En 2020 je lus

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Abandon de la société et puis décrire la ville, sa destruction par les éléments. Finalement, la possession des hommes n'a que peu de sens.
Trait final : celui de l’impossibilité de renoncer à ses passions. Kamo no Chômei qui soupèse peut-être l'absurdité de son entreprise... ?

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En lisant le livre : un vieillard malhabile de maladie - Parkinson, qui s'explique à de malhabiles vieillards (des Hongrois dirais-je !).
Un ton cynique, le souffle de la dépression partout. J'aime bien, moi, lorsque la chape de l'optimisme s'envole, ça ramène l'homme à son état le plus primaire, le plus douloureux. Le parallèle spirituel qui survient alors... ah.

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De l'arrogance et une sorte de retenue publique. Il bave, il bave !

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Première partie plutôt sympathique, agréable écriture de l'errance à travers Paris. Cependant je n'ai pas trouvé très utiles les digressions vulgaires sur le sexe. La seconde partie du livre va beaucoup trop vite, on comprend pas pourquoi ce revirement et à peine l'impression d'avoir posé une ambiance, que pouf, terminado.

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Extrêmement insupportable parce qu'il passe son temps à pleurnicher sur Théresa.

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Beaucoup de très beaux textes. Evidemment le tout premier, réflexion sur l'île déserte me paraît être le meilleur.

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Enquête sympathique sous fond de taoïsme et de vieux sadiques.

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Et si Ponce Pilate plutôt que de condamner Jésus, l'avait libéré ?
Toute la réflexion intérieure de Ponce Pilate sur le choix à faire...

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Délire autour du pipi et des yeux. Insupportable.

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Grand brassage de l'histoire de l'URSS du XXème siècle à travers deux personnages un projectionniste et un censeur. Du coup, ça parle bouquins et films, donc c'est merveilleux.

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Merde, c'est beau.

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Why not, mais je ne suis toujours pas amourachée de l'écriture de Guibert. Par contre une belle carte de ce qui se voyait (expo, cinéma) chez les littéraires de l'époque.

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La vie de Leiris, cet éternel "étranger"

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Très bon journal de Calaferte. Ses doutes, angoisses d'auteur, de vivant. Peut-être quelques pages embêtantes sur son obsession de Dieu et en même temps, c'est là le suc du journal.

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Une évidence, mais seulement lorsqu'il en parle.

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Des personnages sales, puants, toute la misère du monde . Pathétiquement génial.

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Un style agréable pour un récit par trop souvent anecdotique. A la fin on se demande ce qu'on a lu....

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Beauté de ces mendiants, !
Perturbée au départ par l'écriture très simple et rentre dedans. Puis finalement on se fait happer et, beaucoup trop de phrases à prendre en citations.
Belle pensée, belles pensées.

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On persiste dans ses journaux qui sont, je crois, plus beaux encore que ses livres.

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Un objet de mots, étonnant. Tourne beaucoup autour du sexe, dans tout son vocabulaire. Sadien presque. Résumer de la vie d'un type qui essaie d'écrire, mais qui a surtout vécu d'abord. En même temps... "écrire c'est passer à côté de la vie" dit-il.

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Petit gosse de 13 ans, qui comprend subitement que sa mère est avant tout une femme. oh shit.

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Je l'ai lu de bout en bout, parce que je voulais savoir Pourquoi il y avait des pierres. Sinon, je l'aurai lâché dès la 20eme pages. Déçue en plus, parce que la fin n'apporte aucun éclaircissement. Du coup j'ai eu l'impression d'avoir lu un fait divers de 180 pages et encore. (En gros on s'ennuie fort chez les paysans).

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Les livres comme ça m'emmerdent profondément, parce qu'on à le cul entre deux chaises : j'ai à la fois envie de dire que c'est hyper naze et en même temps, je sais que derrière c'est du témoignage... Ce qui fait ma foi, la hype de ce bouquin...

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Le Germinal japonais !

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Habituellement j'adore l'absurde dans les textes, mais là, un relent un peu trop punk pour moi...

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Un personnage légèrement pathétique pour une traduction de Mishima, pour une fois, agréable ! Ouf.

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A lire, relire encore et encore... Ritualisation du thé et réflexion de vie.De l'ascétisme aussi.

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Drôle, caustique, mais je trouve que... quoi ? Ca a mal vieilli.

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Impression d'avoir lu Lolita à la sauce italienne et en moins bien géré...

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Un livre que tout le monde n'appréciera pas. Beaucoup d'images floues, des improbabilités, mais au fond ça se laisse suivre tellement agréablement et entre les mots, les lignes, amènent à des motifs particuliers...