Carroll : la logique à l'épreuve du sujet

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Bien entendu.

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Second classique.

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Certainement le sommet du nonsense.

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Peut-être qu'il sera intégré au corpus, il m'a toujours paru un peu redondant.

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Première évocation de la topologie chez Lacan, on parle de tore et de ruban de Moebius.

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Seconde évocation, en deux textes.

- Proposition du 9 octobre 1967 : distinction entre logique référentielle et non référentielle, avec l'aide de la topologie. Toute la partie lacanienne du mémoire consistera à éclairer cette idée.

- L'étourdit: quelque bonne pages - truffée d'obscurités lacaniennes - sur la topologie.

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Troisième évocation de la topologie, cette-fois ci avec des jolis nœuds pour introduire une dimension monstrueuse: le nœud borroméen.

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Quatrième évocation de la topologie. On reprend les noeuds, il s'agit désormais de faire de la clinique avec. On n'est pas sorti de l'auberge.

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Un livre que je vais tâcher de ne pas entièrement paraphraser. Un des rares essais qui s'intéresse avant tout à Carroll en tant que logicien.

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Quelques repérage théoriques autour de la rupture logique aristotélicienne/logique formelle.

+ La logique et son histoire, du même auteur.

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Pourquoi pas, même si la référence à Deleuze risque de ne pas s'articuler avec le reste.

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La logique aurait des prétentions à dire le vrai sur le langage, ça serait une sorte de métalangage. Et le discours de la science - pour Lacan - exclut le sujet. Alors la logique - qui prétend réguler le langage - fait-elle disparaître la subjectivité ? Il faut bien s'intéresser aux discours lacaniens, et d'où lui vient l'idée de forger ce concept.

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Et cette idée des quatres discours serait une forme de réponse à la conférence de Foucault, intitulée "Qu'est-ce qu'un auteur ?".