Bibliographie pour la Question Contemporaine : la ville et les radicalités

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La société disciplinaire envisagé dans le microcosme qu'est la ville

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L'expérience de la ville par le migrant
Nazneen jeune bangladaise et son errance dans la ville de Londres très cosmopolite mais où l'intégration est loin d'être une évidence, puisqu'elle vit essentiellement recluse dans le quartier de Brick Lane

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Homo urbanus :
La ville est le symbole d'une quête effrenée de sens mais aussi un instrument pour observer les pathologies sociales. ''l'urbanisation des mœurs'', entraîne une unisexualisation, égalisation des rôles sociaux, laïcisation, transnationalité. La ville = grande machine à broyer les différences, unifier les disparités, cela se fait avec de nombreuses résistances
« La ville est un déploiement des sens. Un épanouissement des esprit. Une possibilité de passion. L'urbain est l'intelligibilité de l'homo urbanus »
« La ville régente les mœurs et définit les valeurs. L'ère de l'homo urbanus est commencée »

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Etude de cas, la ville comme archipel clinquant du luxe aux comportements égoistes et irresponsables
- Anne-Marie Broudehoux, L'image olympique de Pékin
- Mike Davis, Arizona utopies séniles

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La ville a envisagé comme espace aux inégalités multiples et cumulatives, la banlieue comme lieu de concentration de celles-ci
A illustrer avec le film La Haine de Mathieu Kassovitz

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Etudie la culture urbaine plurielle, la division sociale et fonctionnelle de l'espace et ses csq en terme de regroupement de population

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L'occupation de l'espace par la haute bourgeoisie, en particulier dans l'ouest parisien. Les auteurs constatent l'existence réelle d'une conscience de classe, dont découle des liens étroits par l'endogamie notamment, et par la mise en place de stratégie pour faire perdurer cette conscience de classe, cette exclusivité (rallye, cercles mondains) donc classe sociale en soi et pour soi

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Un petit peu de sociologie, travailler sur deux positions antithétiques :
- Durkheim : la société moderne s'oppose à la société traditionnelle dans la mesure où les liens de solidarité, le contrôle social, sont modifiés. L'individualisme et la division du travail se développent, contribuant au passage d'une solidarité dite mécanique à une solidarité organique. La société moderne s'incarne dans le modèle de la ville alors que la société traditionnelle ne semble pouvoir exister encore qu'à l'échelle du village.
- Simmel quant à lui : on trouve dans la société moderne des restes de solidarité mécaniques par les groupes et associations diverses pour lesquels l'adhésion est plus forte car moins contraintes

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Etude des regroupements de populations similaires souvent dénoncés comme communautariste, ils ne les jugent pas si négatif, peuvent être des paliers dans un processus d'intégration. Finalement ce sont les politiques de mixité sociale qui ont un coût pour les populations contraintes de changer de logement et perdant les réseaux de solidarité

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Etude des minorités ethniques posant des pb urbains, il ne s'agit pas slmt d'une question de sécurité, il y a une perte de la capacité à faire société, alors que l'Etat tend à se désengager, il faut poursuivre la politique de rénovation urbaine

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L'auteur propose une définition de la ville comme espace cohérent = le vivre ensemble, pas forcément opposé à la ruralité.
3 défis : maîtrise des sols dans tendance au zonage pbtique quand on cherche à faire société, pb des mobilités/voitures, pb de l'environnement: réintroduire l'écologie existentielle. + démocratie, diversité culturelle

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Définition plus économique de la ville, envisagée comme un grand marché

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Les radicalités peuvent être constructives