C'est l'histoire d'un robot qui repeint le plafond...

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Une bonne entrée dans la matière concernant la plume de Shekley

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Bien que fleurant bon l'époque des années 50, c'est tout de même une courte nouvelle (la seule traduite de cette autrice en France) qui brosse de manière satyrique l'intrusion de la publicité dans le vie quotidienne et ce bien avant "Planète à gogos"

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Fredric Brown, le précurseur. Dans ce roman, nous assistons médusé au débarquement de martiens pour le moins envahissants, sans gêne et insupportables, dévoilant sur voue public tous les secrets, des plus intime à ceux du secret d'état. Mais comment faire pour s'en débarrasser ?
D'ailleurs, pratiquement toutes ses nouvelles relève de l'humour et leur lecture est plus que conseillée.

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Le grand incontournable de cette liste, par le Monty Python de la littérature. Un must read. De la nécessité d'avoir toujours une serviette sur soi, du moteur à improbabilité ou sur la fameuse réponse "42", il y a de quoi voir en terme de "non sens"

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Quand Polh et Kornbluth écrive un roman à quatre mains, ça donne un roman au satyrisme mordant, démontant dès le début des années 50 le merchandising à outrance.

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Plus connu pour son livre "Abattoir 5", Vonnegut nous livre une vision pré-apocalyptique de notre monde en poussant l'absurde et l'ironie jusqu'au bout. Par exemple, la religion qu'il a inventé, le bokonisme, n'est basé que sur des mensonges assumés.

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Catégorie humour noir
Que se passe-t-il lorsqu'un robot voie ses "circuits asimov" grillés ? Ça donne une histoire bête, méchante et drôle.
Sladek, auteur délirant et railleur, mériterais d'être un peu plus connu du grand public.

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A noter pour la présence de deux nouvelles d'un auteur pas très présent en publications, et pas depuis des plombes : William Tenn
- "Un système non-P" : ou une fin du monde par la "médiocrité"
- "La Ruée vers l'Est" : ou la fin du monde américain blanc après une fin du monde
Il a l'air d'être connu outre-Atlantique pour la veine de SF humouristique

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Attention humour très grinçant.
Après tout, "Le Seigneur des svatiskas" est un "chef d'oeuvre" d'un certain Hitler ayant remporter le prix Hugo dans ce monde alternatif. L'humour se veut surtout dans la trangression à plusieurs niveaux. Tout d'abord à travers un style lourdingue dudit chef-d'oeuvre, digne d'un mauvais pulp, transpirant l'idéologie délirante de l'auteur. Silverberg volant ainsi tuer le Père en l'image de la SF à papa de l'âge d'or, et des prix qui y sont associés. Puis, cet effet est renforcer par une "postface" qui détruit tout le roman précédent.

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Terry Bisson, à travers ce recueil de trois nouvelles centrés sur les personnages du génial Wilson Wu, réussi le brio de marier humour ET hard-science. Ce qui n'était pas gagner au vu de l'austérité relative et courante ce courant de la SF.

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La série de Thursday Next est un livre de fusion entre SF, fantasy et littérature générale le tout saupoudré d'un humour allant du pince sans rire au méta. Qu'est-ce que vous attendez pour le lire ?

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Là encore, l'humour britannique est très présent dans ce récit de voyage dans le temps au sein de l'Angleterre victorienne et s'inspirant entre autre du chef-d'oeuvre de la littérature humoristique anglaise qu'est "Trois hommes dans un bateau"