Chérie, réveille-moi quand le chef d'oeuvre est fini

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Grand admirateur de Kubrick, vu plusieurs fois, retenté autant de fois, cela m'ennuie au plus haut point et je n'y comprends rien (et pourtant j'adore Lynch). Sinon, j'en conviens, il y a de jolis plans, de belles images et l'idée géniale d'avoir introduit du classique pour que le film reste intemporel.
En fait, je suis très fâché avec beaucoup de films de SF. Dès que le propos s'élève, je décroche complètement.

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Ah oui, non, la comédie musicale, c'est pas possible pour moi. Et en langue française, je crois que c'est pire. J'imagine toujours des gens dire en chantant qu'ils vont aux toilettes, et je trouve cela absolument ridicule même si c'est plein de couleurs et que c'est très gai.

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Je suis décidément fâché avec la SF. Je vois bien que "Blade runner" est un bon film, les plans sont superbes, la musique envoûtante, le propos intelligent mais tout est trop contemplatif et cela finit par profondément m'ennuyer.

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Non, la comédie musicale, c'est pas possible pour moi, acte II. Et en langue française, je crois que c'est pire. J'imagine toujours des gens aller aux toilettes en chantant et en dansant, et je trouve cela absolument ridicule. Désolé, je vois pas le truc.

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Même en langue étrangère, chanter qu'on aime danser sous la flotte en faisant des claquettes, je comprends pas le concept...

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Fan de Fritz Lang et de films d'aventure à l'ancienne, cette entreprise toute molle dans un décor en carton pâte et jouant la carte de la romance m'a complètement endormi.

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Une enfilade de tours d'esbroufe côté réalisation (plus m'as-tu vu, tu Tony Scott), une musique insupportable (Michel Legrand, inoubliable compositeur des comédies musicales de Jacques Demy) pour cacher la misère d'un scénario creux comme une conque.

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Présenté comme un des polars cultes des années 90, ce "Usual suspect" sent trop le toc à mon goût. Il repose sur un twist final que le spectateur attentif devine très vite et, dans l'attente de le dévoiler, il déroule une intrigue complexe mais guère passionnante. C'est lent, c'est mou, c'est chiant et ça se regarde beaucoup le nombril. L'ensemble est sauvé par sa distribution quatre étoiles. Vu deux fois, déçu deux fois.

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Plus de son, que de l'image. Un survival original certes, mais que c'est chiant !!!

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Très, très grand fan de de Palma, je ne parviens pas à comprendre l'engouement que suscite ce film. Celui-ci ne repose que sur son concept et se vautre dans un scénario totalement creux et prévisible jusqu'à un final ridicule. Quelle déception...

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Ni drôle, ni emballant, ce "Kiss kiss bang bang" pourtant très réputé m'a paru complètement farfelu. Il ne m'a pas fait rire et je me suis senti tout au long de l'entreprise complètement en décalage (dans le mauvais sens du terme). Pas mon truc (même si le travail de Shane Black m'a enthousiasmé dans "L'Arme fatale" et si "The nice guys" n'est pas aussi nul).

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Godard, épisode 58. A part "Le Mépris" (qui est son seul film classique et que j'adore), je déteste tout le reste tant je ne vois pas où il veut en venir. C'est un admirateur de Bébel qui parle...

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Grand fan des frères Coen, que ce "Sang pour sang" m'a paru ampoulé et paresseux comparé à ce qu'ils ont fait par ailleurs.

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D'un classicisme affligeant, ce film noir utilise tous les poncifs du genre en nous abrutissant d'une morale à deux sous. Je n'ai toujours pas compris ce qu'on pouvait trouver à ce film réalisé 40 ans trop tard.

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Mais, bon sang, arrête avec tes plans fixes qui durent deux heures !!! Quel ennui, ce film dont le sujet pourtant m'intéressait.

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Provocateur et racoleur, l'ensemble me parait profondément débile à mon goût. Du cul, du cul, du cul... Totalement vain à mes yeux.

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Godard, épisode 3. A part "Le Mépris" (qui est son seul film classique et que j'adore), je déteste tout le reste. Ça parle, ça parle, ça parle. Ça veut faire naturel mais je trouve cela d'un ennui total. C'est un admirateur de Bébel qui parle...

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Très convenu, mélodramatique à souhait, ce "Pépé le Moko" ne m'a pas emmené là où je l'espérais. Certainement, "Casablanca" était passé par là entre-temps...

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Fan du cinéma de John Ford, du western aussi, je suis passé à côté de ce classique qui ne m'a pas plus emballé qu'une série B. A revoir sans doute.

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Film à la mise en scène totalement tape-à-l'oeil, aux enjeux ridicules (un homme avouera-t-il à sa femme qu'il lui arrive d'en désirer d'autres?), discours moralisateur, psychologie de comptoir, intensité inexistante. Même en durant 1h10, l'ensemble paraît trop long.

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J'aurais rêvé de voir ce que les frères Coen auraient fait d'un pareil sujet. Si Frances McDormand est là, c'est Martin McDonagh qui est derrière la caméra. Je n'ai rien contre le garçon mais quelle déception tant ce film semble passer à côté de ses nombreux sujets.

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Un tel casting pour un film qui se traîne durant sa première partie puis qui ne parvient jamais à montrer une once d'originalité. C'est très regardable mais comme une série B, pas plus.

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Pas le grand rendez-vous attendu. Beaucoup de films sont passés après celui-ci qui manque et de souffle et de lyrisme.

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Réputé, ce film est, en fait, une série Z complètement fauchée à la photo hideuse, jamais drôle, où les types sautent dans des pick-up de couleurs différentes et se tirent parfois dessus à la vitesse de la tortue qui traverse la route sur l'affiche. Un vrai nanar.

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Eh oui, il est homosexuel, il a le SIDA et il va mourir. Tu peux remettre un coup de violon, s'il te plait, pour les spectateurs du fond? Merci...

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Que c'est cul... Et, en plus, ils dansent !!!

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Oui, c'est sympa et rigolo parfois, mais du calme quand même !

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Tu peux monter le volume pour les violons, s'il te plait? Merci...

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On ne sait pas trop où Blier veut aller. Ça part dans tous les sens et c'est fatiguant et inutilement provocateur.

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Ah mince, j'avais oublié que c'était Mocky...