Contrepas de l'oie

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Ah, la guerre ! Que de joyeux souvenirs et que de beaux restes !

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"... d'accord, mais de mort lente !"

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Quelle jouissance de faire faire la guerre aux autres dans la gloriole verbale ou de derrière son clavier !

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C'est une chanson de Brassens, mais la version des Frères Jacques est encore plus rigolote

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Une chanson très drôle sur l'expansionnisme militaire et nationaliste

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Dans cette complainte chantée par Guy Béart et Mouloudji pleure celui qui a fait le mauvais choix de partir en guerre

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"La guerre, elle est toujours perdue..."

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Poignante complainte d'une enfance violée par ceux qui ont décidé de faire la guerre

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Aragon savait ce qu'était la guerre, lui qui avait vu passer devant ses yeux deux guerres mondiales

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A Berlin ! On les aura, les Boches ! Bien joué, les gars : quatre ans après, 1,5 millions d'entre vous n'ont pas pu répéter ces jolis slogans, vu qu'ils étaient morts dans la boue des tranchées.

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Faut qu'ça saigne ! Par un anti-Macron qui s'ignorait.

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La guerre du Viêt-Nam modélisée dans cette chanson d'Herbert Pagani

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Une des plus belles chansons anti-guerre, qui accompagne une scène truculente du film Le bon la brute et le truand de Sergio Leone. Du très grand art.

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Pas vraiment centrée sur la guerre, plutôt sur la misère sociale et amoureuse dans laquelle tombe celui qui se laisse embarquer naïvement dans le grégarisme militaire. Un classique qui a moins cours en France aujourd'hui que dans d'autres pays plus traditionnels.

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Les vraies conséquences d'une guerre déchirent ce qui nous pousse à vivre. Cette chanson, créée en 1935 par Rosa Holt, poétesse allemande antinazie réfugiée à Paris, fut mise en musique par Henri Goublier sur la base d'une comptine enfantine. Yves Montand l'avait popularisée dans les années 50.

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Quand Eddy Mitchell donnait de la voix contre la guerre en Algérie. Merci Dizzy Lizzy pour cette trouvaille !

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Cri du cœur simple et fort d'un être humain pour refuser l'appel à la guerre. Du vrai Romain Didier.

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La mort et les tragédies, les mânes des martyrs des massacres imbéciles de 14-18 ressurgissent en beauté sylvestre protectrice de la vie dans cette très belle chanson de Barbara. Merci à DizzyLizzy pour cette inspiration subtile et surprenante.

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Jean Ferrat chantait dans Nuit et brouillard qu'il twisterait les mots s'il fallait les twister. Arnulf le fait avec talent et persuasion pour mettre "Un p'tit peu d'plomb dans ta cervelle". Drôle et percutant.

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Une femme vietnamienne et son enfant fuyant sous la pluie des bombes étasuniennes. Magnifique et poignante chanson de Jean Arnulf écrite par Martine Merri en 1968, et chantée aussi avec brio par Marc Ogeret.

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Les pieds dans la boue des tranchées, guetté par la mort, les regrets sont les plus durs à exprimer de s'être fait avoir. Cette chanson traditionnelle des soldats de 14 nous rappelle à la raison du "Non !" par la voix juste de Marc Ogeret. Merci DizzyLizzy, je n'y avais même pas pensé !

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La misère des soldats de (mauvaise) fortune de l'ancien régime chantée par Jean Ferrat dans une de ses premières chansons.
"Plutôt vingt ans de galère que d'être un soldat du roi !"

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Entre l'amour et la guerre, il faut faire le choix, et le bon. Ce beau et déchirant texte d'Apollinaire parti sur le front sans peut-être n'avoir jamais su choisir est sublimé par l'art lyrique de Jean Ferrat à son plus haut niveau.

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Pas une guerre au sens du "droit" international, non, juste l'évocation d'un coup d'état militaire à Paris. Amis parisiens, vous pourriez connaître cette chanson par coeur, plutôt que "Aux Champs-Elysées"

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"N'y va pas mon fils. Les arrogants et les puissants entre les mains desquels nous demeurons n'auront de satisfaction que lorsque toutes les femmes pleureront".
La voix de Karen Matheson vibrant au son de l'orchestre de Cappercaillie. Une beauté.

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Pour celles et ceux qui en doutaient, l'antichambre du massacre n'a rien de glorieux. Paroles de l'excellent Guy Thomas

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Pathétique destin de ceux qui délaissent la vie qu'ils aiment pour la perdre sous les armes

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Inénarrable, comme un message aux zombies de la guerre qui errent de génération en génération