croyance en un cinéma artistique et expérimental, élitiste mais pas trop, et surtout nostalgique des sixties libertaires qu'il n'a malheureusement pas connu, lui qui vit aujourd'hui dans une période formatée et aseptisée, "so serious business" du cinéma.

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Eren

Fidèle parmi les fidèles d'Allah, Eren développe depuis son plus jeune âge un puritanisme exacerbé né d'une éducation stricte.
Apeuré et craintif, ses poils s'hérissent à la vue d'un simple préservatif ou d'un soutien-gorge. Sa frilosité sexuelle et son manque de maturité se reflètent dans son approche infantilisante du cinéma, à l'image d'un autre puritain (catho cette fois) mentionné plus haut.

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michmonde
Globe-trotter dans ses jeunes années (comme son pseudo l'indique), cet ex-junkie a côtoyé toutes sortes d'endroits peu fréquentables notamment le Londres Post-punk de la fin 70's et la jeunesse Berlinoise des 80's. Cette jeunesse libertaire lui a ainsi inspiré un fort sentiment contestataire, certes atténué par son grand âge, mais toujours vivace quand il s'agit de débusquer des complots internationaux.
Il s'est assagi avec l'âge et voyage aujourd'hui à travers la Japanimation et d'interminables morceaux de rock progressif.

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Starlord
Ce petit banlieusard est féru d'histoire de tarlouzes en collants fluos. Il ne jure que par l'endive et le poivrot (métaphores éminemment culinaires de Tobey Maguire ou Chris Evans).
La puberté commençant à le gagner, il est souvent travaillé par ses hormones. Mais encore trop fragile pour affronter la perversité et la violence de ce monde, il est couvé par ses parents, devant se contenter de cochonneries Disney et Marvel bêtes, mais pas méchantes.

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Newt
Ce jeune Wallon est un petit être très préoccupé par son apparence. Sa passion pour le cinéma se matérialise principalement par des films violents, brutaux et "funs".
Peu enclin à rire, ce jeune homme considère ainsi le 7e Art comme un défouloir vidéoludique à ses pulsions crasseuses.
Fan de mangas, parfois érotiques, il semble effrayé à l'idée de ne pas plaire, inquiet que son faciès déplaise à la gente féminine.
Malgré les conseils de ses aînés, il s'avère qu'il reste à la recherche de son identité sexuelle, appréciant la virilité des Willis et consorts tout comme la féminité de ses héros de mangas.

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Doc Jivago
Pourquoi Disney ? On aurait pu choisir un mélo Hollywoodien de Sirk ou une fresque historique de Lean mais ce jeune étudiant dijonnais s'est depuis peu décidé à contre-attaquer face à l'Empire Disney. Tel un rebelle, la moutarde lui montant au nez, il s'est mis en tête de boycotter le dernier Star Wars. Son amour indéfectible pour le vieux George l'empêchant en effet de se résoudre à un Star Wars sans lui.
Plus généralement, ce jeune homme aux goûts éclectiques voue une haine indéfectible à ce bon vieux Tom Hanks et son "énorme tête à claques", et à l'inverse, un amour sans bornes à Zizou, une idole de jeunesse qui lui permis de relativiser sa profonde tristesse due à une existence rurale au cœur de sa Bourgogne natale.

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Chris tophe/Krys tof/C-31/Cyborg (oui, c'est la même personne).
Ce célibataire résigné est impliqué depuis de longues années dans un processus d’idolâtrie d'Al Pacino. Surnommé "Chris le Youpin", il fuit un quotidien sans saveur grâce au cinéma. Fan de polars 80, nostalgique déprimé, il verse chaque jour une larme devant Heat, le dernier bon film de son idole, prenant conscience un peu plus chaque jour de l'épave qu'est devenue son homme.
Malgré ces lourds tourments, il a tenté (en vain) d'explorer d'autres genres, mais s'est vite rendu compte que le meilleur Kubrick n'arrivait pas à la cheville du pire Pacino, évidemment.

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Lostpedia
Voilà un cas tout à fait classique. Ce jeune cinéphile (apparemment), est au départ peu enclin à mater des vieux films.
Mais, son manque de popularité criant le pousse à se cultiver (un peu). Il s'intérésse alors à tous types de films, mais se rend bien compte que la nouvelle vague et son cinéma intellectuel sont incompatibles avec lui. Résigné, dépité, il suit donc l'exemple de "Chris le youpin", préférant les bons vieux Westerns et polars yankee avec des schémas manichéens plus abordables pour lui.
Fuck la popularité du cinéphile cultivé.

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Sparowtony

Cet adolescent, somme toute normal, est un passionné de gladiateurs. Ces films réveillent chez lui, des pulsions enfouies, travaillant ses hormones en pleine puberté. Amateur de péplums crypto-gays, il compense ses complexes à travers le cinéma, savourant les musculatures de Gerard Butler ou Russell Crowe.
"Le Moineau de Rome" se rêve ainsi gladiateur romain...
Sinon, c'est aussi un fanboy de R. Scott, mais ça on s'en fout.

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Darkene

Ce jeune prolo est un féru de technologie. Prêt à donner son corps pour la science, il se passionne plus pour le contenant que le contenu. Caissier chez Darty depuis son stage en 4ème, il écume régulièrement les rayons à la recherche de l'écran plasma dernier cri. Cette passion se conjugue également avec son amour pour les States, là où le consommateur est roi, où Darkene est roi. Cet aveuglement pour le cinéma Yankee le pousse vers un mépris constant de son pays de naissance, crachant sur notre beau patrimoine. Et comme tout bon américain, Darkene s'aime, aime son corps et s'auto-congratule régulièrement en appréciant ses propres commentaires, like crazy.

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Kingcomics
Le Roi des comiques. En effet, ce petit rigolo se la joue anticonformiste crachant sur Kubrick pour encenser Nolan, Besson ou je ne sais quel faquin.
Pris au cinquième degré, Kingcomics peut donc s’avérer très drôle, mais au premier, on a bien envie de lui éclater la tronche à coups d'extincteur (vous apprécierez la référence contrairement à lui).

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Flaw70

Salut.

http://www.senscritique.com/film/Albert_a_l_Ouest/critique/36883656

Au revoir.

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Rcan

Tout est dans le titre.
Ce colosse belge a cru qu'il pourrait figurer dans cette liste en faisant des avances à son auteur, mais c'était sans compter sur son incorruptibilité totale.
Sa présence ici est donc purement symbolique.

Annotation :

Tous ceux qui n'ont pas été cités. Des jeunes, des vieux, des moins vieux, des moins jeunes, des cons, des moins cons, des gentils, des méchants, des gentils et des méchants.
Ça en fait du monde.