Biblio (en vrac)

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"Heureusement, c'était gratuit"

envie de lire la suite : mouif

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On dit souvent qu'adapter un jeu en films ne donne rien de bon. Que le cinéma se rassure, ça ne fonctionne pas mieux quand on adapte en livres.

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Un poil meilleur que le précédent dans le sens où le bouquin fait un peu moins "jeu vidéo mais écrit".

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Comme la novelisation de Brotherhood, ce tome maîtrise mieux le symptôme "adaptation d'un jeu vidéo". Suffisamment en tout cas pour que quelqu'un n'ayant pas jouer au jeu termine enfin l'arc du meilleur personnage de la série Assassin's Creed.

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Une bonne surprise. C'est assez court mais bien rythmé.

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Deuxième tome (seulement), et j'ai déjà l'impression que la série tourne en rond.

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Contre exemple de ce que j'écrivais pour l'adaptation d'Assassin's Creed en bouquin. Probablement parce que l'auteur a la bonne idée de ne pas vouloir raconter le jeu mais les événements qui ont conduit aux jeux. Avec un défaut quand même : la fin laisse forcément l'impression de ne rien terminer et d'avoir laisser des personnages en route (particulièrement le Dr Lamb).

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Un roman que j'avais lu (et aimé) plus jeune et sur lequel je suis retombé maintenant que je suis un vieux aigri. Sans surprise, il ne faut pas retoucher à ses amours de jeunesse, la magie n'opère plus.

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Une bonne surprise. Ce n'est clairement pas un grand livre, mais ça se lit assez agréablement.

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Une bonne surprise. J'avais peur de lire un autre "apprenti assassin" (de Robin Hobb) mais le roman est en fait plus sombre et surtout bien plus rapide. C'est prometteur pour un premier roman.

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Un début assez bof avec le passage obligé du tueur qui tente de se ranger pour vivre sa vie de famille est longuet puis l'événement qui va tout changer et ramener du rythme dans le récit. Un poil moins bon que le précédent, mais ça reste plaisant à lire.

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Brent Weeks conclut en force sa première trilogie, en évitant de reproduire le démarrage un peu trop lent du deuxième tome. Tout en oubliant pas d'ouvrir la porte à une suite.

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Je ne sais même pas pourquoi je continue à lire cette saga. Les défauts de Terry Goodkind demeurent...

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Le bouquin était gratuit à l'achat de deux autres livres et j'ai quand même l'impression de m'être fait avoir. Je vais en rester là pour le commentaire avant d'être vraiment méchant.

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Bon, c'est évidement la série de Netflix qui m'a poussé à lire le livre. Et ça me laisse avec pas mal de question sur l'intérêt de certains choix de l'adaptation.

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Lu via l'édition à 10€ de Bragelonne édition 2019. Deux premiers tomes plutôt sympa, un troisième plus mouif à mon goût.

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J'avais déjà lu des romans D&D au début des années 2000, avec une traduction assez bâclée (pour le dire poliment). La série a été rééditée depuis, et il semblerait que ça se soit améliorer. Un bémol quand même, sur les tourments intérieurs de Drizzt et Zak se répètent un peu trop.

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Je baisse un peu la note par rapport au tome 1. Désolé, je suis fatigué de lire aussi souvent que le croisement de bras indique les intentions pacifiques des drows...

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Je suis assez positivement surpris. L'histoire est certes une classique histoire de vengeance mais ça passe, malgré quelques personnages plutôt ratés (Estrée loin devant les autres...)

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La bonne surprise continue. Le héros chute pour mieux se relever et reprendre sa route tambour battant. Je m'arrête pourtant à 7 parce que ce tome a exactement le même problème que le 1er : une intrigue autour d'Estrée qui ne sert absolument à rien.

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Une petite déception pour ma part que ce troisième tome, en partie dû au fait que l'on est pour la première fois devant une histoire incomplète.

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Je remonte la note d'un point par rapport au tome précédent, même si plusieurs choses me gênent. Un bémol comme d'habitude pour cette vision de la femme dans ce cycle.

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Voilà un cycle qui se termine tout en laissant assez d'éléments non résolus pour en ouvrir un autre. Ce qui pousse à se demander si ce premier cycle n'aurait pas pu être plus court d'un livre (Sang-Pitié, par exemple...).

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6ème tome de la série et premier d'un nouveau cycle. Enfin en théorie, parce qu'en pratique, on a l'impression que Michel Robert commence à tourner en rond et à atteindre ses limites. Heureusement, ça se lit toujours sans déplaisir.

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Les défauts (je finis par me demander si c'est la trad ou l'auteur lui-même) seront les mêmes jusque la fin. Mais on va accorder un point de plus pour le côté plus sombre que d'habitude.

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Alors là, on est dans un cas particulier : j'ai déjà lu une partie de la série et j'ai lu cette version en espérant qu'elle aille à son terme. Mais alors, pourquoi baisser la note par rapport à la version Pocket (notée 7) ?

Parce que cette nouvelle traduction m'énerve. Elle est à la fois meilleure (on a ici un traducteur qui a un dico des synonymes) et pourtant tellement pire. Oui, le tutoiement intempestif me gonfle, oui, cette volonté de ne reprendre AUCUN terme de la précédente traduction, même lorsqu'ils sont meilleurs, est ridicule (les Réprouvés (Forsaken en VO) qui deviennent des Rejetés, la Désactivation qui devient l'Apaisement, les Liges qui deviennent des Champions ??).

Désespérant.

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J'aime beaucoup la saga Dishonored. Ce livre prépare Emily à Dishonored 2 même s'il a quelques problèmes à décrire les pouvoirs dont disposent Corvo. Ca reste assez agréable à lire.

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J'ai pas mal hésité sur la note, c'est bien écrit, fluide, tout ça mais il n'y a juste aucune originalité là-dedans : une nouvelle femme forte, belle, indépendante, talentueuse, les marchombres vs mercenaire du chaos rappellent beaucoup le jedi vs sith de Star Wars et la greffe d'Ellana... bon, vous verrez par vous-même.

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Après le premier roman du cycle d'Ellana, il était "logique" de revenir aux origines de l'univers avec la saga d'Ewilan. Et je suis très partagé sur ce premier tome. D'un côté, ça reste fluide et agréable à lire, mais on retrouve aussi cette impression d'être au début d'une histoire qu'on a déjà lu.