Dans ce film, on mange du saucisson et on boit du rosé entre potes en parlant gonzesses et foot

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Le maître-étalon du film saucisson.

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Ça fait croire que ça casse les codes du genre et la dernière scène nous fait comprendre qu'on a finalement le droit au plus ultime des films saucisson.

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Sur le papier, c'est le film saucisson parfait. Le casting est à pleurer.

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Ce film saucisson - pièce montée met en avant une autre caractéristique du genre : les punchline complétement surexploitées et hors de circonstance. Un must.

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Probablement le premier vrai film saucisson.

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Une suite moins acerbe et plus saucisson.

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Malgré une volonté de se démarquer, on est dans le saucisson jusqu'au cou.

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Le premier n'était pas un film saucisson, juste une comédie ethnique. Là, on y met les deux pieds, même s'il est casher.

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Les codes n'ont pas changé. Saucisson approved.

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Saucisson road-movie. Du coup, c'est plus sandwich au saucisson.

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Jean-Pierre Darroussin se tient le ventre de bonheur.

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Aaaah ! Presque un vrai anti-film saucisson !

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Le film saucisson 2.0 (cassage des codes pourtant totalement assumés) date de 1973.

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Petite variante du film saucisson : le film tarte aux pommes (inspiré également par une autre "tarte américaine"). En gros, ils ont moins de trente ans et ne sont pas encore mariés. Sinon, c'est pareil.

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Ils ne sont que deux et ça se passe à Londres. Mais sinon, tout y est.

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Darroussin a toujours son chapeau, Campan sa chemise ouverte, Lavoine se cache encore le zizi et Darmon... heu... a bien rajeuni.

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Film saucisson un peu chic. Du coup, très chiant.

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Meuh non, c'est pas compliqué. À la fin, tout le monde éclate de rire autour d'un bon apéro avec du saucisson.

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Saucisson light, mais saucisson tout de même.

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Très beau spécimen d'un film saucisson féminin, aussi appelé film kir royal.

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Autre variante avec le film saucisson familial. Généralement, il est question d'héritage familial avec une entreprise dans le terroir à reprendre, des dettes et des engueulades. L'un des frères débarque d'on ne sait où pour foutre le bordel, un autre a du mal à s'affirmer et le fantôme du père reste présent dans les mémoires. Tout le monde s'interroge sur sa place dans le monde et dans la famille. Évidemment, on picole et on se fait des bouffes dans le grand jardin, avec les enfants qui jouent autour. Passage obligé : la rencontre entre le héros et son lui-même enfant.

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Je n'ai pas vu les films suivants et ne compte pas les voir dans les trente prochaines années. Mais l'affiche, le synopsis ET le titre indiquent fortement qu'il s'agit de films saucisson.

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On me signale dans mon oreillette (merci à @Biniou) qu'il s'agit du premier film saucisson ! Il y a 80 ans ! Qui dit mieux ?