Couple de légende : Zelda et Scott Fitzgerald !

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Sans doute le roman le plus autobiographique du coup Fitzgerald !

"Tendre, la nuit ne le fut que brièvement pour les héros de ce roman, chez qui l'on pressent dès le début une fêlure qui laisse présager la chute. L'évolution est implacable, orchestrée par un récit impeccablement construit, efficace et délivré à travers plusieurs points de vue, dont l'alternance est motivée par la présence successive des protagonistes au devant de la scène. Bien plus que le roman autobiographique du couple légendaire Francis Scott et Zelda Fitzgerald, bien plus que la chronique d'une génération d'expatriés dite perdue, ce roman est un paradigme de la quête qui échoue. "

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Le seul et unique roman de Zelda, malheureusement ! Version féminine de Tender is the night. Certaines rumeurs avancent même que Scott ce serait servi des écrits de Zelda sur Accordez-moi cette valse pour composer Tendre est la nuit.

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Roman de la déchéance, jusqu'à la folie ... Ils sont beaux, ils sont riches, ils ont des relations mais l'alcool les bouffe jusqu'au plus profond d'eux-mêmes, l'argent se fait rare sous le poids des fêtes trop fastueuses ... Et les amis disparaissent ! Alors il ne reste plus qu'eux, le couple au milieu de sa propre misère...

Comme souvent, on a l'impression de lire entre les lignes une vérité de Fancis Scott et Zelda, on sent le vécu !

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Biographie mêlée du couple en même temps qu'une description de la célèbre époque de l'ère du jazz, de la génération perdue. En même temps, le couple est complètement indissociable des années 20 !

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Biographie romancée de la passionnante Zelda.

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Le couple ne cesse de faire couler beaucoup d'encre, il n'y qu'à voir le nombre incalculable de biographies consacrées au couple ou seulement à une des deux parties.

Ici, dans ce roman fictif et biographique à la fois, Gilles Leroy se consacre à Zelda et prend sa défense face à un Fitzgerald qui en prend pour son grade !

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"Dans cet essai consacré aux rapports des femmes avec la création et la procréation, Nancy Huston analyse les relations troubles de couples d'écrivains. Un chapitre porte sur le couple Fitzgerald et jette une lumière différente sur eux, notamment en rappelant que Scott copiait dans ses textes intégralement des textes de sa femme qui, dans l'ombre de son mari, ne pourra jamais accomplir ses ambitions artistiques."

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On ne présent plus le célèbre Gatsby !

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"C'est une facette inédite de Scott Fitzgerald que l'on découvre ici, à travers la correspondance qu'il entretint avec sa fille Scottie entre 1936 et 1940 (année de la mort du romancier américain), alors que celle-ci était pensionnaire dans un collège. À ce moment de sa vie, on le sait, Fitzgerald n'est plus que l'ombre de lui-même. Alcoolique, dépressif, loin des feux de la rampe qui l'avaient tant éclairé (voire ébloui), ni lui ni même son Gatsby (qui ne se vend plus) ne sont encore magnifiques ; il ne lui reste que ces lettres, sa respiration, comme les dernières bouffées d'amour et d'oxygène avant son dernier souffle. À travers ces leçons de vie bouleversantes de tendresse et de bienveillance, on découvre Fitzgerald dans un autre rôle, un rôle qui lui va bien, celui du père, celui de l'ange gardien"