Action hero : Arnold Schwarzenegger

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Le blockbuster ultime des années 90, bien écrit, bien mis en scène, avec des personnages sincères (John et Sarah Connor). Schwarzenegger n'est pas un grand acteur mais ce rôle de golem-androïde lui va comme un gant.

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La même classe que son rejeton, mais le premier coup de maître de Cameron ne s'affranchit pas totalement de ses inspirations "carpenteriennes" (coucou HALLOWEEN et NEW YORK 1997 !). Schwarzy est un méchant véritablement cauchemardesque.

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Arnold est né pour interpréter Conan ! John Milius, conscient des limites du jeu d'acteur de sa tête d'affiche, retravaille intégralement le scénario d'Oliver Stone, et retire tous les dialogues inutiles. Du coup, le mutisme du personnage ne le rend que plus fascinant. Superbe mise en scène, décors et costumes crédibles (inspirés des films de vikings) et une musique signée Basil Poledouris, passée depuis bien longtemps à postérité.

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Une courte apparition (muette) et puis s'en va. Oui, mais en slip... et en moustache.

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Personne sur Terre ne peut affronter Schwarzenegger. Du coup, c'est le plus sadique des extraterrestre qui s'y colle. Une traque palpitante mise intelligemment en scène par John McTiernan, doublée d'un duel au sommet.

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Verhoeven poursuit sur sa lancée après ROBOCOP et réalise un film de SF puissant et extravagant. Une fois de plus, le jeu d'acteur d'Arnold n'est pas particulièrement convaincant, mais sa carrure "over the top" s'inscrit parfaitement dans ce spectacle généreux. Quant à la fin du film, elle vous fera cogiter encore longtemps ! D'après une excellente nouvelle de Philip K. Dick.

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Sentant le vent tourner pour les héros d'actions "made in 80s", Schwarzenegger joue de son image devant la caméra du maître en la matière, John McTiernan (PREDATOR, DIE HARD). Le résultat a beau s'approcher d'un film familial, il n'en demeure pas moins éminemment sympathique et sacrément intelligent dans le fond comme sur la forme.

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Rien ne peut blesser Schwarzy (quel homme !)... sauf l'infidélité de sa femme !!! (au cinéma, parce que dans la vraie vie, c'est une autre histoire)
Ayant tenté plusieurs fois la comédie, notre Autrichien préféré nous montre enfin toute l'étendue de son jeu d'acteur. Résultat : à défaut d'être impressionnant, c'est pour le moins très efficace. Et comme c'est Cameron qui réalise, les scènes d'actions sont époustouflantes. Un des rares remakes qui atomise le film original.

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Un "buddy cop movie" réalisé par le pape du genre : Walter Hill (48 HRS). Le cinéaste exploite intelligemment les limites d'Arnold (son interprétation rigide, son accent fortement prononcé) en lui offrant le rôle du Soviet Ivan Danko. Et le résultat est bluffant tant le "Chêne autrichien" semble s'épanouir dans ce personnage. Une belle interprétation relevée par un Jim Belushi tout à fait sympathique en flic américain, un brin "loser". Le film repose davantage sur son intrigue que sur des scènes d'action démesurées. Malheureusement, le récit est trop confus et pas aussi intéressant que son postulat de départ le laissait croire. Avec un tout petit supplément d'âme, on aurait pu avoir un sérieux concurrent à L'ARME FATALE. A noter que ce film, réalisé en pleine "détente" entre les États-Unis et l'URSS, évite de sombrer dans tous les clichés racistes véhiculés dans la pop culture des années 80. Pour résumer : Ivan Danko est l'anti-Ivan Drago.

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Un spectacle assez généreux, dans la lignée du DEATH RACE 2000 de Corman, malgré une fin bâclée. La mise en scène de Paul Michael "Starsky" Glaser n'est pas très originale et Schwarzy balance du "I'll be back" à qui veut l'entendre. Mais Maria Conchita Alonso prend bien la pose, donc ça passe !

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Après une apparition bien trop courte — et donc frustrante — dans le premier opus, Arnold vient dire bonjour à son pote Sly le temps d'une bonne grosse scène d'action rondement menée. EXPENDABLES 2 ou l'"Âge tendre et tête de bois" du cinéma d'action.

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Un caméo et puis s'en va. Occupant encore sa place de gouverneur de Californie, Arnie ne pouvait prétendre à plus. Néanmoins, avec la fin de son mandat en ligne de mir, ce film a le mérite de poser le personnage et de reporter le rendez-vous tant attendu à l'occasion d'un second épisode bourré de fan service.

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La confrontation tant attendue ! Mais attention, ce n'est pas un film d'action. Seulement un petit thriller à la mise en scène impersonnelle. Seul le duo Sly/Schwarzy tire son épingle du jeu (surtout Arnold, qui révèle une palette d'émotions plus large qu'à l'accoutumée). Un petit film du dimanche soir, pour peu qu'on n'en attende rien de plus.

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Un retour aux sources bancal. Le trio d'héroïnes mené par Linda Hamilton fonctionne plutôt bien. Malheureusement, on n'en dira pas autant d'Arnold Schwarzenegger. Son T-800 vieillissant (concept idiot repris au précédent film) ne marquera absolument pas les esprits et ressemble à un retour forcé. Dommage !

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Un film d'action anecdotique dont le seul intérêt est de retrouver Schwarzy en tête d'affiche. Les scènes d'actions font parfois mouche mais les personnages sont trop peu développés pour que l'on s'y attache.
Déception !

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Le genre de film monté uniquement sur les biceps de Monsieur Univers. Le scénario-prétexte tient sur un timbre poste ! Le personnage a beau être invulnérable, il n'en est pas moins ridicule (Schwarzy en Speedo !). L'idéologiquement discutable RAMBO II, sorti la même année, était tout de même plus convaincant.

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Tantôt vulnérable (transpercé de part en part), tantôt indestructible (brandissant deux fusils super high-tech), Arnold surfe sur sa légende sans se fouler dans ce film très cliché et peu passionnant.

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Retirez toute l'émotion des deux premiers opus et vous obtenez TERMINATOR 3. Malgré une volonté de copier le précédent épisode dans les grandes lignes, la mayonnaise ne prend pas. Le T-800, quant à lui, prend un sérieux coup derrière les étiquettes en se faisant tourner en ridicule à plus d'une occasion.

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Arnold vs. Satan : en voilà une affiche qu'elle est alléchante ! Sauf que, pour le coup, le futur "Governator" essaye de jouer la carte de l'homme cassé, sensible et torturé. Et ça ne lui réussit pas vraiment. Pour couronner le tout, la mise en scène de Peter Hyams (l'excellent OUTLAND) ne fait guère dans la subtilité.

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Ni badass, ni vintage, EXPENDABLES 3 abandonne le concept initial de la franchise pour proposer un film d'action dans l'air du temps (un peu de FAST & FURIOUS, un peu de Michael Bay...) avec un casting de jeunes premiers. Quant à Schwarzy, sa participation n'est qu'anecdotique.

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Une dernière apparition assez ridicule pour un homme bien plus intéressé, à l'époque, par sa carrière politique en devenir.

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CONAN 3 non-officiel, ce RED SONJA aurait peut-être pu s'en sortir avec un meilleur casting pour le rôle principal féminin. Fleischer continue à faire du vintage et Schwarzy se traîne péniblement pour honorer son contrat avec Dino De Laurentiis. Reste qu'en se dédouanant du film matriciel de John Milius, la pilule passe un peu mieux qu'avec CONAN LE DESTRUCTEUR.

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Le premier CONAN s’inspirait des films de vikings. Alors qui de mieux que le réalisateur du film LES VIKINGS pour réaliser sa suite ? Malheureusement, le résultat final — très cheap — ressemble plus à un Disney sous acide qu'à un grand film en costumes. A ranger à côté de vos nanars d'"heroic fantasy" transalpins préférés.

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Un film à l'image de son concept : débile ! Schwarzy en figure paternel de substitution n'est pas crédible pour un sou.

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Un blockbuster insipide et faussement complexe qui oublie totalement les origines très "série B" de l'oeuvre originale. Les prestations d'Emilia Clarke et Jai Courtney sont abominables. Quant à Schwarzy, il fait plus fatigué que jamais. Y croit-il seulement encore ?

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Le dernier grand blockbuster-opérette pondu par Hollywood (à côté, FLASH GORDON ressemble à LAWRENCE D'ARABIE). Schwarzy a l'air de se fendre la poire bien qu'il ne sache pas vraiment ce qu'il fait là. Il faut au moins lui reconnaître ça : il a réussi à mettre K.O. l'homme chauve-souris jusqu'à l'arrivée de BATMAN BEGINS. Bien joué, Monsieur Univers !