Dramas thaïlandais remarquables

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Une vraie dystopie dissimulée derrière une pluie de confettis roses et de scènes burlesques.

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Quasi-huis clos tendu mettant en scène (ce drama s'apparente presque à une pièce de théâtre) trois personnages prisonniers de la vie : une mère de famille célèbre mais si seule qu'elle déverse toutes ses émotions sur une seule personne, son fils tout juste majeur qui n'a jamais rien pu faire sans elle et qui s'interroge sur son père, mort jeune ; ces deux personnages-là en rencontrent un troisième, vieille connaissance de la famille, un homme coincé dans le passé, sage à l'excès. C'est un pur mélodrame, filmé de façon intime, plein de dialogues époustouflants.

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Si l'histoire est bancale, assez peu intéressante, la relation entre les deux personnages principaux est absolument magique.

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Les scènes absurdes et les leçons de morale font mouche. Il est dommage que l'ensemble donne parfois l'impression que le tournage s'est fait très vite.

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Ce drama a provoqué un grand émoi dès l'annonce de sa production, d'ailleurs mouvementée (abandon par une société, reprise par une autre), mais soutenue par un sponsor de qualité : Maserati... La sortie de chaque épisode a été activement commentée sur les réseaux sociaux (plus de 900 000 tweets pour l'épisode 3).

Si j'étais enthousiaste lors des premiers épisodes, j'ai assez vite déchanté, et ce, pour plusieurs raisons (que je ne développerai pas longuement ici), la première étant l'abondance de scènes très légères (couleur guimauve) à partir de l'épisode 8, qui dénotent non seulement avec l'atmosphère générale, mais aussi avec les personnages. En gros, on passe d'une tête décapitée à une virée à deux en hélicoptère.

Dans l'épisode 3, Tankhun et ses gardes du corps regardent un épisode du drama coréen « Bad and Crazy ».

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J'ai trouvé cette version de « Boys Over Flowers » bien plus réussie que toutes les autres, notamment parce que le personnage principal masculin est, pour une fois, sympathique. La série est néanmoins deux fois trop longue (les épisodes durent plus d'une heure chacun).

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Une romance homosexuelle qui peut compter sur l'implication et le bon jeu de ses deux acteurs principaux. Les premiers épisodes provoquent quelques tressaillements dans le cœur.

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Un drama dont l'intérêt principal tient dans sa réalisation, qui accompagne parfaitement l'ambiance pesante de ce thriller en huis clos.

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Dans la mer de romances homosexuelles, ce drama-ci se démarque par son scénario original et surtout par le naturel qui se dégage de la relation représentée. L'amour fait vrai.

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La qualité de l'image est incroyable ! Et que dire du jeu de Putthipong Assaratanakul ?! La transformation du personnage d'Oh-Aew dans la saison 2 me laisse encore perplexe, mais dans l'ensemble, c'est un drama intense.

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Petite histoire, petit budget, rien de transcendant, mais ce drama-ci mérite quand même sa place ici pour la raison suivante : il déconstruit tout le rêve romantique qui accompagne les séries BL en montrant une réalité tabou.

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Du dégoût à l'amour, en quelques épisodes seulement. C'est plutôt bien amené et franchement divertissant. Évidemment, la plastique des personnages aide beaucoup. La saison 2 est ratée parce qu'elle déborde de personnages nouveaux inintéressants et que le récit est aride.

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Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant pleuré devant une série télévisée (au point de devenir vraiment laide).

Ce lakorn traite des répercussions du suicide d'une adolescente sur ses proches, près de vingt ans après sa mort. L'histoire se déroule avec précision, chaque question que le spectateur peut se poser trouvant sa réponse (parfois surprenante) à un moment ou à un autre.

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Une collection de contes cruels, indépendants les uns des autres, mettant tous en scène un personnage féminin dérangeant, dont la nature est inexplicable. Certains épisodes sont assez perturbants. (note à venir)

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Si ma note est moyenne, c'est simplement que dire cette histoire en huit épisodes seulement implique de prendre des raccourcis, trop de raccourcis. Néanmoins, les acteurs se donnent — donnent leur sueur ! — tout du long, pour le plus grand plaisir de ceux qui apprécient le volleyball.

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Un lakorn assez connu mettant en scène deux acteurs populaires qui se retrouvent souvent à l'écran. La première saison passe bien, la seconde un peu moins.

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Une romance mignonne, avec deux personnages suffisamment honnêtes pour m'être sympathiques. Notez toutefois qu'il y a quelques scènes de danse rébarbatives.

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Où était ce drama quand j'étais adolescente ?

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Mon cœur s'est serré tellement de fois devant ce drama... Il y a toutes les scènes que rêvent de voir les plus romantiques d'entre nous.

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Ce lakorn a enchanté les spectateurs lors de sa diffusion, probablement parce que l'acteur principal a un charme indescriptible. L'histoire, quant à elle, est celle d'un soap classique, elle vient avec son lot de mensonges, d'enlèvements, de moments romantiques.