Ces films m'ayant marqué dès la première seconde jusqu'à la dernière

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Faust, du commencement par les 4 cavaliers de l'apocalypse jusqu'au suicide de Faust dans le bûcher tout est beau. Tous les trucages de Murnau sont parfaits et chaque idée est exactement là où elle se doit d'être...

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De l'explosion d'une boutique au messie dans la brume (pour ne pas trop spoiler), la cadence nous happe tant qu'on ne peut pas cligner de l'oeil, sauf pour sécher ses larmes.

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L'entrée directe au coeur même de la folie des personnages faite par ce magnifique pan sur le cheval accompagnée de cette musique qui ne part pas de ma tête, suivi par une lenteur envoutante de chaque scène quotidienne, je n'arrivais plus à décoller de mon siège.

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Film de guerre simple et juste, âmes sensibles s'abstenir mais la cruauté de l'homme face à son côté le plus humain sont toujours en conflit dans ce film. On ne décroche jamais de cette lutte primitive pour savoir qui l'emportera... la réponse n'étant pas aussi manichéenne qu'elle peut en avoir l'air.

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De Bowie sur la route à Bowie sur la route, l'enchainement de situations incompréhensibles bout à bout et pourtant toutes simples, c'est ce qui fait le charme de Lynch chez qui l'ont peut choisir de voir tout en un ou un en tout.

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Bien que je préfère légèrement Vertigo je m'y perd un peu dans quelques petites longueurs nécessaires, mais Rebecca ne m'a jamais laissé le temps d'être sûr de quoique ce soit.

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Que dire de plus que le nom des acteurs ! Les dialogues de Mankiewicz interprétés par ces deux géants du cinéma et du théâtre sont d'un débit si maitrisé et d'une rigueur si parfaite qu'on croirait que Bach est le chef d'orchestre de ce drame théâtral.

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En avouant que j'ai mis du temps avant d'apprécier 2001 à sa juste valeur, maintenant que je le regarde je ne sens tellement pas qu'il m'emmène que j'ai l'impression que le soleil se transforme d'un coup en foetus, comme si le film n'était qu'un éclair qui vous transcende.

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Jack... que de poésie, si je ne l'ai pas vu 1 000 fois de mon enfance jusqu'à ce jour alors je n'ai pas vécu et pourtant impossible de détourner le regard de ces petits marionnettes.

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Même sentiment que pour la bête de guerre, avec un film différent, et des acteurs tout aussi géniaux. Les rapides de ce film n'emportent pas que les personnages mais vous avec !

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Impossible de commenter ce film en étant sûr de ce que je pense, et pourtant je n'en ai pas oublié une seconde, tout est si vrai dans le film.

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La mafia... la société... les codes, la hiérarchie et les bienséances face à la passion et au travail. Plus cruel vous ne faites pas, mais plus réel non plus.

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La vie d'un pauvre homme. On connait tous une personne telle que lui sinon nous mêmes ce que je ne souhaite à personne. Paix aux âmes troublées et paix à la famille Schmidt.

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Liberty ne s'est pas tué lui-même ? Trois acteurs aux rôles totalement opposés mais qui se supportent par une sorte d'équilibre entre violence et savoir, méchanceté et bonté. Vous n'aurez pas fini de vous demander qui vous préférez.

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Etrange sentiment face à ce film que j'ai vu dans un contexte non propice à la réflexion et à l'émotion (scolaire). Et bien que je pensais avoir tout oublié du film à ma sortie de la salle, peu à peu tous les éléments reviennent un par un et je me repasse ainsi tout le film dans ma tête. Encore bravo à Boorman.

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"Is it safe ?"
Votre coeur battra encore plus fort que celui du coureur au fil des scènes. Laurence Olivier encore merci.

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TOUTE personne DEPRESSIVE ou SENSIBLE s'abstenir cette fois ci, encore un film dont je pensais ne pas me souvenir mais dont chaque scène s'est implantée quelque part dans mon esprit.

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Jamais deux sans trois, voici un nouveau film à retardement, au final chaque seconde du film est revenue marquer ma tête.