Chro : Top 10 jeux vidéo 2010

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Il arrive rarement qu'un media s'approprie les codes et les contextes d'un genre appartenant à un autre média pour les surpasser. En appliquant toutes leurs recettes de l'open world, les parrains de GTA n'ont pas réalisé un jeu de Western mais extrait et reformulé l'essence ludique et contemplative du genre.

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Après le médiocre Madworld, Platinum Games et Sega relèvent les niveaux respectifs du TPS et du beat'em-all tout en annonçant le retour en grande pompe du game design japonais, frénétique, pop culturel et stylé.

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Après le médiocre Madworld, Platinum Games et Sega relèvent les niveaux respectifs du TPS et du beat'em-all tout en annonçant le retour en grande pompe du game design japonais, frénétique, pop culturel et stylé.

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Un enfant, une forêt, un noir et blanc granuleux. Au-delà du vrai faux exercice d'épure (ses derniers niveaux à la folle complexité), Limbo réenchante le genre plateforme par une ambiance glacée et une narration exclusivement gestuelle.

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L'ahurissante densité créative soutenue par un niveau de difficulté à nouveau hardcore fait oublier que Super Mario galaxy 2 constitue sans doute moins une vraie suite qu'un dvd rom blindé de nouveaux niveaux. Brillant, tout simplement.

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En se réappropriant les codes modernes d'un genre, le beat'em-all à la Devil may cry, qu'il a lui-même inspiré (décors gothiques, armureries et mise en scène grandiloquente), Lord of shadow marque le premier grand Castlevania 3D.

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Plus qu'une prolongation des aventures d'Ezio, Brotherhood constitue une nouvelle couche de gameplay pour une licence qui ne cesse d'enrichir sa proposition de jeu autant que l'exploration d'un bac à sable chargé d'histoire : Rome.

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En creusant la voie d'une narration moralement et gestuellement élastique à travers un polar sombre, David Cage n'a pas seulement fait avancer le jeu vidéo dans son ensemble mais aussi ouvert de nouvelles pistes créatives pour l'interaction avec un grand "I".

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Malgré une progression scénaristique laborieuse (pourtant sublime dans son derniers tiers), la Team Ninja et Nintendo ont réussi le pari de faire évoluer la licence spatiale en en synthétisant ses évolutions les plus marquantes.

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Oubliée la lente décadence de la bourgade barrée de Konami? Brillament construit, innovant, pervers, la claque graphique en moins, Shattered Memories s'impose quand même comme l'épisode qu'on attendait plus depuis Silent Hill 2.

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Un agent du FBI schyzophrénes, des dialogues cultes sur les films des années 80, une ambiance hypomaniaque. Bienvenue dans l'open world-caprice d'un geek fan de Lynch de Suda51 et de Shenmue. La surprise inespérée de 2010.