Etude zoologique d'une espèce fascinante : le senscritique

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L'activité de l'animal semble être semie-diurne, avec un pic entre 18 et 22h. L'hyperactivité est cependant une maladie fréquemment remarquable chez l'espèce. On dit alors du senscritique qu'il "flood".

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On reconnaît les individus alpha des oméga des meutes de senscritiques à la taille de leur collection (même si cela peut parfois être trompeur). Considérez qu'un individu avec une collection comprenant moins de mille œuvres, tous univers confondus, est un paltoquet.

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L'individu finit sa croissance à environ cent abonnés. Avant cela, il est souvent considéré comme inexpérimenté par le reste de la meute, qui lui témoigne au pire une froide indifférence, et au mieux, se prend en charge son initiation.

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La cruauté est un fait suffisamment fréquent chez l'animal pour être noté. Il arrive qu'un ou plusieurs individus viennent sur le territoire d'un tiers pour l’agresser. Lorsque l'individu est isolé et tout particulièrement agressif, on dit de lui qu'il est un "troll". On soupçonne ce type d'agression d'avoir pour but d’attirer les femelles, mais rien n'a été confirmé pour le moment.

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L'animal a développé un système de communication complexe. Il semblerait que les individus dont le langage serait le plus riche seraient ceux avec le taux de reproduction le plus élevé.

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N.B : A contrario, il a été remarqué que les individus employant des "xD" et des "^^" étaient plus souvent mis en marge du reste de la meute. On cherche encore à savoir s'il existerait des phéromones expliquant ce rejet systématique des individus.

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Fait remarquable, les senscritiques semblent avoir développé une forme notable de culte envers une divinité qu'ils aiment à nommer " Le Feedback". Les animaux exercent des rites complexes composés d'ardentes prières à leur divinité qui, d’après nos spécialistes en communication animale, seraient l'expression de leur souhait d'une vie meilleure.