Carnet de bord cinématographique : 1er Mai 2015 au 1er Mai 2016

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Traitant de l'univers de la compétition gaming des années 90, King Of Kong fait preuve d'une grande tendresse pour ce média et ses protagonistes.
La réal aurait méritée moins de fioritures et de partis prit aussi tranchés.

Cependant évidemment je le conseil, rien que pour la faune de persos atypiques qui grouille dans la pellicule.

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Creux & prétentieux, à éviter.

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Oué c'est sans grand intérêt & c'est justement sa qualité principale, de nous livrer exactement ce qu'on veut avec générosité sans prétendre à autre chose. C'est bourré de défauts comme le rythme trop speed qui ne fonctionne pas sur un format 30mn, et la réal aléatoire mais bon ça reste fendard d'autant plus que la BO défonce.
"Check-out my pecs!" "Your pecs are epic"

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2nd film de Marco Risi visionné et toujours pas emballé par son cinéma. On a affaire à un polar très classique qui aurait mérité une réal ambitieuse pour transcender un sujet maintes fois traités, car les codes du genre sont tellement acquis dans la culture pop que se faire surprendre devient difficile.
Au final Cha Cha Cha est assez superficiel, moyennement divertissant, ce qui est principalement du à son rythme en dilettante.
Dommage car le charme des décors Italiens auraient pu jouer dans la balance et donner à ce Polar un gout singulier.

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Je parlais avant de réal peu ambitieuse, ici on a l'inverse opposé. Chaque cadrage est bijou que le noir et blanc subtilement dosé vient renforcer. Sans oublier le travail de psychopathe sur l'éclairage.
Quand au propos de la pellicule franchement c'est assez saisissant comment le texte Sheakspeare envahie le milieu carcérale et créer une jonction avec le passé de ses protagonistes. Comment aussi le lieu dépouillé de tout artifice laisse place à la l'imagination du spectateur.
Le film comporte nombre de réflexions sur Rome, l'impact du passé, les manipulations psychos/politique et le rôle de l'art sur la libération d'un esprit et j'en passe... Tout ça avec justesse sans appuyer lourdement, et sans paraître prétentieux ou élitiste. Sans oublier le casting de malade, chaque acteur y effectue un immense travail et ne parait à aucun moment dans une forme de fausseté.
Nan franchement c'est foufou, c'est ce que j'appel du grand cinéma.

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Mamma que j'aime ce film, surement un des De Palma les plus sous-estimés par son aspect grand public,
Brian nous livre un véritable discours sur en quoi consiste l'art du cinéma : La manipulation.
Mission Impossible est véritable tour de force qui jongle entre film d'auteur à la Hitchcock et pellicule à grand spectacle superbement mit en scène.
Malheureusement notre ami Brian à lâché du lest à la Paramount en fin de film en offrant une scène d'action finale ridiculement débile qui m’empêchera toujours de monter au dessus du 8.
Mais fichtre que je ne me lasse pas d'y retourner sur ce Mission Impossible.

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De la bonne grosse daubasse, un univers sans âme fruit d'un réchauffé de ce qui a pu se produire niveau SF ces 20 dernières années, des protagonistes inintéressants, un propos mal amené, des dénonciations politiques hiérarchisées avec la finesse d'un T.Rex.
Puis surtout aucun enjeu, j'ai passé la totalité des scènes d'actions à m'en battre les balls, tant j'en avait rien à foutre de ce qu'il pouvait ce passer dans cette galaxie. Le seul truc qui a tenu mon esprit en éveil, c'est Mila Kunis, pas pour son jeu d'actrice plutôt quelconque je vous rassure. :p
Très déçu évidemment car les Wachows nous avaient pondu le plutôt réussi Cloud Atlas juste avant, tellement plus ambitieux, original et maîtrisé.

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Paolo Virzi nous livre un divertissement populaire ( Cela n'a rien d'un gros mot pour moi :p ) ma foi sympathique.
Le tout manque un peu d'ambition au niveau du récit par rapport à son très bon "La Prima Cosa Bella", qui arrivait à combler ses défauts ( Réal en demi-teintes, protagoniste un chouille trop caricaturaux ) par une structure de narration maîtrisée/intelligente et un rythme sans faute qui avait su donner vie avec beaucoup de fraîcheur à ce portrait familial .
Alors oui ça ce laisse suivre sans soucis,on passe un agréable moment ce qui est déjà appréciable dommage que le film ne prenne pas plus son envol.
Puis comme je me suis pas mal identifié au personnage principal masculin qui est presque mon double cinématographique malgré qu'il soit un cliché un peu trop appuyé, je me suis laissé prendre au jeu. Soulignons aussi la bonne performance de Federica Victoria Caiozzo.

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J'arrive après le Buzz. C'est typiquement le film qui aurait bien mieux fonctionné sur un format d'1h00/1h30 tant cette longue course-poursuite finie par devenir indigeste...
Ceci-dit même si je n'ai pas pris mon pied comme certains j'arrive à comprendre l'engouement pour la pellicule du fait de son BackGround charmant & créatif.
En revanche ce Fury Road cumule trop de tares pour être un grand divertissement comme pouvait l'être le 2, notamment ses dialogues insipides, un postulat de base planté à l'arrache qui fait que pendant la première heure on s'en bat les glaouis des enjeux, sa colorimétrie souvent dégueulasse, ses scènes d'actions qui manquent parfois de fluidité et de changement de rythme, son manque de scènes iconiques, la personnalité névrosée de Max exprimé à travers des flash-back kitshoune et pas du tout fins...
Cela fait pas mal d’éléments qui assassinent un film qui pourtant dans son acte final se révèle bien efficace.

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C'est vraiment dommage que ce soit un chouille survolé, qu'il manque de réelles problématique autour de l'étiquette "indépendant".
Ceci-dit moi qui suit assez inculte en la matière j'ai pu découvrir pas mal de chose.
D'ailleurs ce que fait Grems a l'air super cool :)

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Malgré sa forme promotionnelle & son aspect suçage de boules successif. Le doc est plutôt sympa et fait un tour assez complet de la personnalité de Lemmy.
Personnage assez fascinant autant poivrot du Pmu accro aux jeux d'argent, qu’élevé au speed, que collectionneur de vieilleries de la 2nd guerre mondial, tantôt salaud tantôt touchant vis à vis de sa relation respectueuse envers ses fans.
Puis aussi pas mal de guests prestigieux dont Dave Navarro & Ozzy Osbourne que j'apprécie beaucoup.

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Soirée Nanar \o/

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Soirée Nanar o.O